- Je m’appelle Viviane. Et toi ?
- Jérôme.
- Jérôme. C’est mignon, ça te va bien ! ... Je pense que tu dois avoir de bonnes dispositions !
À lire le désir qui décrispait ses traits fins, je réalisais combien ce jeune stagiaire était attirant. Je voulais le mettre à l'épreuve
- Jerome ! J'ai besoin de savoir ce que tu sais faire !
- Tu sens mon corps contre toi ? Je suis toute chaude !
- Caresse mes seins ! A pleines mains ! Palpe les ! Petris les !
- Jérôme, je veux que tu me prennes, là sur mon bureau.
Et, d’une main sèche, je jetai au sol les dossiers qui l’encombraient. Ma jupe de tweed les rejoignit presqu’aussitôt. Puis, assise sur le bureau, ma jupe à demi roulée sur mes cuisses légèrement écartées, je lui désignai de l’index ma cible sans détour. L'attirant vers moi, je défis nerveusement sa ceinture. Le temps d'écarter et de baisser rapidement ma fine culotte, »
- Maintenant, montre moi ce que tu sais faire !
- Tu sens ? ... comme je mouille ! .... Tu vas me le mettre bien profond !
Il ne perdit pas de temps, Il s'affaira sur moi, sortit sa queue, glissa son gland sur ma fente, je me cambrai et d’un coup de rein, Il engloutit son sexe en moi jusqu’aux couilles. Je l' aspirai d'un coup dans mon ventre chaud. et je l'encourageai
- Colle toi à moi ! Que je te suçe, que je t'aspire ! Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi !
Je l’aspirai de mes muscles intimes, le pressait et cela ne faisait que l’exciter davantage. Il s'enfonçait encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l''aidais dans ses va et viens. Il était bientôt sur le point de non retour. Il réagit, fait deux ou trois va-et-vient, il bute au fond de moi. Et très vite, il s’arrêta, se crispa, je sentis son sexe se raidir, se contracter.
- Maintenant ! Vite ! Donne moi tout ! Je veux garder un souvenir de toi dans ma chair
Il accelera, Je le sentis trembler lorsqu'il atteignit le fond. Il poussa alors un cri rauque. Je resserrai mon vagin, il ne tint plus, il déchargea en moi. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. À chaque secousse je sentis ses jets de foutre. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, envoyait une dernière giclée, se vidait, puis s’enfournait jusqu’au fond, ne bougea plus. Une fois les spasmes apaisés, je le laissai glisser hors de moi, dans un bruit de succion, liberant un flot de semence. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J'étais aussi épuisée que lui.
- Eh bien mon ami, qu'est-ce que tu m'en amis ! une générosité et une efficacité très prometteuse !
Il restait là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je me lèvais en vitesse, ma culotte trempée, collante, il en coulait toujours, qu’est-ce qu’il m’a mis !
- il faut vite retourner, sinon ils vont se douter de quelque chose.
- Oh c'est bon ! ... Tu es bon pour le service ! Merci !