Il semblait timide et hesitant, il a avait fini par m'avouer "J'ai envie ... " J'avais compris, je l'avais alors pris par la main et je l'avais emmené dans une chambre que je loue dans ce petit hotel. Il avait le visage empourpré, je m'étais rapprochée de lui, je lui fis quelques caresses de mes doigts sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, une première fois fugitivement, puis une seconde fois, de manière plus appuyée. D'abord surpris par ce baiser, il se laissa faire, passif.
- Je suis la première ? lui demandai-je
Il acquiesça, comme si cet aveu avait déclenché chez lui une passion nouvelle. Je me penchai alors sur lui, m'emparai de sa bouche pour l'embrasser de maniere plus sensuelle, mélangeant nos langues et nos salives. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant mon doux baiser, je le regardai dans les yeux :
- Tu me trouves belle ? ... Tu n'es pas mal non plus !
- Tu veux toujours ? Tu veux que nous allions plus loin ?
Je dénouai alors ma legere nuisette de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Je pris mes deux seins en main que je palpai devant lui. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion.
- Tu es bien mur ! ... Tu a envie de faire l'amour ?
- Donne moi tes lèvres ! .... Elles sont chaudes
- Tu vas voir, Nous allons nous faire du bien tous les deux ! ... Viens contre moi !
Puis, le fixant, je me suis allongé sur le lit, j'ai écarté mes jambes, je lui ai demandé de venir sur moi
- Viens !
et je l'ai guidé vers moi. C'était la première fois qu'il pénétrait le sexe d'une femme de mon age. J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Sans attendre, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud.
- Tu sens ? Comme c'est chaud ! Et comme ca glisse bien !
Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis. Puis il s'accrocha à mon cou, je pris ses lèvres, nos langues se caressèrent avec passion, alors que mes seins frottaient sa poitrine. Il semblait au paradis. Sa langue dans ma bouche, son sexe bien au fond de mon ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Il avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Il me baisait de plus en plus passionement. Subitement je sentis le plaisir monter en lui, il poussa un cri rauque, se crispa et de longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui le ravageait et excitait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. Au bout de quelques minutes, je lui passai tendrement ma main dans les cheveux.
- Ca t'as fait du bien ? ... Moi aussi tu sais !
- Tu veux revenir demain ?