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dimanche 24 novembre 2024 - 19h31rech / rep
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(taille reelle)
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Il est venu doucement derrière moi. J'ai senti ses mains chaudes qui pressaient légèrement mes seins, il les palpait doucement pour en apprécier la souplesse. Puis il les rapprochait l'un de l'autre. Il les lachait ... ils reviennaient en place dans de légers tremblements. Cette action répétée faisait sortir mes pointes. Il enfonçait ses doigts, dans ma chair laiteuse, effectuait de petits cercles concentriques et écrasait mes tétons. Je ressentais des ondes de chaleurs. il pressait doucement ma pointe par une légère torsion et l'étirais. Ses doigts n'en finissaient pas de me traire, une fois, deux fois, dix fois, je ne comptais plus, je me cambrai pour mieux offrir mes poitrines gonflées d'excitation. J'étais au bord de l'orgasme….

Ses deux mains chaudes se sont posées en coupe sous mes seins et les pressaient tendrement. Puis elles les soulèvaient. Il plaqua ensuite ses doigts sur mes mamelons et les pressa durement, cherchant à enfoncer mes pointes durcies dans la masse laiteuse. Il recommenca plusieurs fois, empoignant cette fois mes seins à pleine main, et leur faisait décrire des cercles aussi grands qu'il le pouvait. Il palpait délicatement mes seins, puis les serrait doucement, et recommençait. Sentant cette fois-ci une douce chaleur, il pouvait les palper, les caresser à loisir. J'étais allongée, la tête renversée en arrière, les yeux fermés, laissant échapper des gémissement de plaisir au gré de ses caresses. Mon sexe coulait. chaque malaxage attisait dans mon sexe une boule de lave incandescente. les yeux fermés, la bouche encombrée de salive, les muscles de mes cuisses crispés à l'extrême, je m'entendais geindre. Il imposa une lente et savante rotation à mes pointes gonflées. Immobile, j'essayais de respirer lentement et profondément, ma vulve était envahie de cyprine et sujette à des contractions incontrôlables. je râlais de plaisir et un filet de salive glissait sur mes levres. J'étais au bord de l'orgasme.

Ma main sous ton sein pour le faire saillir. Il est souple, chaud, vibrant Je caresse ta douce poitrine, le sous-pese, Pris d'un vertige sensuel, je le presse, je le roule, Le sein se gonfle. Le bout est durs, Tu pousses un profond soupir. Tu t'agite. Ton sein est secoué de mouvements érotiques la croupe tendue vers moi, impudique, Tu t'offre de toutes parts, te laisse posséder. Tes spasmes se succédent de plus en plus vite ... de plus en plus fort. Tu tends ton buste lourd, tes bras de maniere voluptueuse,


Mes mains sous tes seins pour les faire saillir. Ils sont souples, chauds, vibrants Je caresse tes douces poitrines, les sous-pese, Pris d'un vertige sensuel, je les presse, je les roule, Les seins se gonflent. Les bouts sont durs, Tu pousses un profond soupir. Tu t'agites. Tes seins sont secoués de mouvements érotiques la croupe tendue vers moi, impudique, Tu t'offres de toutes parts, te laisse posséder. Tes spasmes se succédent de plus en plus vite ... de plus en plus fort. Tu tends ton buste lourd, tes bras de maniere voluptueuse,







Je possède, en mes doigts subtils, le sens du monde
Car le toucher pénètre ainsi que fait la voix;
L'harmonie et le songe et la douleur profonde
Frémissent longuement sur le bout de mes doigts...

Et pareils à ceux-là qui viennent des voyages,
Mes doigts ont parcouru d'infinis horizons.
Ils ont éclairé, mieux que mes yeux, des visages,
Et m'ont prophétisé d'obscures trahisons.

Ils ont connu la peau subtile de la femme
Et ses frissons cruels et ses parfums sournois.
Chair des choses! J'ai cru parfois étreindre une âme
Avec le frôlement prolongé de mes doigts...

Le givre et le brouillard des pâles broderies
Où les tisseuses ont tramé leurs rêveries...
Parèrent savamment ta savante impudeur
Et ton corps où le rut a laissé sa tiédeur.

Renee Vivien