Etoffes légères, délicates, de douces combinaisons de nylon à fines dentelles, de délicieuses petites culottes de soie. Son corps et son parfum envahissent l'alcove, un ventre trop charnel et des seins à croquer, de longues jambes divines. Je l'imagine déjà, sa robe tombe à terre et la culotte suit, son corps est nu, ses mains au bas de la douce étoffe, elle enfourne sa tête et y glisse son corps. volupté exquise de la soie sur sa peau. Elle se dénude doucement, pour mieux se revêtir. Tendre caresse de sa douce lingerie ! J'aime ce contact soyeux sur son entre cuisse Ce frottement indécent m’excite. J'aime son doux tissu qui glisse sur sa peau J'aime la sentir pleine du désir de moi. Je rêve de ses caresses, délicieuse sensation ou vibrante détresse. Cette lingerie de soie blanche, si fine, sur laquelle mes lèvres vont s’attacher Pleine de ses mains, de mes lèvres, de mon sexe, pleine de sa faim, de sa soif de plaisir, Cette lingerie qu'elle écarte un peu pour que je vienne en elle, pour que je me glisse en elle. Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de celle de la sienne, Qui lui fait comme un souvenir le jour durant. Cette lingerie qui tombe dans la chambre, pleine de mon odeur mâle, de son odeur femelle Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme, joyeusement partagé, et qu'elle garde en haut de ses cuisses. Cette lingerie si remplie de moi, si remplie de son homme,
Je la vis un soir se diriger vers la salle de bain, avec ses affaires. Elle ôta sa robe et se retrouva en combinaison rose. Délicatement, elle dégagea les bretelles de ses épaules. le fin tissu glissa doucement le long de son corps et s'étala en corolle à ses pieds. Elle portait un soutien-gorge mauve. Elle passa les mains dans son dos, le dégrafa et l'enleva en tenant ses seins. Ils semblaient fermes, des tétons gros et longs, très foncés. Elle caressa lentement le dessous des seins, je remarquai qu'elle avait changé de combinaison, mais n'avait dessous ni culotte ni soutien-gorge. Elle se glissa dans une nouvelle robe, prit son linge et sortit. Elle avait laissé sa combinaison sur place Je pris la combinaison noire encore tiède et respirai ses effluves. Je la roulai en boule et la mis dans ma poche. J'ai passé une nuit merveilleuse avec la belle combinaison noire. Je l'ai revêtue et toutes les images de l'après-midi sont revenues : les beaux seins, les longs tétons noirs, ses jambes fluides j'enveloppai ma bite et mes couilles durcies dans le tissu chaud. Quelle sensation merveilleuse ! Je serrai mon paquet bien fort, fermai les yeux et me remémorai les images deMme Granger. je sentis mon sperme bouillonner dans mes couilles, remonter en gonflant ma hampe et jaillir avec une force inouïe dans le doux nylon. Je mis de longues minutes à me remettre de cette jouissance. il y avait cette odeur intime, ce léger parfum que j'aurais pu reconnaître les yeux fermés.
je revoyais ses seins tout ronds, et sa touffe noire. Cette odeur ! La même, envoûtante, âcre, épicée ! Le bonheur retrouvé !
C'est le grincement de la poignée de la porte qui m'a tiré de ma rêverie. Mme Granger était là, dans l'embrasure de la porte, Et moi, blanc comme un linge, sa culotte à la main. Elle me regardait, mais je ne voyais ni colère ni animosité dans son regard, elle avait l'air navrée d'être arrivée au mauvais moment.
- Tu aimes mes combinaisons ?
Sans attendre ma réponse, elle se leva, prit ma main et m'entraîna dans sa chambre. Elle ouvrit son armoire. Je ne savais plus où poser mon regard, il y avait des piles de combinaisons et de jupons, des tas de petites culottes et de soutiens-gorge, des bas, des collants : Abasourdi, je m'assis sur le lit et contemplai sans dire un mot.
- Choisis celle que tu veux et je vais la mettre pour toi.
Je pris dans la pile une combinaison noire, ornée d'une fine dentelle à la poitrine.
- C'est tout ? Déshabille-toi, je reviens ! Allonge-toi sur le lit et ferme les yeux.
Je fis ce qu'elle m'avait demandé. Je l'entendis arriver et je sentis soudain sa présence contre moi. Elle passa une jambe entre les miennes, entourant ma cuisse du velouté de sa combinaison. Elle écrasa ses seins pointus sur mon ventre et ne bougea plus. des seins dont on ne voyait que les pointes qui dépassaient de la dentelle. J'étais fou. Elle me regardait en souriant.
- Tu comptes me regarder longtemps ?
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert. tenant entre mes doigts les pointes en saillie et elle appréciait en gémissant doucement. En fait, je ne savais plus quoi lui faire. elle prit alors les choses en main.
- Calme-toi, mon ange, je vais m'occuper de toi. Allonge-toi et laisse-moi faire.
Elle commença par venir m'embrasser. Un baiser plein de douceur, sa langue vint violer ma bouche et s'enroula doucement avec la mienne. Puis ce furent des baisers et des suçons sur mes tétons. Elle lécha tendrement mon ventre qui frémissait. Ses mains jouaient avec mes cheveux ou caressaient mes joues. Mon sexe reprit du volume. Elle se mit à genoux et, tout en me regardant, se saisit de ma tige turgescente.
- Elle est belle !
J'étais prêt à tout, évidemment et je me mis à la tripoter à travers la dentelle. Sans attendre, elle prit mon mat et commença un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était le paradis. Je sentis mon corps se tendre, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, la délivrance. Le feu partit de mes couilles, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment. Elle était là, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. l'effet ne se fit pas attendre et ma queue se tendit avant même que le fin liseré de dentelle ne soit entièrement descendu le long de mes cuisses. La douceur, la fraîcheur du tissu, l'idée que tatie était là tout près, fit gonfler ma verge comme jamais encore. Sans un mot, elle me couvrit de son corps. Ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément.
- caresse-moi mon chéri ! je suis à toi !
D'un seul doigt, je glissai sur ses lèvres, son menton, son cou, sa gorge, entre ses seins dont j'apercevais les pointes brunes à travers la dentelle fine du soutien-gorge, puis le ventre plat, le nombril et enfin le bord de l'élastique de son jupon, ses hanches. Je refis plusieurs fois le chemin, sa peau tressaillait et elle gémissait doucement. Je remplaçai mon doigt par ma main, qu'elle saisit pour la porter sur son sein.
- Il est doux, hein ? Il te plaît ? Il faut le caresser doucement, la pointe est très sensible.
- Attends ! je vais enlever mon soutien-gorge
Elle se releva et dégrafa le soutien-gorge. Puis elle me deshabilla lentement elle se rallongea sur le dos et je continuai mon exploration. Ses seins étaient tendus par le désir.
- Tète-moi, mon ange !
Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle murmura :
- C'est bon, continue. Descends un peu, tu es doux.
Et je sentis soudain une peau douce, humide, gonflée qui s'ouvrit comme une fleur avec sa rosée. Mon doigt fut comme aspiré par cette fente glissante, il s'enfonça entièrement dans des profondeurs inconnues, lui arrachant des feulements à chaque pénétration. Elle glissa alors sa main entre nos deux corps, réussit à saisir mon sexe et commença un lent massage de bas en haut. Tandis que nous échangions ces caresses, elle vint au-devant de ma main, Elle se pressa contre elle mes deux doigts rencontrèrent alors le clitoris en haut sa vulve inondée. Ses yeux s'écarquillèrent, sa peau devint fiévreuse, elle arqua le dos pour se coller à moi. Elle prit ma main libre dans la sienne et la serra contre son sein. Puis renversant la tête en arrière, elle poussa un cri, la bouche grande ouverte. Elle se serra alors contre moi et je sentis quelques larmes qui coulaient sur sa joue. je continuai de la caresser, elle était complètement inondée. Elle me lanca un regard suppliant
- Viens, je te veux en moi !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant.
- Viens, enfonce-toi loin !
Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que celle-ci s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, c'est bon ! Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. J'avais l'impression de tomber, je fermais les yeux, je m'abandonnais sur son corps, je sentais ses seins gonfler contre moi, elle me berçait sur elle, déposait mille baisers sur mon visage. J'étais sur une immense vague, le flot m'emporta, m'engloutit, je criai, elle aussi !
- Oui ! Oh, que c'est bon !
Je me suis vidé.
Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles.La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.