Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute.