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dimanche 24 novembre 2024 - 19h56rech / rep
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(taille reelle)
fièvre dans la chambre d'hôtel ()
Séparer cinquante kilos de chair rose de cinquante grammes de nylon
Qu'elle soit mannequin, ou manucure, hôtesse de l'air, ou dactylo,
Tout est bon, pourvu que le fruit soit mûr ou qu'il soit vert
Il faut y croquer à belles dents pour voir enfin depuis le fond du lit
soutien gorge sur la chaise, paire de bas et petite culottte sur le tapis,

Nous sommes dans sa chambre. La porte est refermée, il m'embrasse fiévreusement, je m'agrippe à son cou. Ses mains explorent ma peau. Son souffle s'accelere. Le voici qui me prends, me soulève. Je vacille. Sa main est sous ma robe, sous ma lingerie, je glisse mes mains sous sa chemise. nous nous frottons, ma tête sur ses épaules, son cœur bat à coups sourds. Il s'immisce sous ma dentelle, caresse la peau douce de mes seins, ma robe est sans dessus dessous. Il souffle, s'impatiente, degraphe mon soutien-gorge, mes dessous tombent à terre. Son torse reçoit mes seins. qui se déforment contre sa peau. Il s'affole, il m'affole, ses mains s'activent en tous sens et de tous cotés. Excitée comme lui à l'idée de nous adonner violemment au plaisir de l'amour interdit, j'attrape sa bouche et lui enfourne ma langue, qui attrape et joue avec la sienne. Sa vigueur de mâle pointe contre moi sous son pantalon. Je défais sa ceinture et glisse une main sous le slip. Le sexe est énorme. Je le dégage un peu et je le prends en main. Il est brûlant, je le sens palpiter. Je sors son sexe qui d'un coup se déploie, tout droit, tout raide, insolent, et terriblement excitant, je le lustre le raidissant davantage. Il saisit mes deux seins. Il joue de mon corps. Il me suce, me mordille, mes seins durcissent. Nous quittons le monde. Je m'étire contre lui. Un cri murmuré, caresses entre mes jambes, mes muscles se contractent. L'envie de jouir, de sentir son sexe doucement m'envahir, le laisser s'infiltrer dans mon corps béant.

Il écarte mes jambes de ses mains volontaires. Je lui souris. Il rougit. Je le tire vers moi. J'écarte mes cuisses. Je dirige son sexe. Je m'offre toute grande. Et il vient ! Il s'enfonce dans mes chairs, je m'empale sur lui. Son membre glisse et palpite dans mon ventre, tel un poulpe chaud et visqueux absorbant sa proie, de plus en plus vite, je suis secouée d'un spasme. Il s'enfonce un peu plus, s'extrait, puis revient, accélère ... et se fige dans un râle discret, je l'inonde d'une douce chaleur liquide. Il ferme les yeux pour mieux goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chaque retrait s'accompagne d'un bruit de succion terriblement érotique. Il replonge en moi et gonfle en meme temps. il m'investit totalement Je suis comblée de lui. Il coulisse dans mon corps. Sursaut. Décharge. Flash. je mouille sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchent les siennes et j'attrape sa bouche. Il se presse contre moi à chacun de ses mouvements, infiltrant son membre dans mes chairs distendues, s'approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnent son corps et l'attirent en moi chaque fois qu'il s'en éloigne. Nos deux corps comme des vagues vont et viennent sur le lit, éclaboussent les draps de sueurs, de désirs. Mon étui chaud et humide emprisonne maintenant sa verge, l'engloutit et la brûle, il voyage en moi. Il s'enfonçe encore, profondément, dans un bruit indécent de succions intimes. Nous baignons dans une lumière veloutée. Ces pénétrations affolent nos sens. Notre union se veut animale, la chair éprise de la chair, notre instinct pour nous accoupler, notre luxure pour épanouir les corps, c'est déjà la chaleur de l’été et nos corps déjà irradiés de joies intimes. Vibrants contacts entre nos peaux. Vibrantes chaleurs de nos corps. Nos visages se mangent. Il s'enfonce en moi, se retire, et replonge, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Frémissements, Je jouis !
J'éprouve une véritable jubilation en sentant son sexe dur glisser dans mes chairs moites. Planant sur un merveilleux nuage érotique, rythmé par mes gros seins se balançant doucement devant ses yeux, il se laisse emporter par sa fougue de mâle. Agitant vivement mes hanches, je me fais joyeusement coulisser sur lui, je le vois gouter les moiteurs chaudes de mon cocon de chair l'aspirant comme un poulpe, j'éprouve un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue.

Sous les chocs répétés de son gland volumineux, je ne tarde pas à sentir la jouissance prendre possession de mes entrailles irradiées. Haletante, les yeux à moitié fermés, laissant par moments à l'air son gland luisant, rouge, tendu. engloutissant de nouveau d'un coup toute la longueur de son membre ! Cette pénétration massive et rapide me coupe le souffle, je pousse un cri, je reste un moment comme tétanisée. Je vois qu'il se retient de toutes ses forces pour ne pas jouir, et j'essaye d'en faire autant. Serrant ses jambes sur ses cuisses agitées, je l'emprisonne entre mes lèvres trempées. De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappent, éclaboussant mon bas-ventre et ses bourses. Je vais jouir d'un instant à l'autre. Il va plus loin, plus profond et plus fort. Je monte irrémédiablement. Je viens ! ... et soudain, l'éclair. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues penetrations. Je bouge mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarde, intensément. Nos regards se soudent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige et je ferme les yeux un instant. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son énorme sexe au fond de mes entrailles me fait perdre toute retenue. le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, Il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue. Nos corps collés ensemble se contractent longuement.
Ivre de plaisir, encouragé par mes exhortations érotiques, il s'active de plus belle dans mon ventre, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monte, nous affolant encore plus. Sous mon corps en sueur, je me mets à haleter en m'arquant frénétiquement, m'offrant avec rage à chaque pénétration, je comprends qu'il atteint lui aussi le point de non retour, aussi l'enserrai-je encore plus fortement entre mes cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de mon vagin affamé.

Alors tel un cheval pressé de retrouver sa chaude ecurie, il accélére encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Nos deux corps mélangés se mettent à vibrer. Je l'aspire fort. Sous mes baisers brûlants, il se sent défaillir contre mon corps agité de plusieurs spasmes violents. Ses muscles se tendent. Il se raidit, se retient … et finalement ... se lâche ! D’un souffle rauque, il se vide en moi dans un véritable feu d'artifice ... il décharge sa semence ... à longs traits dans ma vulve accueillante, au fond de mon vagin. Il se penche contre moi. Je lui donne un baiser, lui souris. Nous retrouvons nos forces. Je sens jaillir dans mon ventre une chaude liqueur, fruit de son orgasme. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond de mon ventre gourmand. Il jouit en moi. Je le sens se répandre. Je me laisse emporter à mon tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla a ses gémissements plaintifs. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant me soulevé, me cambre, me tétanise, pour enfin me laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous lui, mon jeune amant, lui aussi totalement vidé et anéanti. Il se détend, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête cherche la tiédeur de mon épaule. Il m'embrasse le cou. Je lui caresse les cheveux. Tendresse. Reprenant doucement notre souffle, nous restons ainsi intimement unis par nos sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre mes esprits, je me separe de son corps devenu trop lourd, libérant mes seins douloureux du poids qui les écrasait. Il s'effondre avec des grondements d'ours blessés. Son sexe glisse doucement en dehors de moi. De mon sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappe aussitôt, m'obligeant à resserrer vivement mes cuisses pour stopper cet écoulement qui risque de tacher les draps du lit conjugal
Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur, joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé un merveilleux amant. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.