Je m’approchai de Lucie, la serrait étroitement, ma verge raide, coincée dans le fossé ombreux de ses tendres cuisses, mes bourses, pleines, et bien au chaud entre ses rondeurs abricotières… des roudeurs si chaudes et si douces ! Je succombai. Je me mis à lutiner Lucie qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux inesperés. Lola se joignit à nous pour un baiser en trio des plus ardent. Notre immoralité était scellée.
Je me mis à bander entre les fesses charnues de Lucie que je penetrai dans la foulée, Une délicieuse chaleur couvrit mon gland, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes bourses que ma femme pelotait joyeusement; je poussai et entrai majestueusement dans les grandes levres ouvertes et chaudes de Lucie, celle-ci émit une petite plainte étouffée, la bouche rivée à la chatte de Lola qu’elle était en train de sucer de plus belle. Je prenais mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu et fus vite au fond du merveilleux puit, mes bourses frottant les poils frisés de la jolie chatte toute humide ; Je fis aller et venir ma queue, droite, dressée dans l'entre-fesses, me frottant délicatement sur les soies de mes deux femmes qui se balançait à présent au rythme de mes allées et venues, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche ... Les bas crissaient en douceur, Quelle délicieuse bandaison je faisais là, rivé à ce fessier superbement rond, douillet, n’attendant que mon bon plaisir…
Je n’y tins plus et déchargeai abondamment dans le ventre de cette divine Lucie, planté dans son humidité ; Elles jouirent toutes les deux, Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte…