Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Mon sexe palpitait encore dans son ventre déclenchant en elle quelques spasmes. Elle continuait à coulisser sur moi, un peu, s'extrayait, puis revenait, doucement. Je fermais les yeux pour mieux goûter ces délicieux mouvements de va et viens, puis les mouvements devenaient plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un léger bruit de succion. Mon sexe glissait en elle et gonflait en meme temps, occupant son espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'elle à l'oreille.
J'acquescai. Elle repris alors ses lents mouvements, s'empalant onctueusement sur mon sexe, lui redonnant de la vigueur. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Elle s'empala plus profondément, fut prise de vertige et ferma les yeux un instant. La transpiration perlait entre ses seins, nous poursuivions nos mouvements. Je lui donnais du plaisir, elle me le rendait au centuple. Je saisis ses épaules, elle augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, elle poursuivait sa chevauchée. Elle jouissait ! La pensée de mon enorme sexe dans le sien lui fit perdre toute retenue.
- Baise moi ! Lâche toi ! Jouis ! Maintenant !
- Ne te retiens plus ! Vas-y,
Je m'arrêtai net, crispant mon regard. Je me mis à jouir moi aussi Mon corps vibre et se tend ! Ma sève humide se repend dans sa chair en vagues chaudes et c'est bon ! Je sentais un flot la remplir, l'inondant d'une douce chaleur,
- Oui ! Je te sens ! je te reçois !
- Donne moi tout de toi ! Inonde moi de toi !
elle gémissait de bonheur. Elle m'inonda d'une douce chaleur liquide. Enfin elle s'affaissa sur mon corps avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conservait dans ma chair mon sexe emprisonné.