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dimanche 24 novembre 2024 - 19h45rech / rep
cptr-d1-134

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(taille reelle)
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Ce fut tout en haut de la ville, dans ce jardin au panorama enchanteur, que nous allâmes poursuivre notre conversation. Là, sur un banc ombragé, sa fine chemise blanche glissa alors de son épaule gauche, me révélant un délicat petit sein. Puis nos corps, incités par ce hasard malicieux, se rapprochèrent, nos langues s’emmêlèrent de plus en plus fougueusement sans souci des regards envieux tout autour. Juste en face de nous, deux filles ne perdaient rien de nos ébats ; l’une d’elle, timidement, lança à ma petite Portugaise : « On partage ? » Mais A., dans un sursaut, la rembarra sans ménagement. Elle voulait autant que moi ce moment de désir brûlant et entendait bien que personne ne le lui volât. Malgré tout, elle refusa, ce soir-là, de me faire découvrir sa chambre et je la quittais à regret pour m’en retourner vers ma solitude marseillaise.
Je le rejoignis plus tard dans ma chambre où, dans la pénombre, elle m’attendait à moitié nue sur le lit. J’achevai ainsi de la déshabiller, découvrant et caressant son corps menu de la tête aux pieds, lui laissant prendre l’initiative des premiers jeux buccaux — ce qu’elle pratiquait très bien malgré le peu d’expérience sexuelle qu’elle disait avoir. son pubis, extrêmement pileux, avait sous mes doigts la douceur d’une motte végétale. Je trouvai néanmoins, à deux reprises, le chemin vers sa bouche d’ombre et, le plaisir à peine retombé, nous nous endormîmes presque l’un dans l’autre malgré la canicule. Au petit matin, le désir de la pénétrer à nouveau me revint. Elle ne s’y opposa pas mais voulût, juste après, que je la lèche. Sa fente encore gluante et sa forte pilosité pubienne ne m’incitaient guère à un cunnilingus. Après un petit déjeuner, nous nous recouchâmes et passâmes le reste de la matinée au lit, entre caresses et confidences.