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dimanche 24 novembre 2024 - 19h49rech / rep
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(taille reelle)
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Sa voix est chaude et un peu rauque. Ses seins lourds ballotent devant mes yeux, elle me provoque. Je n'arrive pas a cacher l'effet qu'elle produit sur moi
- Dis moi ? Je ne te laisse pas de marbre je vois !
- Ils sont à ton goût ?
J'essayais de me defendre en decrivant une simple reaction physiologique.
- Comment une simple reaction physiologique ? C'est quoi une reaction physiologique ?
J’ai l’impression de manquer d’air tout à coup.
- Tu n'arretes pas de regarder mes seins !
- Tu peux les caresser si le cœur t'en dit.
Je tente de me ressaisir. Elle s’approche de moi à me toucher et je m’étrangle en respirant son parfum. Je sens la chaleur de son corps et les pointes de ses seins qui me chatouillent la poitrine. Elle se colle à moi et m’enlaçe ... elle me tend ses lèvres. Je tente de resister mais mon désir monte, presque douloureux. Elle se colle à moi. Je sens ses seins s’écraser sur mon torse, un baiser sur mon cou et une main qui vient tâter délicatement le relief de mon pantalon.
- Dis moi, ta réaction physiologique s’est développée !
- Je sens ton regard et ça m’excite.
J'ai le corps en feu.
- Allez ! Cool ! laisse-toi aller, la vie est belle.
J'ai du mal à garder une contenance Elle a glissé une main sous son chemisier et se caresse un sein.
- Laisse moi prendre les choses en main !
Et d’un geste très naturel, elle défait ma braguette et extirpe mon sexe douloureux. elle se penche, m’avale le sexe tout entier puis me suce langoureusement. Dieu que c’est bon ! Je me raidis sous la caresse J’ai l’impression que mon âme est aspirée par sa bouche. Le plaisir monte, monte jusqu’au jaillissement dans une telle jouissance que j’en ai des éblouissements lumineux. Elle se redresse d’un petit air satisfait.
- Te voilà soulagé ! Ca va mieux ?
Je sens bientôt un pied nu chercher le mien je m’abandonne à la caresse. elle se colle dans mon dos, m’enlace et se frotte à moi doucement. Sa main caresse mon mat encore douloureux
- Hé ! Tu sais quoi, il y a ton érection qui t’as repris.
Elle commence à me masturber tout en continuant à se frotter à moi. Il ne lui faut pas plus de vingt secondes de ce traitement pour me faire bander comme un taureau. Elle m’embrasse délicatement, m’enlace et m'embrasse, nos langues se mêlent et mon esprit s’emballe.
- Dis moi ... tu ne vas pas me laisser comme ca !
Quelques frottis frotta puis je sens mon sexe aspiré par une main volontaire, elle me tient maintenant fermement contre elle, Sans avoir le temps de réagir, je me sens d'un coup aspiré en elle. Je la penetre, elle m'engloutit Je suis tellement excité que j’éjacule très rapidement.

Je me reveille le lendemain matin, elle est là dans l'embrasure de la porte Elle porte une nuisette noire qui ne cache pas grand chose. Elle est là debout, passivement provoquante. Ses yeux me sourient, ses seins palpitent doucement sous la nuisette. Je suis litteralement aimanté. Je me colle à elle Je palpe un sein. J’en lèche longuement le bout jusqu’à ce qu’il se redresse, puis passe à l’autre, puis plus fort jusqu’à la faire gémir. Alors je descends jusqu’à son sexe. Elle me prend la tête pour la presser avidement contre son buisson ardent. Je la suce avidement. Elle se laisse glisser sur le sol. Je remonte doucement tout en l’embrassant le long de son corps jusqu’à la pénétrer d’un seul coup. Je reste un moment immobile, enfoncé au maximum et nous savourons la sensation de sentir l’autre.
Alors doucement je me retire puis reviens, encore, et encore, de plus en plus vite. Je l’entends gémir de plus en plus fort. Je ne me contrôle plus, je me déchaîne au maximum de mes forces ... jusqu’au cri qui nous laisse vidés l’un contre l’autre.
Elle m’entraîne dans sa chambre et me pousse sur le lit. Elle se déshabille devant moi. Ses longs cheveux noirs retombent sur ses épaules. Les seins pourtant lourds se dressent fièrement. Elle s’allonge sur moi, commence à se frotter ravivant mon désir. Je l’enlace et la pénètre à nouveau. Cette fois notre union dure longtemps, longtemps. Lorsque je jaillis de nouveau en elle, elle ne me laisse pas en paix, elle reprend ses caresses, entreprend une longue fellation qui parvient à me rendre vigueur. Dix fois je crois finir épuisé. Dix fois elle parvient à raviver mon désir. Elle me ferme la bouche d’un baiser m’assurant que je suis le meilleur amant qu'elle ait jamais eu, et elle parvient encore à m’entraîner dans une ultime étreinte. Elle a eu raison de moi