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jeudi 28 novembre 2024 - 14h33rech / rep
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(taille reelle)
mains sur le tronc de l’arbre ()
Il posa mes mains sur le tronc de l’arbre, afin que je sois bien cambrée. Il releva ma robe sur mon dos. Ma lune souriait à la lune, et mon cœur battait. Julien me pétrit les fesses et entra en moi. Il me tint par les hanches et alla, vint, délicieusement. j’aimais ce mouvement lunaire, Plus il avançait, plus mon plaisir grandissait. Je finis par embrasser totalement le tronc de l’arbre afin de ne pas tomber.
Mes seins se frottaient contre le bois, décuplant ma jouissance. Je devins comme folle, gigotant en tous sens. Il me pilonnait avec ardeur. Je gemissais au fur et à mesure que je sentais l’orgasme progresser. Ce fut une position d’un doigt, à un endroit stratégique, qui le déclencha. Je me dégageai et m’écroulai dans ses bras. Haletante, je voyais encore la queue de Julien dressée vers le ciel. Ma poitrine était toujours nue, mon corset entièrement défait. J’engloutissais sa queue avec gourmandise, tenant délicatement les bourses dans ma main.
j’allais, venais, le sentant grossir davantage, et encore, et encore, jusqu’à ce qu’il explose. Je me dégageai, et des giclées de sperme atterrirent au creux de mes seins, souillant le tissu précieux du corset. il me nettoya. Délicatement, en silence, il frottait mon menton, mes épaules, ma gorge. Avec beaucoup de sérieux, il s’employait à faire disparaître chaque trace de sperme. Sur mon corset, il avait séché. Il trouva du parfum de femme dans sa boîte à gants et en diffusa sur le tissu. Tous ses gestes me serraient le cœur. Jamais il n’avait été aussi tendre.