Affalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoque:
- Est-ce que je t'excite ?
Elle fixe mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'ai chaud. Ma respiration s'accélére. Elle ne lache pas des yeux mon appareil génital
- Tes bourses sont pleines ! Elles ont besoin d'être déchargées
Je la sens terriblement excitée. Je l'entends gémir doucement. Elle se caresse le ventre. Elle gémit.
- Je suis chaude ! ... et ouverte ! J'ai encore faim ! Tu viens ?
Je reviens vers elle, je sors mon appareil, je promene mon gland sur sa vulve trempée. Lentement, je sens ma queue aspirée entre ses grandes lèvres.
- Tu aimes ? C'est doux et chaud, tu ne trouves pas ?
Je commençe à faire glisser ma verge en elle. je saisis ses seins, je les palpe, les masse. elle s'abandonne à mes attouchements. je sens son vagin qui se contracte autour de mon penis, en émettant un bruit de succion terriblement érotique. Son vagin dégouline sur mes bourses. Le lit est taché de nos sécrétions. ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en peux plus. Elle m'offre la vue de son corps couvert de sueur jouant de cette queue douce et chaude qui la fouille dans son intimité la plus profonde et lui arrache de petits cris. Je pétris ses seins et je la bourre de plus en plus puissamment. Un dernier coup de rein, je n'en peux plus Je me plante au plus profond d'elle et .... je gicle en elle ma semence. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles provoque de nouveau sa jouissance. Elle s'affaisse en sueur. En me retirant, ma queue émet un bruit de siphon qui nous fait rire tous les deux.
Elle reste là, les cuisses écartées, béante, ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relève la tête, me regarde dans les yeux d'un regard trouble. Elle m'a senti glisser hors d’elle et n'a rien fait rien pour me retenir. Je me rapproche de nouveau, je pose mon sexe sur le sien, je le pousse ... un peu, le ressort, c'est le paradis, et je m'y enfonce doucement, écartant ses chairs rosées, elle pousse un gros soupir quand j'arrive au fond, je fais durer le plaisir, j'accélère, je n'en peux plus ! elle jouit soudain Je ne tiens plus ! je fuse, je me vide, je n'en finis plus de me vider ! Elle rouvre les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi,