Salives d’excitation, Il ne perd pas de temps. il attrape mon bras, jette mon sac au sol, dégrafe mon corsage, baise mon sein. Il me plaque contre le mur, m'embrasse, assoiffé, affamé, mordant. Salives d’excitation, il relève ma robe puis ma combinaison, déboutonne son pantalon. Il relève ma jambe. Tendresse et sauvagerie mêlée. Tendresse et sauvagerie mêlée. Mes rondeurs se dégustent, sa main est sur mon sein. son doigt sous l'élastique de ma fine culotte qui s'écarte et qui tombe, son pantalon qui s'ouvre. Son sexe, énorme, bien bandé et droit, se déploie, dirigé immédiatement au bon endroit et sans attendre ... pénètre dans mon nid brulant. Vient le soyeux intense, le charnel infini. Le paradis moite qui ouvre grand ses portes. Soupirs, râles, encouragements. Son sexe s'enfonce, et encore ... et encore ... Ses mains agrippent mes hanches. Son sexe sort puis s’enfonçe à nouveau, va et vient, tantôt lent, tantôt rapide. Je gémis, de plus en plus, le supplie de continuer, encore et encore… Je gémis, de plus en plus fort, il me défonçe, j'en veux plus. Je me redresse, bouche ouverte, haletante, encore plus cambrée. Plus je gémis et plus il se déchaine, plus j'adore. Il me tire encore plus vers lui, sa main pétrit encore plus mon sein, puis pinçe le téton, doucement, puis plus fort. Je me fait baiser ! sauvagement. Profondeur abyssale, le sang monte. Son sexe gonfle durcit et s'allonge encore dans mon ventre, les va-et-vient ralentissent, il va jouir, Il se contracte, se fige, un cri rauque ... et il gicle, une humeur bien épaisse, bien blanche coule et déborde sur mes cuisses. Jouissance liberée, jouissance partagée. Déferlement. Tout la jouissance du monde en un instant.
Le chaud de ses levres voraces m'enflamme, m'excite, je sens mon ventre frissoner, mes jambes tremblent déjà, mes lèvres entrouvertes s'offrent à ses mains qui me fouillent et se levres me suçent. Je me laisse dévorer. La fièvre m'envahit, j'implore le plaisir sous ses mains expertes. Je m'abandonne
son sexe, saillant et tendu sous le boxer. Me voilà à sa merci, ses mains puissantes et douces sur mes hanches, son sexe cherche son trou, il me trouve enfin, me pénètre puissement, le miel de mon jardin s'écoule jusqu'en haut de mes cuisses, j'entends ses gémissements, je l'accompagne. Cadence, force, puissance, la chaleur envahit tout mon corps et se mêle à la sienne, c'est bon et je lui dis. Il aime que je lui dise et j'aime qu'il aime.
À cet instant nous ne faisons qu'un, l'enchevêtrement de nos deux corps, les va-et-vient, le mélange de nos odeurs, de nos souffles, de nos peaux emmêlées. Nos corps se tendent, on se sent, on se touche, on s'embrasse, partout, dedans, dehors, plaisir, notre plaisir. Encore ! Ensemble ! Crescendo ! Jouissance ! jusqu'à l'épuisement !Je me laisse aller, je me colle à lui, nos cœurs battent, vite, très vite, il m'enlace. On se regarde, on sourit, on ne dit rien, les mots sont vains, les étincelles de ses yeux noisettes me suffisent...