J’avais été engagé comme saisonnier pour toute la période des moissons. Le vieux n’avait plus la force. Il vivait seul avec sa fille depuis quelques années ; la sublime Bella. Avec sa longue chevelure et ses légères robes fleuries, cette adorable fille de la campagne m’avait charmé dès le premier regard. Le jour de mon arrivée, elle m’avait déjà presque hypnotisé en plongeant ses yeux dans les miens, me dévisageant des pieds à la tête alors que je déposais mon baluchon sur le lit de la chambre qu’elle me faisait visiter. Alors qu’elle se penchait pour ouvrir les volets extérieurs afin d’accueillir plus de lumière dans cette pièce au plafond bas, je n’avais pas pu m’empêcher de glisser un œil indiscret sur l’ourlet de sa jupe qui lui remontait jusqu’à mi-cuisse.
J’avais déjà fauché plus des trois quarts de la prairie cet après-midi-là. Aussi c’est avec une grande joie que je vis arriver Bella, son panier d’osier à la main. Elle m’apportait une délicieuse bouteille de thé glacé concocté par ses soins, dans laquelle elle avait ajouté une bonne dizaine de glaçons : le rafraichissement idéal ! Je n’avais jamais vu le petit short en jean qu’elle portait ce jour-là ; il était presque indécent tellement il était court, laissant voir la naissance de ses fesses. Sa petite blouse blanche sans manche était courte, elle aussi. Lorsqu’elle m’invita à m’asseoir à ses côtés et qu’elle me tendit un grand gobelet de boissons glacée, je remarquai l’absence de soutien-gorge, ce qui contribua à me troubler encore un peu plus. Elle me complimenta sur le travail déjà accompli ainsi que sur le hâle de mes biceps en sueur. Je la remerciai en balbutiant maladroitement quelques mots, puis avalai d’un trait la moitié de ce providentiel breuvage.
Bella me regardait faire, laissant pendre nonchalamment sa jambe droite en bas de la remorque, alors que son pied gauche était posé à plat sur la benne, son menton posé sur son genou. J’avais du mal à ne pas mater ses cuisses, aussi tendres que généreuses.
Le ciel commençait à s’assombrir de plus en plus, mais aucune goutte de pluie n’était encore tombée. Elle me fit signe de m’approcher, et elle embrassa ma bouche d’un long baiser fruité que je n’oublierai jamais de ma vie !
La suite se passa comme dans un rêve ! Sans dire un seul mot, nous nous sommes enlacés, mus par un désir mutuel. Allongés sur le plancher en bois de la remorque, nos mains partaient à la découverte de nos corps, alors que nos langues faisaient connaissance avec de plus en plus de fougue. Sa bouche était tendre et gourmande à la fois. Sa cuisse vint se caler entre mes jambes. Mes doigts fébriles se glissèrent sous sa blouse, partant à la recherche de ses merveilleux globes d’amour, tendus d’excitation. Les petits gémissements qu’elle poussait m’indiquaient qu’elle devait au moins être aussi excitée que moi, ce qui me fut confirmé au moment où elle me lança un « Prends-moi ! » gorgé de désir, dans un souffle, entre deux baisers torrides. C’est à ce moment que j’ai remarqué qu’elle m’avait déjà facilité la tâche en déboutonnant son petit short en jean ; je n’avais plus qu’à glisser ma main le long de son bas-ventre pour plonger dans un doigt explorateur sur le dessus de son clitoris en feu. Un long soupir s’échappa de sa gorge lorsqu’elle sentit mon index s’immiscer en elle, glissant d’autant plus facilement que sa vulve était déjà trempée. Mon sexe me faisait presque mal, tant il se sentait prisonnier à l’étroit dans mon pantalon encore fermé. D’une main experte, Bella le dégagea de son carcan, pour se mettre à le goûter avidement. Sa bouche formait un véritable écrin de velours autour de mon gland durci par l’immense excitation qui m’envahissait. Les baisers qui suivirent, mêlant salive et mouille suave, achevèrent de nous saouler de désir, et c’est le moment qu’elle choisit pour me chevaucher et guider mon sexe en elle. Elle s’y empala jusqu’à la garde, me fixant du regard. Comme hypnotisé par ses yeux de féline, je saisis ses seins lourds dans mes mains ; grâce aux mouvements de son bassin je n’avais même pas besoin de bouger mes mains pour masser ses deux sublimes mamelles, qui bougeaient dans le rythme de ses ondulations.
Quelques gouttes de pluie ont alors commencé à tomber, mais nous étions trop occupés à goûter ce moment que pour nous en soucier. Au contraire, elle se mit à me baiser encore plus énergiquement dès que le premier éclair zébra le ciel. On eut dit que tous les dieux de l’Olympe avaient décidé de photographier nos ébats, flashant de plus belle alors que le tonnerre commençait à gronder ! Frissonnant à chaque goutte de pluie qui coulait dans son dos, Bella décida de changer de position et m’invita à la protéger de mon corps. Allongée sur le dos, elle m’ouvrit ses cuisses si largement que je compris en un clin d’œil la caresse qu’elle attendait. Mon gland déjà bien lubrifié par sa mouille abondant n’eût aucune peine à se frayer un chemin dans l’étroit conduit de son anus. Elle gémit un peu au moment où toute sa tête disparut entre ses fesses, puis je poussai délicatement et très progressivement mon sexe jusqu’au plus profond de ses entrailles. L’orage redoubla alors d’intensité, comme si les dieux avaient décidé de désapprouver cette position pourtant si terriblement excitante. Et c’est finalement sous une pluie chaude et battante que Bella m’invita à remplir sa bouche d’une longue et puissante rasade d’un sperme chaud et abondant.
C’était le dernier jour de ma mission de saisonnier à la ferme.
Le vieux Ramedillis me remit ma paie ce soir-là, et je n’ai plus jamais revu la torride Bella.