Marthe est une belle femme, terriblement attirante et sensuelle dans sa maturité. J'étais hypnotisé. J’adore le corps de Marthe chez qui je vais maintenant satisfaire regulierement mes besoins amoureux. Ce soir c'est dans sa chambre que nous poursuivons nos échanges Marthe est delicieusement potelée, et sa poitrine paraît énorme. Ses seins sont souples et genereux, de ceux qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie a un beau visage à la peau diaphane éclairé par deux grands yeux bleus.
- Tu m'aimes? me demande-t-elle ce soir là en me fixant avec un mystérieux sourire.
- J'aime quand tu me fais l’amour, tu sais mon chéri !
Elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de moi pour me glisser quelques mots à l'oreille :
- Julien, mon chéri ! Tu es seul ce soir ... moi aussi
- tu veux me faire plaisir ? ... Viens ! et moi aussi, je veux te faire plaisir, Viens !
Lucie m'emmena dans sa chambre. J'étais subjugué, fasciné par la beauté de ce corps. Lucie glissa ses mains dans mon cou, prit affectueusement ma tête dans ses mains, me regarda, intensément,
- Ce soir, j'ai besoin d'amour !
Elle caressait mes hanches puis elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses.
- Sens ! je suis toute prête !
Elle dirigea sa main vers mon entre jambes en me souriant d'un sourire complice
- Julien ! mon chéri ! Tu as envie de moi ! Je le sens ... et je le vois ! Tu es mur !
Elle desserra la ceinture de mon pantalon. Elle pris doucement ma verge dans ses mains qui immédiatement se mit à grandir et durcir. Elle le massa quelques instants tout en surveillant mes réactions.
- Julien ! Tu vas m'offrir ton corps ... et moi, je vais t'offrir le mien !
- Nous allons en profiter, tous les deux ! ensemble ! Tu veux bien ?
Puis elle prit mon sexe bien bandé et le guida vers elle, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes le frottant sur toute la longueur de son sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Je n'en revenais pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, s'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Viens, Mon chéri, maintenant vas-y ! J'ai besoin de toi dans mon ventre !
Ce fut comme un coup de fouet pour moi et je me propulsai sans délai vers elle, la clouant littéralement sur le lit ce qui la fit hoqueter, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa à moi, essayant de retrouver ses esprits
- Eh bien ! mon chéri ... Quelle ardeur !
Ma pénétration brusque l'avait un peu surprise. Le moment de surprise passé et inondée de ses propres sécrétions, elle m'encourageait neanmoins
- Vas-y, bouge et ne t'arrête pas !
Lucie me murmurait ses encouragements à l'oreille en me caressant amoureusement les cheveux. Elle cherchait à me mettre en confiance. Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux me rassurèrent. Désireux de me faire pardonner mon intrusion un peu brutale, j'entamai un lent retrait de mon sexe tuméfié. Mais elle se crispa sur mon épaule:
- Non reste ! Continue ! Je veux te sentir dans ma chair !
Et je replongeai à nouveau dans son corps lui déclenchant un premier spasme de jouissance. J'ondulais très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément.
Les râles de Lucie me firent comprendre qu'elle commencait à jouir de mes intrusions. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. C'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Il coulissait profondément dans un nid chaud et absorbant comme un poulpe, j'en épousais parfaitement la forme, caressant amoureusement la fragile muqueuse. Je me sentais complètement enserré dans le ventre chaud. Je continuais mes va et vients régulers, méthodiques qui l'extasiaient de plus en plus. Le goût de sa peau que je lapais au creux de son cou, derrière son oreille, le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Elle n'était pas chaude, elle était brûlante. J'étais en nage et une chaleur torride irradiait de nos corps, j'enfonçais mon sexe dans l'antre d'un volcan, dans un véritable flot de lave en fusion, j'en devenais fou. Les sensations qui me remontaient de mon penis en feu me faisaient totalement perdre le contrôle de mes actes. Ma bouche courait sur tout le visage et le cou de Marthe, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Mes lèvres dévoraient à nouveau celles de ma maîtresse, mes dents jouaient avec les pointes de ses seins. Mes mains couraient frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les poitrines douces et souples. Je voulais contrôler mes spasmes pour prolonger le plaisir. Je la pénétrais de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Elle s'aggripa a mes épaules, le souffle court, et soulevant une jambe, la passa autour de ma hanche que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Elle contracta ses muscles internes pour enserrer ma verge qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles.
Le contact de son bas soyeux, la caresse de sa chair sur mes fesses m'électrisait. La pression de sa gaine brûlante emprisonnant mon gland fut un déclencheur. Alors, n'y tenant plus, je bandai mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans son ventre comme si je voulais lui faire traverser le mur. Je la pilonnais, hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée. Elle avait passé ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur mon pieu. Je lui avais empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ma proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Elle s'est mise à jouir bruyamment, térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle hurlait mon nom, me suppliait d'arréter, me priait d'aller plus fort, elle gémissant son plaisir, soupirant sa jouissance, ralant ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle atteignait l'orgasme absolu. J'accélérais mes mouvements
C'est alors que j'ai senti en moi la pression monter. Je sentais le trajet de ma semence partant de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, pour finir par exploser par mon gland turgescent, un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion que je projetais au plus profond du ventre de Marthe.
Le jet puissant de ma semence inondait le point le plus profond de son vagin, le flot libérateur de son puissant étalon envahissait son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de ma divine colonne de feu.
A bout de souffle, j'avais enfoui ma tête dans le cou de Marthe, lui assenant mes derniers coups de belier pour lui exprimer ma gratitude de jeune amant. Nous cherchions notre respiration. Je continuais à la limer doucement mais c'était le début de la fin, Elle revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Mes dernières caresses la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, mlembrassant tendrement dans le cou.
Je voulus exprimer ses sentiments mais elle me fit taire avec ses lèvres. Sa langue m'envahit délicatement la bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux.
- Julien, il faut partir maintenant !
Je voulus protester, mais elle me posa la main sur ma bouche puis me caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant exemplaire. Tu m'a fait jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, mon sexe glissa de sa gaine soyeuse, nous faisant sursauter et nous laissant une impression de vide immense. Un peu déconfit je remontai mon slip et mon pantalon, j'y rangeai rapidement mon sexe flasque et tout poisseux et mes bourses trempées de nos jouissances. Elle replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée a mon regard énamouré et, m'embrassant tendrement au coin des lèvres, me poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour !
Je me retrouvai dans le couloir et la porte se referma doucement derrière moi. Le clac de la poignée me ramena définitivement à la réalité.
Derrière la porte de sa chambre, Marthe essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre un moment fort. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Elle commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur, son doigt qui clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.