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dimanche 24 novembre 2024 - 18h49rech / rep
--mond-07-nallongcoteBridget Hall4

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(taille reelle)
fascinée par cet homme ()
J'étais allongée sur mon lit, fascinée par ce bel homme puissant que j'avais attiré chez moi, et qui, maintenant, se déshabillait lentement devant moi, ses yeux brillaient d'un feu ravageur. son regard avide se fixa sur mes seins pointant sous ma fine lingerie de soie rose. Il me mangeait littéralement du regard
Cet homme était impressionnant. J'admirais son corps musclé. J'étais figée, paralysée, hypnotisée, par la surprise, par le désir. Il était en pleine érection. Il bandait devant moi sans complexe, à la limite de l'indécence et ne s'en cachait pas. Je sentais mon corps frissonner, je mouillais abondamment. Je n'avais aucun contrôle sur mes sens. je réalisai l’effet que me faisait ce mâle. J'étais en chaleur, je sentais l'intérieur de mes cuisses glisser l'une contre l'autre. J'étais sexuellement à bout, mon estomac se nouait. Mes seins me faisaient mal, je sentais mes mamelons grossir, durcir, avides de se faire caresser, sucer, palper, malaxer.
Il se rapprocha un peu plus, s'immobilisa un instant. J'avais envie de cet homme, et il avait envie de moi, j'avais commencé de déboutonner légèrement mon chemisier, laissant voir le haut de mon soutien-gorge, la rougeur lui monta au visage, ses yeux s'embrasèrent à nouveau, haletant, en proie à une forte excitation, lui aussi, d’un geste rapide il prit ma main et la glissa entre ses jambes pour me faire partager son désir de male
Alors qu'il entreprenait de me déboutonner entièrement, ma main pris possession de son sexe. Quelle forte sensation de sentir ce membre, gonflé, tout gorgé de sang, palpiter, frémir entre mes doigts. Je me mis à le masser vigoureusement, ainsi offert et tout palpitant. Il me sembla qu'il gonflait encore et se faisait plus dur, plus tendu. Son sexe m'attirait comme un papillon la lumière. Je le caressai infiniment lentement. Douce sensation, trouble émotion Je cueillis au creux de ma paume sa bourse tiède, la soupesai, j'enserrai la base de sa verge, tendrement, délicatement Je la sentais vivre et palpiter, irriguée par les veines gonflées. L'envie de le prendre en moi, était de plus en plus forte. Il voyait très bien l'effet qu'il avait sur moi. Je sentais la chaleur de son corps contre mes cuisses. il m'excitait de plus en plus. Mon corps ne m'appartenait plus. Je le regardais droit dans les yeux, Le désir, intense, envahissait mon corps. Je sentais au fond de mon ventre la sensation d'une brulure.
il m'excitait de plus en plus. Il passa lentement sa main dans ma chevelure toute dérangée. Sa langue chercha la mienne, s'enroula autour. Ma salive se mêlait à la sienne, Le désir, intense, envahissait mon corps, je dégrafai pour lui mon soutien-gorge et me laissai aller en arrière, sachant l'effet que produit en général cette posture. Le résultat ne se fit pas attendre, il devint écarlate, sembla hésiter un bref instant, puis, avoir m'avoir longuement dévoré des yeux, se mit à me distribuer à prendre mes deux seins lourds, les caresser, les palper en appréciant leur texture tout en poursuivant nos jeux de langues.
Je sentais, plus bas, son enorme appareil au contact de ma fine lingerie et je n'avais qu'une envie : qu'il le plante vite dans mon ventre. Il me regarda, intensément, releva ma combinaison, exposant mon corps, mon sexe. Je tremblais comme une feuille. je voulais qu’il arrête, je voulais qu’il continue……je ne savais plus ce que je voulais.
Je cambrai le dos… Je sentais sa queue frôler ma cuisse. Elle était chaude, mouillée.
Je fermai les yeux, écartai légèrement mes cuisses. Son sexe énorme caressait maintenant ma vulve, offerte, grande ouverte. Il me prit par les hanches, me regarda droit dans les yeux, et doucement s'enfonca en moi, je gardais mes yeux rivés sur ce sexe massif et troublant qui me pénétrait. J'écartai un peu plus mes cuisses en le regardant toujours droit dans les yeux, ce qui avait pour effet de m'exciter d'avantage. Chaque centimètre me rendait encore plus folle. Je le sentis s'enfoncer de plus en plus dans mes chairs. Lentement, sa queue s'engouffra toute entière. Je l’aspirais de mes muscles, la pressait, Il la ressortit, la poussa encore plus profondément. Il prit mes seins lourds dans ses mains et les malaxa avec douceur. Mes mains s'étaient glissées entre ses cuisses et caressaient ses bourses. Je pouvais l’entendre gémir et cela m’excitait au plus haut point. Il enfonça encore plus son sexe dans mon nid chaud et humide. Je continuais à l'aider. Quand il fut en entier en moi il m'embrassa très sensuellement. Et il recommença ses va et vient. les mouvements devenaient de plus en plus violent, il poussait des râles sonores. Mes muscles se contractaient, je lui griffais le dos, pendant quelques quelques secondes, je perdis connaissance. Quand je repris mes esprits, Il était toujours en moi, il ne s'était pas retiré. Il bandait toujours et les va et viens infernaux reprirent. Il poussait des gémissements, ce qui m'excitait encore plus.
Le moment était venu : je m'emparai de ses fesses que je serrai bien fort et je le sentis me penetrer furieusement encore plus loin, en m'arrachant un long râle. J'étais prête, ruisselante, mouillée à souhait ! Dieu ! que c'était bon ! Il me besognait puissamment et s'emballa soudain. Mon bassin se précipitait à sa rencontre, je le regardais dans les yeux. Un martèlement délicieux, et sauvage à souhait. Lorsque je sentis que son orgasme approchait, je resserrai mes muscles de façon à bien le garder au fond de mon vagin.
Je savais qu’il était sur le point de non retour. Je le sentis trembler et se figer au fond de moi. Il poussa un cri rauque, et explosa presque aussitôt, son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Ses jambes tremblaient, son corps se figeait pendant plusieurs secondes. Je me sentis jouir à mon tour, emportée par le tourbillon de jouissance, secouée par une succession de spasmes qui me firent hoqueter pendant de longues secondes après l'orgasme.
Les spasmes finis, je sentis sa queue perdre petit à petit de sa raideur, puis glisser doucement hors de ma vulve, liberant un flot de semence. Je mis un certain temps pour me calmer et reprendre mes esprits. Il s'affaissa, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui. Je le regardais sans vraiment comprendre comment nous en étions arrivés là. Nous restâmes un moment comme cela, lui en moi, avant de nous allonger l'un contre l'autre. Complètement relâché, mon beau mâle s'allongea sur moi. Je sentis le liquide poisseux se répandre entre mes fesses et sur mes cuisses que je serrai, par pur réflexe. Il me serra fort contre lui, me sourit puis, lentement, comme à regret, se détacha de moi. Il se rhabilla en hâte, sans mot dire et, après m'avoir baisé les lèvres avec une infinie tendresse, il se rhabilla et quitta la chambre.
Je ne l'ai jamais revu..