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dimanche 24 novembre 2024 - 21h27rech / rep
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(taille reelle)
l'ancienne secretaire du patron ()
Julie était une belle femme brune, souriante, une quarantenaire épanouie. Deux de ses petits détails physiques me rendaient faible. Le premier était sa peau, une véritable peau à parfum qui fixe à peu n'importe quelle fragrance tout en la sublimant avec l'odeur naturelle de sa propre peau, une femme admirable de beauté. Ce mercredi Julie se pointa au bureau:
- Bonjour Alex, le patron est là ?
- Non, il s'est absenté.
- Je peux venir te tenir compagnie ?
- oui, bien sur.
- Il fait chaud ! Je t'embrasse mais, je te préviens, je colle de partout ...
Je l'invitai à se mettre à l'aise. Elle s'installa assise sur le bureau. En même temps qu'elle me parlait, elle n'avait de cesse de croiser et de décroiser les jambes. Tous les deux ou trois mouvements de ciseaux, elle réajustait soigneusement sa robe dégageant négligemment les dentelles de sa combinaison. Je lui offrais un petit café et de delicieux chocolats fondants, Julie se saisit des chocolats directement entre l'index et le pouce, je me délectais de la regarder arrondir ses lèvres pour porter à la bouche chaque chocolat avec une sensualité gourmande. D'ailleurs, elle ne se contentait plus de les mettre entre ses levres, elle les suçait chacun quelques secondes avant de les cranter d'un coup de dent.
Julie écartait machinalement les jambes, histoire de s'aérer un peu plus. Elle perçut alors rapidement le trouble que déclenchait chez moi cette position et me tança ironiquement un:
- ça va ? Alex ?
Elle m'offrait un angle de vue des plus excitants sur son corps, je me trouvais dans la situation d'un insecte paralysé par le venin de son prédateur, les mots ne me sortaient plus de la bouche et la sueur me venait au front. Dans une divine proportion se mélangeaient l'odeur sucrée de sa peau, son eau de parfum et une douce effluve enivrante chargée de phéromones ... Par le hasard des courants d'air, le ventilateur faisait office de seringue et m'administrait cette drogue à hauteur de narines.
- Ne reste pas comme ça devant moi, je suis en pleine ovulation et tu m'excites ! me lâcha Julie.
Je restais encore sous le coup de son envoûtement, incapable d'articuler la plus simple des phrases,
- Tu n'imagines pas comme je mouille ! .
J'essayais de dissimuler un relief genant sur mon pantalon.
- Et en plus, je vois que je ne te laisse pas de marbre ... N'est-ce-pas ? ».
Toujours assise en face de moi, Julie s'avança vers mol. Puis elle me declara tout de go:
- Tu ne me ferais pas quelques douceurs ? Il paraît que tu fais ça comme un dieu !
Dans le creux de mon oreille, elle lâcha quelques mots sans ambiguïté que la pudeur lui défendait sans doute de prononcer à haute voix. Elle souriat de me sentir honteux. Honteux d'une excitation qui devenait douloureuse. Elle ne cessait de me dévisager tout en se tripotant les seins. Cela semblait l'exciter. Elle s'approcha de moi. me posa d'entrée un baiser appuyé sur les lèvres. Quelque peu désarçonné, je la regardais avec des yeux luisants. Elle ne portait rien sous sa robe, et elle s'amusait à sentir mon regard que j'essayais de faire discret sur ses seins.
- ils te plaisent ? Prends les, palpe les
Elle me prit la main et la posa sur son sein. Je la caressai à travers la soie.
- Attends ! Je m'aère un peu, tu permets ?
Elle défit un premier bouton de son corsage.
- Tu veux continuer ? me demanda-t'elle
Je m'appliquai à poursuivre le travail, degageant ses belles poitrines, lourdes et fermes à la fois, il faisait chaud. Elle me caressa le torse, puis, plus bas, mon entrejambe de plus en plus volumineux. Elle me glissa à l'oreille:
- Tu es mur, je vois ! C'est pour moi ?
Sa robe de soie épousait la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glisserent sur le satin avec de longs va et vient puis je descendis ma main plus bas.
- Là sous ma robe, Oui !, … Vas-y, doucement.
Le tissu devenait manifestement mouillé. Je ne me pressais pas. Elle commençait à soupirer. Ses caresses devenaient insistantes. Je glissai mes doigts sous la soie, j'écartai le satin dévoilant sa vulve trempée. et je commençai à la masturber doucement, profondément. Elle gémissait de manière délicieusement érotique.
- Mmmmhh ! Tu sais faire ! m'avoua-t'elle en me glissant un baiser sur les lèvres
- Continue, c’est très agréable. Tu es très doux !
J'alternais caresses profondes et sensuelles.
- Attends, ma culotte te gêne. tire-la vers le bas, je veux mieux sentir tes doigts.
C'est alors qu'elle eut son premier orgasme, ses premiers frissons. Elle me prit alors la main pour que je continue à la masturber Puis, elle me regarda avec insistance:
- Je suis trempée ! Et toute ouverte ! Je suis prête ! Je sens que toi aussi ! Viens !
Puis elle me guida au sol sur le tapis et vint contre moi, dans la position du lotus, ses jambes croisées dans mon dos et les miennes dans le sien. De ses grandes lèvres, elle enserra mon gland écarlate puis, avec la précision du chirurgien, aspira mon sexe dans son vagin exacerbant la sensation des afflux sanguins qui irriguaient ma verge. Ma pénétration fut absolument divine ! Elle m'encouragea avec passion
- Met le moi bien profond ! ... Oui ! C'est bon ! Je te sens bien ! Je te sens fort, puissant, fougueux.
- Donne moi tes lèvres, vite ! Et prend mes seins!
- Laisse toi aller, je suis à toi ! ... Baise-moi fort ! ...
Puis elle alla et vint d'avant en arrière avec une précision quasi millimétrique. À mon tour, je sentais se former en elle les contractions circulaires qui annoncent l'orgasme,
- Encore ... Plus vite ! .... Maintenant ! ...
elle y mit les mots qui allaient m'achever
- Tu aimes ? Tu aimes quand je t'aspire avec mes muqueuses gourmandes ?
Il ne m'en fallut pas plus. De ces quelques mots, Julie m'arracha un bruyant râle de jouissance.
- Oui! Vas-y ! .... OUIII ! .... Oh que c'est bon !
Elle se rhabilla rapidement
- Il faut que je file ! tu embrasseras Lea de ma part !
Et elle prit congé après m'avoir filé un patin gourmand