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dimanche 24 novembre 2024 - 19h36rech / rep
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(taille reelle)
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Permet, mon beau mâle, que je te dévêtisse. Offre moi ce doux privilège
De faire durer ce pur délice que pour rien au monde je n'abrège
Sentir sous le tissu tendu là, plus bas, ton désir qui prend de l'ampleur
Mais avant que de te voir nu, je veux en deviner toute sa saveur

Laisse mes doigts nonchalamment caresser l'intime indécence
la sentir devenir gourmande, et admirer toute sa prestance
N'aspire plus à autre chose que de me livrer à l'air libre
Ta superbe impudeur éclose pour que j'en apprécie la fibre

Je ne me ferai pas prier pour l'envelopper de ma main
Et si tu vois mes yeux briller, occupe toi de mes beaux seins
Il te suffit de me frôler Pour que je palpite corps et âme
D'espièglement me taquiner Pour que sous tes lèvres je me pâme

Mise à nue, voici que frémit ta verge généreuse et jaillissante
A sa vue tout mon corps gémit d'envies coquines et frétillantes
Lâchant le frein de mes ardeurs tandis que mes sens tu affoles
Je passe la vitesse supérieure de mon désir qui caracole

Je lisse ce grand bois chéri de haut en bas, de bas en haut
Lustré choyé et tout ravi qu'on prenne soin de le faire beau
Le coquin se fait audacieux, et s'aventure entre mes lèvres
Je sens son élan impérieux m'envahir d'une douce fièvre

Ma langue autour de lui s'enroule Alors qu'il sonde mes bucales profondeurs
Et que la tiédeur de deux boules, la pulpe de ma peau effleure
Puis subtilement tu t'introduis Dans un incandescent fourreau
Je ne peux retenir un cri sous la fougue de tes assauts

Je me cambre, je gémis, je supplie sous tes ravageuses poussées
Différant cet instant béni qui aux cieux va me transporter
Soudain tout geste tu suspends, lové au plus profond de moi
Sans pudeur j'explose et je fend Le silence de tous mes émois

Jouissant de me voir succomber , tu reprends ta danse sauvage
Puis tour à tour plus raffinée C'est comme un enivrant voyage
Propulsée aux plus hauts sommets Par de prodigieux coups de maître
Je te chevauche usant du fouet Des mots brûlants que je te prête

Je sens ma monture s'emballer Et un désir presque furieux
D'encore plus profond m'empaler Sur ce somptueux totem en feu
J'égare les rennes je perd le nord Et toute notion de mesure
Voici que bat tempête à bord Mais le mas garde fière allure

Je sens jaillir l'apothéose Mettant à vif l'indomptable
Qui soudain à l'air libre explose D'un sublime bouquet final

sylseasun@hotmail.fr