L'hôtel est silencieux. Dans l'encadrement de la porte je découvre sa silhouette se glisser dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien gorge qui claque. Mon cœur s'emballe, je n'ose plus bouger et mon sexe qui se tend. Je sens alors sur mon torse une langue caressante qui me fait frissonner. Des soupirs, des cheveux qui chatouillent mes cuisses. nous nous retrouvons bouche-à-bouche, mon odeur est sur ses lèvres, une odeur animale, nos langues s'enroulent.
Elle se positionne sur moi, s'empare de mon dard qu'elle amène vers elle. Elle offre sa vulve à mon dard, ses deux seins se balançant de manière provocante au dessus de mes yeux. Mon gland caresse sa vuve, s'enfonce, et remplit son vagin, il s'y complaît comme dans une bain mielleux. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie, un frottement délicat irisé de plaisir. Elle s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend, ondule. Elle excite mon sexe qui grossit, s'allonge et se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Ses beaux seins ballottent au contact de mes lèvres. Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Je ressens les contractions de son vagin sur mon sexe qui la fouille. Elle vient de jouir. Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d'en recueillir les gouttes. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Elle caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Je me sens aspiré, et en de savantes contractions, elle cherche à extraire toute ma semence qui libérera mes tensions, ses mains griffent mes cuisses, un voile bleu passe dans mes yeux, j'entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, je suis complètement déboussolé et tombe dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençent à ressentir la fraîcheur. Nous retournions à la réalité. Je la sens se dégager et le matelas sursaute.
De violentes secousses lui traversent les entrailles... Elle se met à jouir comme une folle, s'empalant profondément sur mon sexe bandé Elle clame sa jouissance, tendue dans une puissante contraction, se met à trembler, a un spasme violent qui la désarçonne. Elle se laisse emporter par la jouissance dans un long râle, se soulève, se cambre, comme tétanisée. vingt mille volts lui remontent dans les cuisses, le ventre, les reins, les seins, un feu d’artifice. Elle se déchaîne, se met à crier, la bouche ouverte, haletante, Elle frissonne, elle tremble..... Tout son corps se met à vibrer. Elle part... envolée prodigieuse, elle crie, elle rugit, c'est une longue plainte sauvage. Elle se cambre frénétiquement en poussant, reins arqués, un long râle de volupté, puis se met à se déhancher, à se tortiller, tout en soupirant de plus en plus fort. Je sens ses contractions, ses mains griffent les draps, ses jambes ne lui obéissent plus ! Elle halète bruyamment, emportée par son orgasme, tournant la tête de gauche à droite en émettant de petits grognements. La sueur lui perle sur le front. Ses cheveux noirs commençent à lui coller aux tempes. Elle m'attrape les cheveux, me serre la tête, elle jouit longuement. Puis elle s'abandonne, se livre aux flots qui l'absorbent... Elle s'abîme, sombre, s'anéantit... milles bulles éclatent.