Excitée à l'idée de me preparer aux délices d'une douce pénétration... Lea s'empara adroitement de mon membre gonflé, et commença à le branler avec tendresse. Elle soupesa doucement mes bourses, les massant un peu, puis, elle versa doucement un lubrifiant au sommet de mon gland et reprit son rythme soutenu, me masturbant avec ardeur ce qui eut pour effet de durcir et allonger rapidementmon penis bandé, c'était chaud...et visqueux, coulant lentement le long de son sexe. Je me laissai envahir par une sorte de moiteur chaude et délicieuse. Ma queue glissait dans une main gluante, fourreau étroit d'une gaine soyeuse. Ma respiration s'accelerait de plus en plus, mes joues s'empourpraient, mes levres laissaient passer de faibles gemissements quelques gouttes de sueur perlaient sur mon front, collant mes meches brunes. La caresse des doigts féminin se fit plus rapide, plus insistante sur ma queue, plus precise a la base de mon gland. Lea glissa ses mains sur mon sexe doucement. L'effet attendu fut immediat, mes yeux chavirerent, un profond gemissement rauque sorti de ma poitrine et Lea sentit entre ses doigts ma tige congestionnee commencer a palpiter puis ...le sperme jaillit en longues saccades tiedes giclant sur le ventre de Lea, entre ses seins. Elle reccueillit mon sperme chaud, animal, ma blanche liqueur.
Elle me glissa alors:
- Maintenant je veux sentir ton sexe en moi !
elle en dirigea le bout entre les grandes lèvres de sa vulve ruisselante: Elle s'empala aussitot d'un coup de reins sur ma verge bandée éprouvant une jubilation exceptionnelle en sentant ce sexe dur glisser dans ses chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, étendu sous le corps sensuel de ma chaude compagne, fasciné par les gros seins se balançant doucement devant mes yeux je me laissai alors emporter. Agitant vivement mes hanches, je fis coulisser mon membre gonflé dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides envelopper ma verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir que je lui dispensai, et sous les chocs répétés de mon gland volumineux, Lea ne tarda pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de ses entrailles irradiées. Serrant ses jambes sur mes cuisses agitées, elle m'emprisonna entre ses lèvres trempées :
-- Plus vite ! grogna-t'elle… bien au fond !…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant mon bas-ventre et mes bourses, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de mon amante, je m'activai de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser ma verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, nouss affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Je ne tardai pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de mon sexe prêt à exploser. Lea avait compris que j'atteignai le point de non retour, aussi m'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses m'empêchant de m'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
-- Ben mon ami, qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
-- Oh Oui !
-- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir