Nous etions tous les deux excités. Je mouillais comme une fontaine et il bandait contre moi à la limite de l'indécence. La semi-obscurité aidant, nous nous sommes éclipsée vers le fond de cette grande salle et sans attendre, Il me prit d'un coup contre le mur, lingerie et pantalons, à terre, paroxysme des sens, je sentis sa queue s'engouffrer toute entière entre mes levres trempées, écartant mes muscles, les pressant, Il ressortit, s'enfonça encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec une douce ardeur mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il prit ma bouche et m'embrassa tres charnellement. Et il recommença ses va et vient. Chaque coup de rein m'emplissait d'excitation. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, il me fit jouir en même temps que lui. pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours sur moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours Je voulais le sentir revenir vite en moi. Et les va et vient infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.
Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort en les rapprochant de moi tout en écartant les cuisses au maximum et je le sentis se glisser furieusement en moi d'un seul coup. Il me pénétra très profondement m'arrachant un long râle tant j'étais prête : ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait.
Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin. Je savais qu’il était sur le point de non retour.
Il explosa presque aussitôt, Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de son plaisir. Je fus secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.
Les spasmes finis, je laissai sa queue glisser hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, tel un enfant sur le ventre de sa mère, mon beau mâle était allongé sur moi, c'était attendrissant au possible. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Je sentis que j'aurais pu repartir pour un second service tant mon excitation était encore vive. Mon bel Apollon ouvrit les yeux. Quelle douceur ! quelle paix ! Je lus de la reconnaissance et une pointe d'étonnement dans son regard encore trouble. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. J'aurais voulu le garder en moi encore un moment, le sentir s'abandonner complètement, mais je savais que c'était impossible : il ne fallait tout de même tenter le diable, et c'était miracle que nous n'ayons pas été surpris. Je m'assoupis dans ses bras puissants... Puis une fois réveillés, Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, se glissa hors de la grange.