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dimanche 24 novembre 2024 - 19h41rech / rep
cptr-m1-72@ prost-00

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(taille reelle)
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elle me regarde, avec insistance. Une belle femme, dans la maturité, pleine de sensualité, des poitrines généreuses. Elle me fixe, intensément, les yeux brillants avec un sourire étrange. Elle est vraiment superbe, son corsage est largement ouvert, baillant sur ses fortes poitrines, ses seins tremblent doucement sous mes yeux, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. J'ai chaud. je sens son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, Je suis sous son emprise. Elle semble s’en amuser. Elle me trouble
Elle caresse ses seins, elle me provoque. Les seins tombent à peine, ils sont beaux, massifs, gonflés et les pointes saillent fortement. il fait chaud. je ne crois pas que cela provienne de la température.
- Mes seins sont encore bien fermes ? vous ne trouvez pas ?
- Ils ne sont plus aussi ronds qu'avant, mais ils restent bien souples !
- Je suis sur que vos mains sont chaudes et douces !
- Approchez vous ... et donnez moi vos lèvres !
Le baiser est intense, profond, sa langue cherche la mienne, nos lèvres s'écrasent l'une contre l'autre une de ses mains s'attaque aux boutons de ma chemise ... aux crans de ma ceinture puis elle caresse mon ventre, glisse sa main plus bas ! Elle sent ce que je n'arrive plus à cacher ... et me lance un sourire gourmand !
- Je vous sens plein de vigueur ! Je ne vous laisse pas indifférent ?
Elle rapproche son visage du mien, avec un sourire ... bienveillant,
- Ne soyez pas inquiet. Laissez vous faire !
- J’ai des seins qui vous plaisent, j’aime plaire ! ...
- On ne va pas en rester là ?
Je ne peux plus articuler, je suis subjugué que tout soit si simple.
Et soudain ... elle passe sa main sur ma nuque, attire mes levres à la rencontre des siennes, entame un nouveau baiser, beaucoup plus ardent ... et profond. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, se detache de mes levres pour me lancer:
- Je suis mure, vous aussi ! On continue ?
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Sa poitrine genereuse s'est gonflée sensiblement, Elle m'excite terriblement
- deshabillez-moi, avec délicatesse, en souplesse, et doigté
- Ne soyez pas impatient, Sachez me faire attendre un peu
je pose mes mains sur ses épaules et écarte ses bretelles. Sa robe tombe, dévoilant une douce combinaison de soie noire
- Faites glisser ma lingerie ... vous appréciez sa douceur ? ... plus bas ...
Elle s'attaque maintenant à la ceinture de mon pantalon,
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête. Elle me déshabille complètement vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Je vois ! Je sens ! Je vous sens bien mûr !
Elle me caresse le sexe et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement,
- Attendez un instant ! Je vous appelle quand je suis prête ! Et elle file dans sa chambre
- maintenant, Venez ! ... Je suis prête !

- venez avec moi sur le lit ! ... j'ai si envie... donnez moi l'absolu ! je vous en prie !
Elle m'entraine vers le lit, s'allonge et m'attire vers elle
- Venez ! ... vite !
Elle saisit mon sexe, l'empaume, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle me regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant mes testicules. Elle plonge alors son regard dans mes yeux,
- Je suis prête ! Venez !
Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans son ventre chaud. Son regard devient vitreux. Elle me presse la taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. J'arrive au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, Elle ondule de tout son corps pour amplifier notre plaisir commun. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur. tout son corps frémit … elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, elle tourne sa tete dans l’oreiller qu’elle étreint de ses deux mains, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens vibrer en moi ma semence, prête à exploser,
- Vite ! Allez-y ! Donnez moi tout !
ses mouvements se font plus désordonnés, son corps semble animé d’une force et de mouvements qui échappent à son contrôle. Elle est secouée de gémissements et de spasmes. Je m'enfonce au fond de son ventre, fort, profondemment, et ... je decharge ma sève chaude en plusieurs salves rapprochées. ses muscles etreignent mon membre comme pour l’empêcher de sortir. Elle se relache finalement sur le lit en me souriant. Je caresse son dos pendant encore de longues minutes en silence.
- Vous avez été magnifique ! !
Nous nous embrassons sur la bouche, échangeons nos salives
- Restez avec moi ce soir !
Elle s’est lovée dans les draps, satisfaite, détendue. Moi aussi.


Dans l'encadrement d'une porte, cette femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris.
- Bonjour ! ... Rentrez donc ! Entrez ! et fermez la porte !
Elle me sourit étrangement, me fixe un bon moment et me déclare tout de go:
- Je suis sûr que vous vous demandez si vous allez pouvoir me baiser ?
Je ne trouve pas mes mots.
- Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble.
- Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure.
Je ne peux plus articuler (ma défaite),
- J’ai des seins qui vous plaisent ? J’aime sentir qu’on me pénètre,
- j’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre.
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté,
- Nous allons baiser ! Maintenant ! Le voulez-vous ?
Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple.
- Vous me désirez car je suis belle.
Elle commence à me déshabiller, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Mais ... Tu bandes ! ... comme un cheval ! Tu m'excites !
Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe.
- Tu veux toujours ?
Elle me darde du regard puis s'allonge sur le lit
- Viens ! J'ai envie de toi ! Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment !
- Je veux te sentir dans mon ventre ... Je te veux en moi. Viens.
Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle ! Un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. Elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Elle me regarde me dit
- Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs.
Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée.
... C'était un soir d'été