Nous étions fous de désir, de nous assouvir l'un dans l'autre, Il m'a alors emmené dans sa chambre. J'avais envie de lui, il avait envie de moi. Je le désirais, violemment. Nous nous sommes rapidement deshabillés. Il m'a allongée sur la moquette et il pénètré mon corps sans attendre, d'un coup. Je l'aspirai en moi avec gourmandise, mes chairs se distendaient. il me tenait par les hanches et il m’accompagnait. je mouillais sous ses coups. Gémissements contenus. Mes lèvres cherchaient les siennes et j'attrapai sa bouche. Je le sentais me fouiller, me remplir. La sensation était diffuse, elle se propageait, s’éteignait, renaissait. il collait son ventre contre le mien, nous étions emboités l'un dans l'autre. il se remit à glisser en moi plus amplement, entrant et sortant de toute la longueur de son sexe, nous approchant un peu plus du moment sublime. Mes jambes emprisonnaient son corps et l'attiraient en moi chaque fois qu'il s'en éloignait. Nos deux corps comme des vagues allaient et venaient sur le lit, éclaboussant les draps de sueurs, de désirs. Puis il alla plus loin, plus profond et plus fort. La tension alla s’amplifiant. Je le sentis gonfler et grandir dans mon ventre. Je frissonnais, je tremblais.... Je montais irrémédiablement. En rythme, je l’agrippai, le suçai, le serrai, de plus en plus fort, je m’entendis émettre un râle à la fois rauque et aigu, au milieu de mes halètements. les allées et venues violentes de son sexe dans le mien provoquerent une forte houle de sensations dans tout mon corps, Il continuait à coulisser en moi, furieusement, de plus en plus vite, ses mouvements se firent saccadés et encore plus brutaux :
Son plaisir s’annoncait, J'allais jouir d'un instant à l'autre, tout mon corps fut ébranlé, je sentis mes muscles se contracter autour de son sexe, m’arrachant les tripes à chaque fois qu’il ressortait. C’était violent, et bien vite, le plaisir est arrivé là, balayant tout sur son passage.
Tout mon corps se mit à vibrer. Je tremblai, me contractai, je jouissais. Un gigantesque frisson se mit a m'envahir tout le long de l'échine et s'installa dans ma nuque, je sentis mes muscles vaginaux se contracter sur son sexe enorme, l’agripper, l’attirer au plus profond de moi... Il le sentit et d’un coup de rein, s'enfonca au plus profond de moi, en poussant un long râle, Il s’immobilisa ... Son visage se crispa, il ahanait, ses yeux étaient rouges et exorbités, j’enroulai mes jambes autour de ses hanches, le rendant prisonnier de mes cuisses... La sueur perlait sur son front et roulait entre ses sourcils..., tout son corps se tendit, comme tétanisé. Il se raidit des pieds à la tête, comme atteint d’une balle fourbe, Son corps entier a basculé en avant, s'enfonçant tout au fond. Il a gémi très fort, s'est figé avec un regard vitreux, et il a lâché ses premiers salves. J'étais au bord de l'extase absolue. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! Je sentais son jet liquide jaillir en moi ... une gerbe chaude qui se répandait dans mon ventre, La seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible, je criais de plaisir à cette expérience sexuelle intense. C'était merveilleux et puissant. Dans un bruit de clapotis terriblement stimulant, je sentais son sperme chaud commencer à ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de se lâcher. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui.
il retomba lourdement sur moi, il resta affalé sur moi, amorphe... il m'avait remplie. Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je cherche à les contrôler. J'ai alors eu un dernier orgasme intense.
Alors que les décharges faiblissaient, je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de mon corps. puis il s’immobilisa au fond de mon ventre, pressé entre mes muqueuses tapissées de liquide amoureux. Nos corps collés ensemble se contracterent longuement. Il jouissait encore en moi. Je jouissais aussi, une douce brûlure.
Quand je suis revenue à la réalité, j'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Il m'a regardée au fond des yeux, m'a embrassé tendrement, tout en continuant à me limer doucement, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi.
Au bout d'un moment, mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. Je sentais que son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre.
J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse, lorsqu'il s'est mis a haleter, sa verge s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, puis tirer un dernier chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient. Son sexe continuait à glisser doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé ce soir là un merveilleux amant.
Il se détendit, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête chercha la tiédeur de mon épaule. Il m'embrassa le cou. Je lui caressai les cheveux. Tendresse. Il se redressa lentement, se retira doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentai de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’arrêta, une seconde, deux... et de nouveau
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai repensé toute la nuit à la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos