Louis était monté comme un taureau. Il irradiait de puissance. il me prit dans la remise. Apres m'avoir rapidement allongée sur une serie de vieux matelas, il me pénétra d’abord lentement, comme pour me travailler, me préparer, me lubrifier. Je sentais son enorme queue raide qui glissait de plus en plus profondement. Puis il s’immobilisa. Je ressentis une sensation d'envahissement, de puissance et de chaleur intime, Il s'enfonca à nouveau, jusqu'au fond. Un puissant sexe mâle était enfoncé en moi, je le sentais vivre dans mon ventre. Ce sexe était enorme et brulant, il était planté en moi, immobile. J'avais l’impression d'être remplie. Puis il mit plus de puissance dans sa charge, me laboura, me besogna un long moment, il me prit sans ménagement et, sous l’effet de ses ondulations, il m’offrit une ribambelle d’orgasmes. Il m’entreprit un long moment, Il explosa une première fois, m’arrachant une jouissance infinie. Il resta en moi, et reprit vite de la vigueur, il me fit l’amour ainsi de façon puissante une demi-douzaine de fois. Puis je sentis son sexe, toujours enfoncé en moi, diminuer doucement de volume et ressortir lentement, liberant un flot de secretions amoureuses. Il s'échappa totalement, me laissant allongée, exsangue après cette fougueuse épopée. je l'ai laissé glisser hors de moi, dans un curieux bruit de succion et de glissement mouillé, liberant un flot de semence accompagné d’un torrent de son jus qui me coula délicieusement entre les fesses, J’étais aussi épuisée que lui, La tourmente fit place à un calme absolu. Je me sentais sans force, je pleurais doucement. Je restais là, les cuisses ouvertes, béante. L’air sur mes cuisses trempées de sperme me donnait le frisson.