Son peignoir, à peine fermé, baillait un peu sur de lourdes poitrines à peine cachées par un léger et discret soutien gorge de soie, J'étais à demi nu et fort excité. Elle me regarda en souriant, les yeux brillants avec un sourire étrange et je sentis que son attitude changeait. Elle s'approcha près de moi. Ses seins tremblaient doucement sous la soie, je sentais son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette, elle regarda mes lèvres en les fixant de manière insistante, elle s'en approcha et y posa delicatement les siennes, d'abord legerement puis de maniere plus appuyée. Son sein légèrement mobile tremblait sous mes yeux, elle posa sa main sur la mienne comme pour m'inciter à repondre à ses caresses, tout en continuant à m'embrasser. Elle se pencha encore et ses seins vinrent s'appuyer sur mon torse, mon sexe frottait contre son ventre, et durcissait à vue d'oeil ! Elle me regarda de nouveau fixement en s'écartant un peu, son corsage entr-ouvert, les pans de sa robe de nuit écartés. Son souffle chaud glissait sur mes épaules, dans mon cou. Ses lèvres effleuraient ma peau. Mes yeux fous plongait sur ses seins encore enveloppés dans la soie.
- Je te laisse défaire mon soutien-gorge !
Ses mains saisirent les miennes et les conduisirent sur sa taille, et les firent remonter sur sa poitrine. Je passai mes mains dans son dos et dégrafai cette ultime protection qui se détacha d'un coup et libera ses deux seins opulents.
elle guida mes doigts vers ses pointes sensibles, soupira. elle pouvait sentir le renflement de mon slip sur ses cuisses.
Mes mains entourerent son corps pour saisir ses mamelons tendus, Elle gémissait, elle mouillait abondamment !
j'avais envie d'elle, elle avait envie de moi ! Elle prit ma main et la conduisit entre ses deux cuisses sur sa vulve trempée. Entre deux soupirs elle m'expliqua:
- Quand on fait ça à une femme, on ne peut pas en rester là !
Mes doigts palperent le renflement de sa vulve. L'étoffe de sa culotte de soie etait mouillée, ma main massa le tissu qui s'enfonca entre ses lèvres gonflées. Elle poussa son bassin à la rencontre de mes doigts. Elle soupira. Mes mains glisserent sous l'élastique de sa douce culotte de soie et entraînerent la fine lingerie sur ses jambes. Elle écarta ostensiblement les jambes, Ma main glissa sur ses bas, remonta, s'insinua de nouveau entre ses cuisses bien chaudes,
Elle m'embrassa toute langue dehors, s'écarta, tira sur mon slip et me déshabilla. En quelques secondes je me retrouvai plus nu qu'elle.
De la main elle saisit mon sexe, massa doucement mes testicules, elle écarta ses lèvres intimes, fit glisser mon gland sur sa fente, la placa à l'entrée de sa vulve. Elle soupira ... et descendit son bassin, sa vulve se dilata, Mon mat glissa en elle doucement naturellement, se lova dans son nid. Elle posa ses mains sur mes épaules et s'empala sur moi jusqu'à ce que ses fesses reposent sur mes cuisses. Ses lèvres s'ouvrirent et se poserent sur les miennes. Ma langue vint dans sa bouche, lapa sa salive. Mes mains palpaient ses hanches, ses cuisses, griffant ses bas qui crissaient sous mes caresses. Elle commenca à monter et descendre le long de ma hampe. Elle accélèra le rythme avec de petits mouvements. Je sentis la pression monter dans mes bourses pleines. Je ne pus me retenir plus longtemps. Je giclai des flux de ma semence dans son ventre. Mes gémissements spasmodiques s'apaiseront enfin. Nous restions un moment lovés l'un contre l'autre.
Puis elle me prit par la main et m'attira dans sa chambre. Elle s'allonga sur son lit, en mettant sa poitrine en valeur.
- Fais moi encore l'amour !
Je m'avançais alors et me penchai vers elle. Je saisis ses seins. Mes doigts caressaient, palpaient la chair tendre,
J'ouvrai la bouche, gobais un sein, ma langue frottait le bout souple du mamelon, Elle serrait les poings. Mes lèvres se collaient sur l'autre sein, comme une ventouse. L'excitation la fit frotter ses jambes l'une contre l'autre. Ma langue relâcha son étreinte et descendit sur son ventre, fureta autour du nombril. Elle écarta ses cuisses pour m'inviter à poursuivre son chemin. Ma main se posa sur le renflement de son entre-jambes et commenca à en flatter la douce fourrure. Elle se mordit la lèvre. Son bassin fut pris d'ondulations incontrôlées. Elle était toute liquéfiée et les titillements de mes doigts brisaient ses résistances.
- j'ai envie de toi ... je veux ton sexe en moi !
Elle relèva ses deux jambes, offrant sa féminité impatiente. Je m'approchai, dardai ma sonde charnue entre ses muqueuses lubrifiées. Je m'enfonçai, poussant mon pubis à la rencontre du sien, j'entamai un va et vient onctueux. Elle soupira. Je la penetrai réellement, profondément! Elle se mordit la lèvre et contempla mon visage défait par la jouissance. Mon jeune sexe était en elle ! Comme une vague incessante, il polissait avec endurance l'anse de sa féminité. Ce ne fit qu'accélérer les choses !
- Oh je viens!
Je sentis ses contractions vaginales, ses mains grifferent la couette, ses jambes ne lui obéissaient plus ! Elle halèta, plongée dans la ouate de son orgasme. Les tensions de son corps portaient mon excitation à son comble. J' accélèrai, je la baisai avec force, violence... je me crispai ! Elle jouissait! Ma semence de jeune mâle gicla et nappa son intimité qui ondulait et la faisait ronronner de plaisir!