La directrice est en entretien (d'apres Jacques Lucchesi) ()
À lire le désir qui décrispait ses traits fins lorsqu'elle me fit entrer dans son bureau, je réalisais combien cette femme était attirante, tout en restant exigeante et apparement dirigiste.
- Eh bien, rentre ! Ne sois pas timide ! ... Je m’appelle Viviane. Et toi ?
- Jérôme ? ... Jerome, ca te va bien ! ... Je suis sûre que tu as de très bonnes dispositions !
Elle alla fermer la porte derriere nous et revint vers moi. Je m'interrogeais, un peu perplexe sur ce qu'elle pourrait bien exiger de moi, quand, ne me laissant pas le loisir de reflechir trop longtemps, elle s'approcha de moi et sa bouche, soudain, se colla à la mienne comme une ventouse. Elle resta ainsi une dizaine de secondes me laissant sans voix, avant de faire un premier bilan
- Tes lèvres sont chaudes ! ... J'aime ! me declara-t'elle avant de reprendre le meme travail
Un moment surpris je tachai de me ressaisir. Puis, emporté par l'événement, après tout pourquoi pas, me dis-je, j'en profitais donc de bonne grace. Nos langues se confondirent longuement, s'attrapant et s'enroulant l'une l'autre dans un maelström tout à fait inattendu. Vraiment, elle ne doutait de rien.
- Jerome, je te sens plein d'ardeur ! C'est bon signe !
Devais-je céder à tous ses caprices ? Puis, comme si rien ne venait de se passer, elle retourna vers la porte, pour lui donner un tour de clef. J'entendais au même moment, derriere la porte, la voix de l'autre secretaire repondant au telephone que le directrice était en entretien et donc non disponible. Elle revint vers moi, s'installa face a moi, assise sur son bureau: elle me fixa avec fermeté
- Prends mes seins ! Caresse les ! A pleines mains ! Ne sois pas timide !
- Palpe les ! Petris les ! ... Oui, c'est bien ! ... Ils t'excitent, hein ?
- Tes mains sont douces ! Tu sais t'y prendre. Nous progressons !
D’une main sèche, elle jeta alors au sol les dossiers qui l’encombraient. Puis, elle releva sa jupe à mi hauteur sur ses cuisses légèrement écartées, et me désigna de l’index une cible sans détour:
- Jerome, Je veux que tu me montres ce que tu sais faire !
Je restais sans voix. Je la sentais chaude et mouillée d'excitation. Elle m'attira vers elle avec autorité, prit ma main et l'amena entre ses cuissses chaudes
- Tu sens ? ... comme je mouille ! .... Je suis toute chaude !
- Je veux que tu me baises ... là ! ... Maintenant ! ... Allons ! Ne fais pas le timoré !
Puis elle s'affaira sur moi, défit nerveusement ma ceinture, sortit ma queue, glissant mon gland le long de sa fente. Elle se cambra et d’un coup de rein, elle m'aspira en elle, m'enfoncant jusqu’aux bourses. Je me sentis litteralement avalé dans son ventre chaud.
- Jerôme ! Je te veux bien profond ! Colle toi à moi et sens mes lèvres gourmandes !
- Laisse-moi te suçer, te caresser, te digerer !
- Explore moi ! Perce moi ! Perfore moi ! Baise moi ! Avec ardeur !
- Deploie tout ton talent ! et montre moi que tu es à la hauteur !
Telle une pieuvre, elle m’aspirait de ses muscles intimes, me pressait et cela ne faisait que m’exciter davantage. Je m'enfonçai encore plus loin dans son puit chaud et humide. Elle m'aidait dans mes va et viens. J'étais bientôt sur le point de non retour. Apres une serie d'allers et venues dans ses chairs, je butais au fond d'elle. Et très vite, je sentis mon sexe se raidir, se contracter. je m’arrêtai, et commencai à me retirer pour eviter l'eruption imminente
- Non ! Reste ! Bien au fond ! ... Et Decharge en moi ! Vite !
Elle resserra son vagin, je n'y tins plus, Je poussai alors un cri rauque, je me crispai, me bloquai au fond de son ventre et je déchargeai abondamment , en salves successives. Je me sentais défaillir. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrai de nouveau, m’arrêtai, je lui envoyai une dernière giclée, je me vidai, puis m’enfournai jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle resta là devant moi, les yeux ebahis, siderée, ma queue toujours en elle, bloquée bien au fond. Elle me repoussa un peu, laissant ma verge ressortir, entraînant le foutre qui coulait dans sa fente. Elle contempla, admirative le resultat de cette premiere epreuve. Elle se leva, sa culotte trempée, collante,
- Eh bien, mon ami ... qu’est-ce que tu m'a mis !
- Jerôme, je ne me doutais pas que tu avais autant de ressources !
Une fois les spasmes apaisés, elle me laissa glisser hors d'elle, dans un indecent bruit de succion, liberant un flot de semence. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle aussi épuisée que moi.
- Ok c'est bon ! ... Je pense que tu es bon pour le service !
- Je t'attends tous les mercredi pour faire le point, d'accord ?
(Jacques Lucchesi, La directrice est en entretien).