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jeudi 28 novembre 2024 - 14h45rech / rep
cptr-n-44@ rurl-03

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(taille reelle)
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Prise d'une soudaine et irresistible envie de sexe, Jeanne m'emmena à l'écart dans le parc et m'enlaça tendrement. Emu, je sentis les seins de Jeanne qui s'écrasaient mollement contre ma poitrine. Je fus troublé par le contact sensuel des deux masses élastiques. Dans un geste qui se voulait bienveillant, je caressai affectueusement le dos de la comtesse et sentit aussitot le relief du soutien-gorge sous le corsage de soie.
Jeanne n'abrégeait toujours pas ses elans de tendresse. Tout en continuant, d'une manière un peu plus sensuelle qu'il n'aurait fallu, elle pouvait sentir le frémissement de mon sexe, reveillant ses fantasmes les plus fous.
Paniqué, je tentai de repousser ce corps chaud et sensuel qui me troublait de plus en plus, mais Jeanne continuait à cajoler son jardinier, inconsciente du trouble qu'elle créait chez moi.
Le frôlement de nos deux corps ne fit qu'aggraver les choses. Jeanne, éprouvant soudain une douce sensation au contact de la proéminence dans mon pantalon, elle s'ingénia à faire durer le moment. Affolée, elle pouvait sentir même une douce chaleur prendre naissance au plus intime de son sexe, Elle tenta de se calmer elle-même en se frottant lascivement contre cette raideur, ce qui eut l'effet inverse: Affolée par mon contact viril, elle demeura figée, la bouche entrouverte, machinalement je posai une main sur l'un de ses seins fremissants sous son corsage, je le palpai avec émotion, souple au toucher sous le leger tissu. elle me laissa faire
- Ils ne sont plus aussi fermes qu'auparavant, bégaya-t-elle, comme pour excuser la lourdeur de ses appâts .
Terriblement excité, je pris alors le second sein et entrepris de palper les lourdes mamelles, objets de mes fantasmes. Je constatai vite que le regard de Jeanne devenait plus trouble au fil de mes caresses, que sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. le corps parcouru d'un long frémissement érotique, elle cambra ses reins Accrochée à moi, le visage dans mon cou, Les sens exacerbés, elle fit frotter son bas-ventre contre mon membre dressé,
N'y tenant plus, j'attirai la comtesse plus étroitement vers moi, lui faisant sentir la fermeté de mon désir.
Lorsqu'elle se rendit compte qu'imperceptiblement je retroussai sa robe sur ses cuisses, elle s'immobilisa afin de ne pas entraver l'opération. Comprenant à son immobilisme soudain, que la comtesse s'abandonnait à mes sens en complet désarroi, je retroussai un peu plus la robe et put saisir à pleine mains les fesses rondes et fermes, avant de glisser mes doigts dans le vêtement intime. Dans mon cou Jeanne gémissait furtivement. et lorsque l'un de mes doigts s'enfonça délicatement dans son intimité, elle sentit son cœur s'emballer, son bas-ventre se crisper, cette onde voluptueuse la submergea toute, elle ressentit comme une explosion à l'intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête blessée, libérant tout le flux sensuel emmagasiné en elle. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme, elle s'accrocha désespérément au cou de son amant dont les doigts la fouillaient d'une manière terriblement voluptueuse. la vulve de Jeanne dégoulinait d'un jus chaud et onctueux.

La gorge nouée, terriblement ému par ce que j'osai, j'enfonçai mes doigts dans le magma liquide qui enduisait l'intérieur du sexe en fusion. Ma main barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis. Je commençai à me mouvoir en profondeur dans le vaste vagin, repoussant avec délectation les chairs gorgées de jus chaud et glissant. Complètement bouleversée par cette situation, Jeanne se mit à agiter vivement son bassin d'avant en arrière, dans une frénétique danse du ventre, tentant par ses mouvements désordonnés de m'aider, moi son jardinier qui la fouillait si profondément. Sous ce traitement délirant, Jeanne ne tarda pas à sentir monter la jouissance. Dans une crise frisant l'hystérie elle se laissa emporter par un orgasme violent et dévastateur en laissant échapper de longs vagissements. La main trempé par l'abondance des sécrétions vaginales que Jeanne avait lâchées dans ses nombreux spasmes sensuels,

Ma verge ètait raidie à l'extrême, dure et frémissante de désir contenu. Jeanne s'en rendit compte et posa alors sa main sur l'énorme protubérance. Prise d'une impatience érotique, elle s'attaqua à la ceinture de mon pantalon, qui s'écroula mollement. Sentant la main de la comtesse enserrer ma verge, je ne pus réprimer un tremblement voluptueux. Saisissant ma sensuelle partenaire par les hanches, je la poussai doucement et l'allongeai dans l'herbe fraiche. Jeanne tenta faiblement de protester mais, incapable de résister, elle me laissa la maitriser, un long frisson de désir lui parcouru tout le corps.
- Oh non… Robert… Non… Gémit-elle doucement en me sentant retrousser sa jupe…
Je me penchai sur le bas-ventre que je venais de découvrir. Saisissant la fine culotte de satin, je la tirai doucement vers le bas.
- Oh Non ! Gémit Jeanne d’une toute petite voix…
- Soyez sage…Robert Ce n’est pas bien, ce que nous faisons…
Mais son corps s’offrait sans retenues, elle souleva ses fesses, afin de m’aider à lui retirer sa lingerie intime. elle sentit la douceur du satin glisser le long de ses cuisses frémissantes, Envahie de desir, elle empoigna fougueusement ses deux seins pour les étreindre passionnément. Soudain une violente décharge sexuelle la fit se cambrer furieusement. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de son vagin, irradia son bas-ventre, grimpa le long de son corps, les yeux clos, les doigts encore refermés sur son opulente poitrine, les cuisses largement ouvertes sur sa vulve trempée, elle haletait doucement, le bas-ventre encore agité de frémissements voluptueux.

Allongée sur l'herbe, les jambes largement ouvertes, Jeanne fixa comme médusée mon énorme sexe. Elle degrapha son chemisier d'un geste souple libérant brutalement ses magnifiques seins, qui s’avachirent de chaque coté de son torse, tel deux masses élastiques. Me penchant sur le corps étendu de ma sensuelle maitresse, je refermai mes lèvres sur l’un des tétons raides et durs, que je me mis à sucer avec une délectation sensuelle.
Sous cette nouvelle caresse terriblement affolante, Jeanne referma ses doigts dans ma chevelure, m’attirant fiévreusement contre son sein. son bas-ventre commençait à s’agiter sensuellement à la recherche du sexe masculin. J'abandonnai alors les énormes mamelles luisantes de ma salive, pour me redresser. Je présentai ma verge à l’entrée de la vulve de la comtesse, Jeanne ne put contenir le frisson de que lui procura ce frôlement érotique.
- Oh Robert ! … Que faisons-nous ! … C’est pas bien ! …
Surexcitée, elle agita pourtant ses hanches, langoureusement, lançant désespérément sa vulve à la rencontre de mon sexe mâle. Perdant toute retenue, impatiente de se sentir penetrer, impatiente d'absorber ce sexe dans son vagin en fusion,
- Robert ! ... Venez vite !
Sans attendre, j'enfonçai mon sexe qui fut comme aspiré par l'orifice sexuel féminin. Bientôt, seules mes bourses émergèrent, la totalité de mon sexe étant enfoui dans le ventre de la comtesse,
Jeanne ne tarda pas à haleter sensuellement, la vulve entièrement comblée par cet énorme sexe, Les mains agrippées aux larges hanches potelées de Jeanne, je me laissai glisser d’abord lentement, Puis je retirai ma verge .... un peu.
- Oh non, gémit-elle… Restez !… C’est si bon !…
Je m'enfonçai de nouveau entre les cuisses grandes ouvertes,
- Oh, Robert !… C'est si bon !
Le va-et-vient puissant et régulier de mon gland dilaté entre les parois juteuses de la vulve de la comtesse declencha chez elle des milliers d’ondes voluptueuses qui irradiaient son corps.
- Robert, Je sens bien votre belle queue dans mon ventre !
- Venez vite ! Je n'en peux plus !
Lui saisissant les hanches, je la penetrai d’un ample mouvement des reins, et fit coulisser ma verge dans son vagin, elle sentit ses entrailles se liquéfier. Un mince filet chaud et abondant s’écoula de son vagin pour se perdre entre ses fesses charnues.
je ressentai le frottement terriblement affolant des chairs internes de sa vulve contre ma verge. Le corps en sueur je me démenai alors en ondulant des hanches, Accompagnant les gémissements de plus en plus prononcés de Jeanne, je me dechainai dans le fourreau sexuel, le pistonnant avec une véritable rage sexuelle, Enfin je sentis le plaisir envahir mon bas-ventre, gonfler un peu plus mon sexe. Percevant les frémissements avant coureur qui agitaient mon membre, je m'enfonçai bien au fond, m'immobilisai
- Oh Madame ! ... Aaahhh !
Et .... je giclai copieusement mon sperme épais et abondant en plusieurs jets puissants. Au même moment dans un long râle de femelle comblée, Jeanne jouissait dans une contorsion desordonnée de tout son corps.

Au bout d’un long moment, nous reprimes enfin nos esprits. Lentement, Jeanne retira mon enorme sexe ramoli de sa vulve trempée, qu’elle reposa sur mon ventre encore parcouru de spasmes. Jeanne s’accrocha a mon cou et m’embrassa tendrement du bout des lèvres. Attendri par cet abandon, je l'attirai à moi
et collant ses lèvres aux siennes l’embrassai passionnément, lui fouillant la bouche de ma langue agile.