Blonde, 19 ans, 1m78, 68 kg, cette jeune allemande avait des formes à faire bander tout un régiment. J'avais la quarantaine, et elle travaillait dans le quartier Montparnasse. Elle recevait dans un appartement au 15 étage de la tour. Je me suis retrouvé contre elle dans l'ascenseur, elle me collait litteralement. Elle était ronde, elle était chaude, elle avait de belles fesses rebondies contre lesquelles ma queue s'est mis a se lever. Je me suis mis à bander sans détour. Elle se collait encore plus fort contre moi. Passablement excités, à peine installés sur le divan de l'appart que déjà nous nous embrassions à pleines bouches, nos langues emmêlées
Affalée sur le sofa, jambes écartées, indécente presque, elle me provoquait:
- Est-ce que je t'excite ?
Elle fixait mon pantalon, tendu à l'extrême, comme un chapiteau. J'avais chaud. Ma respiration s'accélérait. Elle posa sa main sur mon appareil génital, le jaugea bien mur:
- Tes bourses sont pleines ! Elles ont besoin d'être déchargées
Je la sentais terriblement excitée. Je l'entendais gémir doucement. Lentement, je lui caressais son ventre. Elle gémissait encore plus.
- Je suis chaude ! ... et ouverte ! Profites en !
Je bandais comme un cheval, et déjà elle me pétrissait à pleines mains ma tige. Je me suis mis à petrir ses seins, fermes et opulents sous son soutien-gorge pret à craquer. J'ai dégagé sa poitrine et j'ai suçé ses tétons roses. La fille, peu farouche, se laissait tripoter. Elle m'a confié qu'elle était si mouillée qu'elle sentait sa culotte collée sur sa peau. Moi je n'avais qu'une hâte, celle de me planter entre ses cuisses. Je me suis retourné vers elle pour l'embrasser avec passion et ... pour me calmer. J'ai posé ma main entre ses cuisses, elle m'a poussé sur le lit Elle est montée sur moi après avoir simplement retiré sa robe. Ses seins étaient toujours à moitié sortis de son soutien-gorge: j'en ai profité pour presser sa poitrine plus dure que jamais, elle était si excitante que mon cœur battait la chamade… Elle s'est alors mise à cheval sur moi, elle a enlevé son soutif et a révélé sa merveilleuse poitrine à mes yeux effarés. Je l'ai léchée de plus belle en bandant comme un ours. Je me suis relevé et j'ai entrepris de la téter. Elle s'est laissée faire un moment, l'instant pour elle d'enlever ma chemise puis elle m'a basculé à nouveau sur le lit. Cette fois-ci elle avait enlevé sa culotte et, accroupie, elle avait les cuisses largement écartée. Et penchée vers l'arrière, elle se tenait sur les mains et faisant aller et venir son bassin sur mon ventre.Tout en frottant sa chatte, elle s'attaquait à ma ceinture et est parvenue à dégrafer mon pantalon. En même temps elle accélérait sans cesse le rythme, Elle grognait, elle était à moitié partie, elle allait venir… Elle n'a d'ailleurs pas tardé. Des spasmes ont soudain secoué son corps, j'ai senti sa mouille à nouveau couler Et elle a joui ainsi de longues minutes tout en continuant à se frotter… Ensuite, elle s'est relevée, elle a enlevé mon pantalon en m'embrassant le bas du ventre et les cuisses. Toujours entre mes jambes, elle a terminé de me déshabiller. Elle m'a conduit au bord de l'explosion et s'est arrêtée juste à temps… elle m'a renversé et est venue se mettre à cheval sur moi dans une position d'amazone chevauchant son étalon.
Avec dextérité elle a fait rentrer ma bite dans son vagin, allant et venant lentement le long de ma tige… Mon sexe d'une dureté incroyable épousait parfaitement son vagin étroit. Nous étions faits l'un pour l'autre semble-t-il, au moins sur ce plan là… Elle m'allait comme un gant… Ses cuisses ruisselaient de son jus, mon sexe coulissait en faisant dans de delicieux bruits de succion. Elle engloutissait ma bite sauvagement je lui baisais la bouche. Elle me pompait avec vigueur en me malaxant les couilles. Nous avons accéléré l'un et l'autre la cadence, nous désirions tous les deux jouir ainsi et sans retenue. J'ai attendu la toute dernière minute, jusqu'à ce qu'elle jouisse, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus pour libérer toute ma sève et lui remplir le ventre abondamment, une ascension merveilleuse jusqu'au sommet de l'orgasme. En me retirant, ma queue émit un délicieux bruit de siphon. Elle restait là, les cuisses écartées, béante. elle était ouverte comme je ne l'avais jamais vue, obscène presque, mais oh combien desirable. Elle relèva la tête, me regarda dans les yeux d'un regard trouble Elle me sentait glisser hors d’elle et ne fit rien pour me retenir. Je me rapprochais de nouveau je posai mon sexe sur le sien, je le poussai ..., le ressortais, ce fut une nouvelle fois le paradis, et je m'y enfonçais doucement, écartant ses chairs rosées, elle poussa un gros soupir quand j'arrivai au fond, je fis durer le plaisir, j'accélèrais, je n'en pouvais plus ! elle jouit soudain Je ne tins plus ! je fusai, je me vidai, je n'en finissais plus de me vider ! Elle rouvrit les yeux pour constater tout ce qu'elle a reçu de moi,
J'aurais voulu que tout ceci dure un temps infini mais finalement elle a hurlé sa jouissance sans aucune retenue quelques secondes avant que je lui éclabousse la matrice… Un orgasme sans égal qui nous a secoués de spasmes durant de longues minutes…