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dimanche 01 décembre 2024 - 06h11rech / rep
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(taille reelle)
Jeanne et le jardinier ()
Prise d'une soudaine et irresistible envie de sexe, Jeanne emmena Robert le jardinier à l'écart dans le parc et l'enlaça tendrement. Emu, Robert sentit les seins de Jeanne qui s'écrasaient mollement contre sa poitrine. Il fut troublé par le contact sensuel des deux masses élastiques. Dans un geste qui se voulait bienveillant, il caressa affectueusement le dos de la comtesse et sentit aussitot le relief du soutien-gorge sous le corsage de soie.
Jeanne n'abrégeait toujours pas ses elans de tendresse. Tout en continuant, d'une manière un peu plus sensuelle qu'il n'aurait fallu, elle sentit le frémissement du sexe de Robert, reveillant ses fantasmes les plus fous.
Paniqué, Robert tenta de repousser ce corps chaud et sensuel qui le troublait de plus en plus, mais Jeanne continuait à cajoler son jardinier, inconsciente du trouble qu'elle créait.
Le frôlement des deux corps ne fit qu'aggraver les choses. Jeanne, éprouvant soudain une douce sensation au contact de la proéminence dans le pantalon de Robert, s'ingénia à faire durer le moment. Affolée, elle sentit même une douce chaleur prendre naissance au plus intime de son sexe, Elle tenta de se calmer elle-même en se frottant lascivement contre cette raideur, ce qui eut l'effet inverse: Affolée par ce contact viril, elle demeura figée, la bouche entrouverte, machinalement Robert posa une main sur l'un des seins fremissants sous son corsage, Il le palpa avec émotion, souple au toucher sous le leger tissu. elle le laissa faire
- Ils ne sont plus aussi fermes qu'auparavant, bégaya-t-elle, comme pour excuser la lourdeur de ses appâts .
Terriblement excité, Robert prit alors le second sein et entreprit de palper les lourdes mamelles, objets de ses fantasmes. Il constata vite que le regard de Jeanne devenait plus trouble au fil des caresses, que sa respiration s'accélérait, se faisait haletante. le corps parcouru d'un long frémissement érotique, elle cambra ses reins Accrochée à lui, le visage dans son cou, Les sens exacerbés, elle fit frotter son bas-ventre contre ce membre dressé,
N'y tenant plus, Robert attira la comtesse plus étroitement vers lui, lui faisant sentir la fermeté de son désir.
Lorsqu'elle se rendit compte qu'imperceptiblement Robert retroussait sa jupe sur ses cuisses, elle s'immobilisa afin de ne pas entraver l'opération. Comprenant à son immobilisme soudain, que la comtesse s'abandonnait à ses sens en complet désarroi, Robert retroussa un peu plus la jupe. et put saisir à pleine mains les fesses rondes et fermes, avant de glisser ses doigts dans le vêtement intime Dans son cou Jeanne gémissait furtivement. et lorsque l'un des doigts de Robert s'enfonça délicatement dans son intimité, elle sentit son cœur s'emballer, son bas-ventre se crisper, cette onde voluptueuse la submergea toute, elle ressentit comme une explosion à l'intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête blessée, libérant tout le flux sensuel emmagasiné en elle. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme, elle s'accrocha désespérément au cou de son jardinier dont les doigts la fouillaient d'une manière terriblement voluptueuse. la vulve de Jeanne dégoulinait d'un jus chaud et onctueux.

La gorge nouée, terriblement ému par ce qu'il osait, Robert enfonça ses doigts dans le magma liquide qui enduisait l'intérieur du sexe en fusion. Sa main barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis. il commença à se mouvoir en profondeur dans le vaste vagin, repoussant avec délectation les chairs gorgées de jus chaud et glissant. Complètement bouleversée par cette situation, Jeanne se mit à agiter vivement son bassin d'avant en arrière, dans une frénétique danse du ventre, tentant par ses mouvements désordonnés d'aider son neveu qui la fouillait si profondément. Sous ce traitement délirant, Jeanne ne tarda pas à sentir monter la jouissance. Dans une crise frisant l'hystérie elle se laissa emporter par un orgasme violent et dévastateur en laissant échapper de longs vagissements. La main trempé par l'abondance des sécrétions vaginales que Jeanne avait lâchées dans ses nombreux spasmes sensuels,

La verge de Robert ètait raidie à l'extrême, dure et frémissante de désir contenu. Jeanne s'en rendit compte et posa alors sa main sur l'énorme protubérance. Prise d'une impatience érotique, elle s'attaqua à la ceinture du pantalon, qui s'écroula mollement. Sentant la main de la comtesse enserrer sa verge, Robert ne put réprimer un tremblement voluptueux. Saisissant sa sensuelle partenaire par les hanches, Robert la poussa doucement et l'allongea dans l'herbe fraiche. Jeanne tenta faiblement de protester mais, incapable de résister, elle laissa Robert la maitriser, un long frisson de désir lui parcouru tout le corps.
- Oh non… Robert… Non… Gémit-elle doucement en sentant son jardinier retrousser sa jupe…
Robert se pencha sur le bas-ventre qu’il venait de découvrir. Saisissant la fine culotte de satin, il la tira doucement vers le bas.
- Oh Non ! Gémit Jeanne d’une toute petite voix…
- Soyez sage…Robert Ce n’est pas bien, ce que nous faisons…
Mais son corps s’offrait sans retenues, elle souleva ses fesses, afin d’aider Robert à lui retirer sa lingerie intime. elle sentit la douceur du satin glisser le long de ses cuisses frémissantes, Envahie de desir, elle empoigna fougueusement ses deux seins pour les étreindre passionnément. Soudain une violente décharge sexuelle la fit se cambrer furieusement. Une onde dévastatrice explosa au plus profond de son vagin, irradia son bas-ventre, grimpa le long de son corps, les yeux clos, les doigts encore refermés sur son opulente poitrine, les cuisses largement ouvertes sur sa vulve trempée, elle haletait doucement, le bas-ventre encore agité de frémissements voluptueux.

Allongée sur l'herbe, les jambes largement ouvertes, Jeanne fixa comme médusée l’énorme sexe de son jardinier. Elle degrapha son chemisier d'un geste souple libérant brutalement ses magnifiques seins, qui s’avachirent de chaque coté de son torse, tel deux masses élastiques. Se penchant sur le corps étendu de sa sensuelle maitresse, il referma ses lèvres sur l’un des tétons raides et durs, qu’il se mit à sucer avec une délectation sensuelle.
Sous cette nouvelle caresse terriblement affolante, Jeanne referma ses doigts dans la chevelure de son beau jardinier, l’attirant fiévreusement contre son sein. son bas-ventre commençait à s’agiter sensuellement à la recherche d’un sexe masculin. Robert abandonna alors les énormes mamelles luisantes de sa salive, pour se redresser. il présenta sa verge à l’entrée de la vulve de la comtesse, Jeanne ne put contenir le frisson de que lui procura ce frôlement érotique.
- Oh Robert ! … Que faisons-nous ! … C’est pas bien ! …
Surexcitée, elle agita pourtant ses hanches, langoureusement, lançant désespérément sa vulve à la rencontre du sexe mâle. Perdant toute retenue, impatiente de se sentir penetrer, impatiente d'absorber ce sexe dans son vagin en fusion,
- Robert ! ... Venez vite !
Sans attendre, Robert enfonça son sexe qui fut comme aspiré par l'orifice sexuel féminin. Bientôt, seules les bourses émergèrent, la totalité du sexe étant enfoui dans le ventre de la comtesse,
Jeanne ne tarda pas à haleter sensuellement, la vulve entièrement comblée par l’énorme sexe, Les mains agrippées aux larges hanches potelées de Jeanne, Robert se laissa glisser d’abord lentement, Puis il retira sa verge .... un peu.
- Oh non, gémit-elle… Restez !… C’est si bon !…
Robert s'enfonça de nouveau entre les cuisses grandes ouvertes,
- Oh, Robert !… C'est si bon !
Le va-et-vient puissant et régulier du gland dilaté entre les parois juteuses de la vulve de la comtesse declencha chez elle des milliers d’ondes voluptueuses qui irradiaient son corps.
- Je sens bien votre belle queue dans mon ventre !
- Venez vite ! Je n'en peux plus !
Lui saisissant les hanches, Robert la penetra d’un ample mouvement des reins, et fit coulisser sa verge dans son vagin, elle sentit ses entrailles se liquéfier. Un mince filet chaud et abondant s’écoula de son vagin pour se perdre entre ses fesses charnues.
il ressentait le frottement terriblement affolant des chairs internes de la vulve contre sa verge. Le corps en sueur il se démena alors en ondulant des hanches, Accompagnant les gémissements de plus en plus prononcés de Jeanne, il se dechaina dans le fourreau sexuel, le pistonnant avec une véritable rage sexuelle, Enfin Robert sentit le plaisir envahir son bas-ventre, gonfler un peu plus son sexe. Percevant les frémissements avant coureur qui agitaient son membre, il s'enfonça bien au fond, s'immobilisa
- Oh Madame ! ... Aaahhh !
Et .... il gicla copieusement son sperme épais et abondant en plusieurs jets puissants. Au même moment dans un long râle de femelle comblée, Jeanne jouit dans une contorsion desordonnée de tout son corps.

Au bout d’un long moment, les deux amants reprirent enfin leurs esprits. Lentement, Jeanne retira l'enorme sexe ramoli de sa vulve trempée, qu’elle reposa sur son ventre encore parcouru de spasmes. Jeanne s’accrocha au cou de son neveu et l’embrassa tendrement du bout des lèvres. Attendri par cet abandon, Robert attira sa tante à lui
et collant ses lèvres aux siennes l’embrassa passionnément, lui fouillant la bouche de sa langue agile.