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dimanche 24 novembre 2024 - 22h57rech / rep
cpt-s1-101@ nat-13

cpt-s1-101@ nat-13
(taille reelle)
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Il m'a serré contre lui, m'a embrassé dans le cou. Je me laissais faire. Il a commencé à me caresser les hanches, puis il a écarté mon corsage. Je l'ai senti passer sa main sous mes seins puis plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées.
Je n'étais pas encore décidée. Devais-je si vite lui succomber ? Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Je cherchais à retirer ses mains qui se faisaient de plus en plus pressantes sur mon intimité. Mais il m'attrapa les mains et s’imposa, fort, viril, dominant. Je continuais de résister, mais sa manière à lui de me contrôler, de me soumettre à lui, m’excitait bien plus que je ne le pensais, et je finis par me laisser aller.
A présent je réalisais en fait que je le désirais. Je le désirais de plus en plus fort. Je sentais ses mains, il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais. Je le voulais en moi. Je voulais que ses mains me dominent, me caressent, me fasse gémir …
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus. J'étais en train d'abdiquer. Je me laissais aller, J'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… Mon coeur lâchait Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais encore.
Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir. Il commença à descendre son pantalon, puis releva rapidement ma jupe, descendit ma culotte qui tomba sur le sol. A bout de force, je le laissai présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte. je l'ai alors senti venir, entrer en moi, profondément, puis ressortir et rentrer de nouveau, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je criais de plaisir, de douleur, de désir. J'avais de plus en plus chaud, j'étais bouillante. J'agrippai alors le mur comme je pouvais pour ne pas hurler …
Nos ébats durèrent un long moment. Un long moment ou il m’a soumise, désirée. Après m’avoir prise pendant un long moment, il finit par se laisser aller lui aussi et il finit par jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats.
Ce soir la, je me suis sentie dominée, femme, j'ai aimé me laisser aller, J'ai adoré sa virilité, son coté bestial, animal.




Baiser rapide dans le cou, je lui prends la main toute douce et l'entraîne un peu plus au pied de l'arbre. Nos langues s'enroulent, c'est un délice... Mes mains retrouvent le chemin de ses cuisses. Sous sa jupe courte, sa culotte glisse... Je bande. Je la déshabille, gestes précis, plus besoin du verbe, elle extirpe, experte, de mon pantalon un dard bien chaud, dur et long. A ses lèvres un sourire, dans ses yeux le désir. Elle ouvre sa chemise, exhibe deux pointes cerises, se met sur moi à califourchon, et s'introduit le membre oblong. Lentement, sûrement, elle glisse, coulisse, jusqu'à ce que mon penis disparaisse ...dans l'orifice. Bien ancrée, comblée, miaulée, elle minaude, chaloupe sensuelle, des hanches ondule. Je ne bouge pas, me concentre en son centre, tout entier pris, happé, dans cette bulle, n'osant toucher ni ses seins, ni son ventre, livré, abandonné, à son plaisir qui me taraude. Elle me remue de l'intérieur de son ventre, se remplit profondément de mon sexe, sur ses mamellons perle la sueur... Et prise soudain comme d'une crampe indicible, elle déverse un flot de mots incompréhensibles et sa cyprine qui coule sur mes bourses sensibles, Ses jambes se resserrent, elle tremble. Elle a du jouir, il me semble... Quand à moi, rendu au point extrême où tous les sens explosent, je lui avoue mon désir d'enfin la satisfaire. Et en son ventre offert mon sexe put se complaire, et je me répandis en une apothéose… En à peine quelques allées-venues, mes mains accrochées à ses fesses, ma queue en elle... explosa ! Fin de la fête,
Remise de ses émotions Elle s'est retirée de mon aiguillon, C'était la première fois; j'avais bien décidé, une fois dedans, de me retirer à temps. Mais une fois chez elle, on s'est bien réjoui et on a tant ri que je n'ai pu me retirer. On a jamais autant joui !