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dimanche 24 novembre 2024 - 19h22rech / rep
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(taille reelle)
Lucie ()
Julien aime bien mon corps. Il vient satisfaire maintenant tous les mardis ses besoins amoureux. Cet après-midi là, il me rejoint dans ma chambre. Je l'attends, assise sur mon lit, dans une legere chemise de nuit de satin creme, ouvert sur mes belles poitrines rondes, lourdes et généreuses. Il me trouve delicieusement potelée, il aime mes belles poitrines qui ont des mouvements erratiques qui semblent l'exciter beaucoup, des mamelles qu’on n'en finit pas de caresser, de malaxer, de sucer, d’écraser au moment de la jouissance. Je regarde Julien affectueusement avec ses deux grands yeux bleus.
- Tu viens mon chéri ? lui dis-je en le fixant avec un sourire gourmand.
Je saisis sa main pour la plonger entre mes cuisses
- Tu sens ? ... je suis toute prête !
Je commence à lui deboutonner sa chemise, et à ouvrir son pantalon. Julien me saisit alors et m’embrasse à pleine bouche. Nos corps sont maintenant quasiment nus, l'un contre l'autre. Je ferme les yeux, je m’abandonne toute entière. Peu à peu, les plaintes se transforment en gémissements moins équivoques. Je frotte son gland contre ma vulve et il me pénètre d’un coup, avec un interminable Aaaaaah. mon ventre est tout chaud. Je l’enserre, le presse. Je me cambre jusqu’à la rupture, m’offrant corps et âme.
- Lucie, ma douce me lance-t'il affectueusement
- Nicolas, Nicolas, mon chéri ! Pas trop vite ! Que nous puissions jouir ensemble !
Mon intérieur est si humide qu'il touche le fond à chacun de ses va-et-vient. Je m’offre sans retenue. la sensation de son sexe qui travaille dans mes chairs, annoncent une jouissance proche, trop proche.
- Prends ton temps, mon chéri, tu dois faire monter le désir ... dans ton corps ... et dans le mien !
Julien me pénètre plus lentement, je lui reponds par un long soupir de plaisir, je le regarde droit dans les yeux pour mieux capter chacune de ses réactions et retarder son explosion qui guette. Il coulisse en moi avec retenue, se retirant à chaque fois presque entièrement jusqu’à l’entrée de mes lèvres, pour mieux goûter au plaisir de me pénétrer à nouveau, mais cherchant toujours à explorer le fond de mes entrailles. Je vois ses yeux bleus s’écarquiller, un filet de bave s’échapper de ses lèvres.
- C'est bien mon chou ! continue ! Tu me fais ça si bien !
- Tu sens mes petites contactions ? Tu es bien bans mon ventre ? Je te sens bien tu sais !
- Occupe toi de mes seins, ils sont tellement gros, tellement lourds. Palpe les ... je sens que ca t'excite !
La vibration devient communion, nos deux corps ne font plus qu’un, nos chairs font fusion, nos fluides et nos odeurs se mélangent. J'ondule de la croupe, écrasant son sexe sur mes seins, les lubrifiant de mes fluides.
- Oh ! Je vais jouir, lui dis-je, avec le ton de quelqu’un qui a perdu son porte-monnaie.
Mon apparent désarroi décuple son excitation. Sa gorge se contracte, il a le souffle de plus en plus court. Il se met à me besogner vigoureusement, il se déchaîne sans ménagements tandis que je me mets à crier de plus en plus. je me redresse, à moitié accroupie, me met à jouir, de manière très visible : deux filets de cyprine s’échappent de mon sexe, puis un long jet vient s’écouler sur mes doigts et mon avant-bras. Je n’avais jamais vu ça.
- Oh Lucie ! Je crois que je viens !
Il n'en faut pas plus pour que ce prodigieux spectacle déclenche chez lui une jouissance instantanée. Il n'en peux plus. Il se plante au fond de moi ... Il se raidit, se crispe ... et ... il se vide dans mon ventre en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui me remplissent. Il y en a plein le lit
- Eh bien bravo mon Lou ! Qu'est-ce que tu m'as mis ! Il y en avait des litres !
Un duo de jouisseurs en plein récital. Fin du concert. Nous nous affalons l'un sur l'autre sur le futon, vidés de nos sécrétions, c’est le moins qu’on puisse dire. Il a sa tête posée entre mes cuisses gluantes. Nos peaux sont moites, nos respiration haletantes.