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dimanche 24 novembre 2024 - 19h22rech / rep
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(taille reelle)
mon rêve à deux cents francs ()
Elle provoque, sensuelle. Ses seins sont mobiles, ronds, lourds, ensorcelants. Elle me regarde droit dans les yeux. Je la regarde. Je bande. Il faut faire vite. Elle me devine, elle a compris, mon cœur bat. Elle se rapproche discrètement. Le dialogue est bref.
"- C’est un petit hotel. Nous sommes tranquilles mon chou".
Elle fouille dans son sac, plonge sa main dans mon pantalon, sort l'engin, m'enfile le préservatif, branle le mou. Je la regarde, je bande. elle roule sa robe jusque sous ses bras. Son corps est beau. Une couleur légèrement ambrée. Des seins relevés, j'y porte les mains. Je voyage dans mon rêve à deux cents francs. Elle reprend le branle. Elle commence à me sucer. Elle s’agite autour de ma queue. Je me raidis, je me tends, je me libere. Elle me complimente. C’est bientôt fini. Je tends mes muscles des jambes. Le préservatif se remplit d’une humeur épaisse. Voilà. Elle me tend un kleenex. Je retire le préservatif. Je regarde son corps une dernière fois. Elle remet sa robe, range ses affaires. J'ai rangé mon sexe.
- Tu es prêt ? lui dit-elle, on sort ?…
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mon client était un jeune homme de dix-huit ans, plein de santé. Je saisissais doucement sa verge qui s'affermit sous mes doigts je la recueillais dans ma main. Il gémissait doucement puis il se retourna vers moi, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant son visage, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir monta. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant.
Son sexe devint enorme. Il me regarda avec une imploration muette. Je lui souris. il me caressa les cheveux, puis sa main se referma sur ma nuque j'avançais mon visage vers son sexe, et j'obtempèrais à son caprice d'enfant gâté. Je l'accueillis dans ma bouche. Il était heureux. Ma fellation fut d'une grande douceur. Je le sucais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour de sa tige de chair. Chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissat le sentiment de vide, entre mes cuisses serrées. J'avais maintenant envie de le prendre enfin en moi