Ce logiciel ne m'était guère familier. Enervé, j'appelais Anna la secretaire remplaçante. Elle entra souriante, refermant la porte derrière elle. Cheveux blonds, yeux bleus, corsage blanc qui avait peine à dissimuler une poitrine généreuse , Elle s'approcha et vint se placer devant l'ordinateur afin d'accéder à mon clavier et visualiser l'écran. C'est alors que je sentis sa poitrine contre mon bras. J'eu un petit sursaut d'excitation. Je n'ai pas bougé, elle était en train de frotter son sein contre mon bras. J'ai accompagné le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et je l'ai entendue pousser un petit soupir. j'ai tourné la tête franchement dans sa direction. elle avait la main sur son autre sein et le caressait délibérément à travers sa chemise, tout en affectant de ne regarder que l'ordinateur, j'ai cette fois-ci osé placer ma main sur son sein. J'ai commencé à le caresser doucement à travers son chemisier, le pressant doucement, j'entendais nettement les petits soupirs se glisser dans la conversation de ma jolie secrétaire remplaçante.
Elle me laissait libre apparement de lui caresser ses belles poitrines. Je promenais donc délicatement mes mains le long de ses seins, en jouant doucement avec les tétons à travers son corsage. Malgré quelques soupirs très prometteurs, nous ne cessions pendant tout ce temps de parler de programmation... jusqu'à ce que ... une de ses mains se pose sur la mienne et commence à la diriger dans l'échancrure de son chemisier. Voyant là un feu vert à mes audaces, j'ai aussitôt plongé les deux mains dans le décolleté, et j'ai recommencé mon doux massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sous la barrière du tissu. Prise de quelques chaleurs, Anna a déboutonné un peu son chemisier et l'a écarté, révélant ainsi son joli soutien gorge blanc qui enserrait ses seins gonflés. J'ai continué à les pétrir, les frottant l'un contre l'autre, les soupesant, lui arrachant à chaque fois un long ronronnement de satisfaction et, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j'ai délicatement écarté le soutien-gorge et libéré ses deux beaux seins qui tressautèrent comme s'ils étaient contents de s'échapper, avec des tétons, bien durs, une large aréole à la base. Désormais libres de tout tissu, je pouvais maintenant les palper, les caresser, les tortiller et les chatouiller à loisir.
Anna se renversa alors sur sa chaise dans une position de quasi abandon, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement continus au gré de mes caresses. Puis elle changea légèrement de position écartant très légèrement les jambes, je plaçais alors ma main devenue impatiente sur l'intérieur de sa cuisse gauche, à hauteur du genoux. Cette caresse magique changea son attitude, elle poussa un long soupir, releva la tête, en cabrant son corps et en écartant plus largement ses cuisses. Je bandais affreusement et elle s'en aperçut. Cette vision déclencha la suite de l'histoire
D'un coup, elle se dégagea de mon emprise et se diriga rapidement vers la porte du bureau à laquelle elle donna un tour de clé. Elle revint vers moi ... me fixa puis, d'un geste prompt, se débarrassa de sa petite culotte qu'elle jeta négligemment sur mon bureau. Me fixant toujours dans les yeux, elle caressa le relief indécent de mon pantalon, commença à défaire ma ceinture, à ouvrir la fermeture éclair et finalement libéra un sexe énorme, dur, pointant à la verticale. Sans attendre, elle se positionna sur moi, prenant mon sexe à pleine main en le dirigeant vers le sien, puis elle s'enfonça lentement sur mon pieu tendu à l'extrême, mon gland commença à glisser entre ses nymphes avec un léger mouvement de va et vient dans son puit maintenant mouillé et ruisselant. Elle s'enfonça sur mon sexe jusqu'au fond, laissa échapper un cri, et se laissa coulisser ensuite à un rythme beaucoup plus soutenu. J'avais dégrafé son soutien-gorge pour palper ses seins dénudés dans son corsage ouvert. Le rythme s'accéléra encore, nos halètements réunis devenait de plus en plus rapprochés.. Ma queue, gorgée de sang avait atteint sa taille maximum. Je sentis la jouissance et l'orgasme monter en moi, cela n'a pas tardé,
je déchargeais alors à quatre reprises, et je sentis les spasmes de son vagin sur mon sexe encore tendu et devenu hyper sensible. Lentement elle se retira, attrapa sa culotte et quelques Kleenex pour essuyer ma semence qui s'écoulait le long de ses cuisses, Elle remis tant bien que mal de l'ordre dans sa tenue et quitta furtivement le bureau me jetant un regard complice.
Quelques jours plus tard ma secrétaire titulaire était de retour, bronzée, en pleine forme.
- Comment a été l'intérimaire ?
- Très bien, vous pouvez la retenir pour vos prochains congés.