J’adore le corps de Lucie chez qui je vais satisfaire maintenant tous les mardis mes besoins amoureux.
- Entre mon cheri, viens vite, je t'attends
Cet après-midi là, je la rejoins dans sa chambre. Elle m'attends, allongée sur son lit, dans un ensemble de nuit de satin rose, ouvert sur ses belles poitrines rondes, lourdes et généreuses. Elle est toute potelée, ses poitrines énormes ont des mouvements erratiques terriblement excitants, des mamelles à peine soutenues par un délicat soutien-gorge de dentelles, des mamelles qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, de sucer, d’écraser au moment de la jouissance. Lucie me regarde affectueusement avec ses deux grands yeux bleus.
- Tu viens mon chéri ? me demande-t-elle en me fixant avec un sourire particulièrement gourmand.
Elle saisit ma main pour la plonger entre ses cuisses
- Tu sens ? ... je suis toute prête !
Je saisis alors Lucie et l’embrasse à pleine bouche. Elle ferme les yeux, elle s’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte mon gland contre son sexe. Elle gémit, je la pénètre d’un coup, lui arrachant un interminable Aaaaaah. Son ventre est tout chaud. Il m’enserre, me presse. Lucie est dans tous ses états, elle se cambre jusqu’à la rupture, s’offrant corps et âme.
- Lucie, ma douce.
- Nicolas, Nicolas, mon chéri !
Son intérieur est si humide que je touche le fond à chacun de mes va-et-vient. Elle s’offre sans retenue. la vision de mon sexe qui travaille dans ses chairs, annoncent une jouissance proche. Je la pénètre plus lentement, elle pousse un long soupir de plaisir, je la regarde droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder l’explosion qui guette. Je coulisse en elle avec retenue, me retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée des lèvres, pour mieux goûter au plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours à explorer le fond de son sexe. Je vois les prunelles bleues de Lucie s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- Oh mon chou ! Tu me fais ça si bien !
- Oui, ma chérie, ouvre-toi, Je m’occupe de tes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds.
La vibration devient communion, nos deux corps ne font plus qu’un, nos chairs font fusion, nos fluides et nos odeurs se mélangent. Elle ondule de la croupe, écrasant mon sexe sur ses seins, les lubrifiant de ses fluides.
- Je vais jouir, me dit-elle, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Son apparent désarroi décuple mon excitation. Ma gorge se contracte, j’ai le souffle de plus en plus court. Je me mets à la besogner vigoureusement, je me déchaîne sans ménagements tandis qu'elle se met à crier de plus en plus. Et soudain, elle se redresse, à moitié accroupie se met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de son sexe, puis un long jet vient s’écouler sur les doigts et l’avant-bras de Lucie. Je n’avais jamais vu ça. Ce prodigieux spectacle déclenche chez moi une jouissance instantanée. Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos sécrétions, c’est le moins qu’on puisse dire. J’ai la tête posée entre les cuisses gluantes de Lucie qui a étalé les jambes sur moi. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.