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jeudi 28 novembre 2024 - 15h05rech / rep
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(taille reelle)
il avait l’air stressé ()
Un vendredi soir, on était en train de terminer un rendez-vous dans son bureau alors qu’il dialoguait avec quelqu'un au téléphone. Il avait l’air tellement stressé et abattu que j’ai vraiment eu envie de faire quelque chose.
- Laissez-moi faire, lui lançai-je en me positionnant derrière lui
J'ai commencé à lui masser les épaules. J’étais trop heureuse de toucher enfin ce corps musclé et ces belles épaules bien dessinées. Quand il a enfin raccroché, il s’est laissé aller à la pression de mes doigts et il a fermé les yeux.
- Détendez-vous, Louis, lui ai-je sussuré en jetant sur lui un regard velouté.
J’ai alors commencé à lui masser les bras, le torse, puis, descendant mes mains plus bas, à la lisière de son abandon … je lui massai le bas du ventre. Il avait toujours les paupières closes. Je ne pensais pas que j’oserais en arriver là si facilement mais ses yeux fermés m’encourageaient à aller plus loin. Il ne disait toujours rien et se laissait faire.
J’ai quand même senti le relief tres explicite de son pantalon qui le trahissait. J’en ai conclu que mon massage produisait son effet. Je continuais donc, pensant que ça nous aiderait tous les deux à faire retomber le stress de la semaine.
- Vous permettez ? lui demandai-je en m'installant franchement sur ses genoux
J'ai desserré son pantalon pour atteindre un sexe énorme, beaucoup trop à l'etroit. Je l’ai pris en main et je l'ai massé doucement et soigneusement, le sentant frémir à chaque passage de mes doigts. Je continuais à le masser avec cette fois-ci, mon corps tout entier.
Je sentais tres distinctement contre ma vulve ouverte son sexe, épais et dressé. Son excitation me faisait redoubler mes massages intimes et une douce chaleur me gagnait. Il déposait en même temps des baisers sur ma nuque tout en remontant ma jupe sur mes cuisses. Je mouillais terriblement. J’avais très envie de m’offrir à ce patron si charmant et qui, selon moi, méritait toutes sortes de tendres attentions.
- Louise, vous êtes trop bonne avec moi , murmura-t-il à mon oreille.
J’ai frissonné en offrant encore mon cou à ses baisers humides.
- Vous provoquez chez moi un intense désir ! a-t-il ajouté
Ma jupe était totalement remontée et il pouvait sentir et découvrir, ma peau caramel et chaude qui s’étalait sous ses yeux brillants. Les vagues de plaisir me picoraient les petites lèvres et gagnaient mon vagin par de fortes montées de chaleur qui envahissaient mon bas-ventre. Sa salive se mélangeait à mes sécrétions odorantes. On commençait déjà à suinter le sexe et à sentir nos odeurs de corps vibrants d’excitation.J’ai ouvert mon corsage pour dégager mes seins et les lui offrir. Je l'excitais dans mon soutien-gorge noir pigeonnant genereusement, ma jupe remontée. À la fois convenable, élégante, et irrésistible.
Il bandait de plus en plus contre moi. Je voulais qu'il me prenne, qu'il m'empale, qu'il me baise. Je sentais ce mat rigide contre ma fente, prête à l’avaler toute entière et l’appelait de ses spasmes et de la mouille qui me lubrifiait. Il m’excitait beaucoup trop pour que je me retienne encore. Sans attendre plus longtemps, je me suis enfilé tout naturellement sur son mat, dur comme le bois, et j’ai senti cette verge dressée me traverser comme un bloc compact de plaisir et de chaleur. Sa peau glissait contre la mienne à mesure que celle-ci entrait en moi et je me délectais de cette sensation de m’emplir de lui, qui comblait ce vide désirant qui appelait son chibre pour éteindre le feu de mes désirs. Mon bel étalon a commençé à me donner des petits coups de queue dans ma chatte offerte. Les jambes toujours écartées, je me cambrais à fond pour qu’il puisse bien me pénétrer.
Il me baisait avec ardeur, Mon soutien-gorge baillait sur mes pointes de seins et il pouvait les triturer à mesure qu’il me sautait sous ma jupe retroussée. Je le sentais emporté par ses allers-retours en moi, haletant dans mon dos, palpant mes fesses et mes hanches, s’émerveillant de leur galbe. J’étais trop heureuse de lui changer les idées et d’en profiter au passage – je voulais que chaque centimètre de moi, chaque geste de ma part, lui fasse tourner la tête et rende ce moment complice inoubliable. Je voulais lui faire oublier jusqu’à l’existence de sa femme.
Je m’abandonnais de plus en plus et me laissait aller à des cris étouffés. Sa pénétration était tellement moite et ferme, et je sentais leurs répercussions de plaisir jusque dans mes tétons dressés. Avec ses mains, il m’écartait, je me sentais encore plus à sa merci et encore plus soumise. Comme il voyait que j’aimais, il a continué à m’agripper les hanches en y enfonçant ses ongles. Un pur bonheur, une vraie douleur orgasmique !

J'ai ôté mon soutien-gorge et je me suis empalée un peu plus sur son sexe. Il me regardait, tel un animal en rut, défiguré par sa luxure et ce spectacle de mon patron d’habitude si propre et et sage, transfiguré désormais dans notre étreinte, me faisait tourner la tête. Il commençait vraiment à se lâcher, ça m’a plu et je me répandais moi-même en mouille autour de sa tige de chair chaude et soyeuse. et je sentais la chaleur du plaisir irradier ma poitrine. Le frétillement de sa queue en moi allié à ces titillements délicieux me faisait frémir de joie et je commençais à sentir l’appel irrépressible de l’orgasme qui donne des frissons partout et fait que je me transforme en animal, entièrement tournée vers l’objet de ma convoitise : la jouissance.

J'ai redoublé mes caresses sans le quitter des yeux pour enfin larguer les amarres et me tordre dans une apothéose de plaisir qui m’a sûrement déformée le visage. Stimulée par mon orgasme, il a accéléré sa baise et s’est mis à me sauter rudement, les yeux à demi-fermés, en grognant et en poussant des « ah » qui annonçait l'explosion. Sa queue bandée me pilonnait encore. Mes formes bougeaient sous ses coups de boutoir, mes seins et mes hanches bringuebalaient, traversés de spasmes. Puis mon cher patron a inondé mon ventre et mon entrejambe de son foutre, dégoulinant de mon nombril et tâchant les poils de ma toison déjà humides de mes propres émois. J’adorais avoir reçu tout ce sperme de lui sur moi, de ma bouche à ma chatte.
- qu’est-ce que c’était bon ! » a-t-il soufflé en s’écroulant dans son fauteuil et en m’attirant à nouveau sur ses genoux.
Je me suis blottie contre lui, nue, avec pour seule tenue ma petite jupe qui faisait maintenant office de ceinture tant elle avait été malmenée. Il m’a chaudement remerciée pour mon dévouement de secrétaire exemplaire et m’a confiée que notre petit moment d’égarement lui avait fait beaucoup de bien.

Depuis, quand je vois qu’il est stressé par le boulot ou qu’il me parle de ses difficultés avec sa femme, je lui propose régulièrement de remettre le couvert pour le détendre – et pour en profiter moi-même. Mon boss dit rarement non et nous profitons tous les deux de cette liaison rendue torride par notre rapport hiérarchique. Sans vouloir me vanter, j’observe qu’il est beaucoup plus détendu en ce moment !