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dimanche 24 novembre 2024 - 18h20rech / rep
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(taille reelle)
une femme seduisante ()
Nous nous étions refugiés tous les deux dans un coin sombre de la salle, à l'écart des danseurs. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde sous sa combinaison de soie. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme, elle se blottit contre moi encore plus fort. Gêné par le gonflement indécent au bas de mon ventre, je tentais de le dissimuler jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- restez tranquille, serrez-moi encore ! ...
- Je prends ça pour une flatterie ! ajouta-t'elle avec un leger sourire complice
Je me suis alors laissé aller à bander contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein que je commençais alors à caresser doucement à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle glissa sa main sur ma nuque et dans mes cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, maintenant à pleine bouche, mêlant nos salives.
Elle redressa le buste, poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu soyeux. je posai ma main sur le sein le plus proche, le palpant doucement. Puis je glissais un doigt sous la soie pour atteindre la peau satinée. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est alors emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive, ses cuisses étaient écartées, comme en attente. Elle m'interrompit en me soufflant à l'oreille:
- j'ai envie !
Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde.
- ça va ? lui demandai-je, de plus en plus impatient
- Vous m'avez entendu ? insista-t'elle, ... J'ai envie de vous !
Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. Sa main caressait mes cheveux. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais sur sa peau douce. Elle écarta encore les jambes découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses intimes pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis alors devenir comme folle, elle ne se contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Elle me souffla à l'oreille en forme de supplique:
- Ne restons pas là !
Une fois dans sa chambre, le la pris dans mes bras, la serrai contre moi. Son souffle, encore court, bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé qu'elle avait pris en main, frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- Venez ! ... Vite !
mon sexe compressé contre son ventre, ses lèvres intimes toutes ouvertes. coincés, cachés, a l'abri des regards. La respiration bloquée, elle m'embrassa, éperdument .... j'étais ivre, je tremblais. Je brûlais. Elle me caressa la nuque. Je lui lèchai le cou. Nos lèvres à nouveau ... corps à corps ... exaltation des sens, caresses. Je glissais ma main entre la soie et la peau... j'enfoncais mes doigts ... elle halètait dans mon oreille. Tout son corps se tendit vers ma main qui l'empoignait. J'entendais le frottement de la soie sur ses cuisses...Je fermais les yeux. Le temps s'arrêta. Mes mains jouaient dans ses cheveux. Elle esquissa un sourire.

A l'abri des regards, je relèvais sa jupe, elle ouvrit discrètement mon pantalon, prit mon sexe et caressa sa fente avec mon gland. Nos corps se rapprochaient, se trouvaient, enfin ...C'est à ce moment là que j'ai senti mon sexe litteralement aspiré entre ses lèvres intimes, je la penetrais naturellement, sans effort. elle se mit à tressaillir. Et je continuais à m'enfoncer un peu plus en elle. Elle était sous mon emprise. Elle a resserré ses jambes, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Je me sentais grossir de plus en plus en elle. Son corps s'abandonnait, elle se donnait peu à peu à moi, ses hanches se déplacaient contre moi au fur et à mesure de ma progression. Elle gémissait doucement pendant que je la conduisais au plaisir, j'étais puissant et doux à la fois, lui agrippant les hanches pour la garder sous mon contrôle. Elle m’aspirait de ses muscles, me pressait, je ressortais, poussais encore plus profondément. J'entrais en elle et ressortais, descendant plus profondément à chacune de mes poussées, jusqu'à ce que finalement je l'investisse jusqu'au fond de son vagin, la remplissant complètement. Je commencais à sentir chez elle arriver l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de son corps,
- Je suis prête !
Elle m'agrippait par les épaules pour ne pas crier pendant que je lui mordillais le cou, je m'activais dans son ventre de plus en plus vite. J'étais sur le point de non retour. Je me suis enfonçé plus profondement, d'un coup, au fond de ses entrailles, je me suis arrêté, je me suis crispé, j'ai senti mon sexe se raidir, se contracter. Je poussais un cri rauque et long ... et mon premier jet vint gicler au fond d'elle, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je jouissais dans son ventre ! Il n'en a pas fallu plus pour qu'elle explose avec ce qui devait être son premier orgasme de cette soirée là, pensant même qu'elle allait defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans son corps. Je sentais que je défaillais moi aussi. Mes jambes semblaient ne plus vouloir me soutenir. Je déchargeais en elle en salves successives. À chaque secousse, je lui remplissais le vagin, c’était chaud. Je ressortais, entrais de nouveau, m’arrêtais. Ma verge dure coulissait puissement dans sa fente humide. Elle était remplie de moi. Son corps avait finalement ce que j'avais imaginé quelques temps plus tôt. C'était si agreable de l'avoir si ferme, si dur, à l'intérieur d'elle, j'ai senti alors son deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de son estomac. Je lui envoyais une dernière giclée, me vidais, puis m’enfournais jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Elle restait là contre moi, ma queue toujours bloquée en elle. Je la sentis se rétrécir, libérant nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je me laissais glisser hors d'elle, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Je m'affaissai sur elle, épuisé. Elle était aussi épuisée que moi.
- C'est si bon ! ... J'en avais tant besoin ! ... Vous avez été merveilleux !
Elle glissa les mains sous ma ceinture, me caressa, me fit durcir à nouveau ... j'avais envie encore de son ventre. Je l'attirais vers moi, Elle guida mon sexe d'une main experte. Je fermai les yeux ... Je la pénètrais très doucement, profondemment, très longtemps... Elle m'entoura la taille de ses jambes en s'accrochant de toutes ses forces à mon cou... le plaisir était si fort. sa bouche était entrouverte, collée à la mienne, elle me lèchait avec lenteur, me mordillait les lèvres. Je la collai contre le mur .... et je m'enfoncai à nouveau dans sa chair. Elle se laissait embrasser partout ... Nous étions unis dans le plaisir, enlacés, prisonniers de notre désir. La profondeur de son ventre, l'abîme de mes plaisirs. Je sortais, je rentrais, je coulissais en elle ...elle respirait plus vite. Elle s'agrippait, elle suffoquait, accrochés l'un à l'autre comme cramponnés à un amour qu'on voudrait retenir... je sentais sa respiration, léger souffle d'air aux bouffées érotiques... Je m'enfoncai à nouveau au fond de ses muqueuses ... nos corps frémirent. En elle bouillonnait le plaisir. Elle glissa ses mains sous ma chemise et caressa mon dos, mon torse. J'avais du mal à la tenir. Souffle court, yeux au bord des larmes, larmes de bonheur. Mes mains caressaient ses cuisses merveilleusement charnelles, féminines...peau de velours parcourue de milles gouttelettes de plaisir... Elle s'accrocha à mes épaules, Je lui pétris les seins, à travers la robe. Derrière la porte, les bruits de la fête. Mes tempes claquaient, ma tête tournait. La chaleur montait en moi comme une sève brûlante. Je me sentis basculer. Elle râlait de plus en plus. Elle se retint .... juste un ouiii ! qui mourut doucement au fond de mon oreille qu'elle taquinait avec sa langue...Sa langue mouillée dans mon oreille. Mes mains qui s'accrochaient à ses chairs rondes. Elle me lèchait les lèvres, les yeux, puis m'embrassait fougueusement. Ses mains me caressaient, me griffaient, m'enveloppaient de leur désir. Je regardais son corps monter et descendre, aerien. Sa bouche se donnait, encore et encore. Sa langue me fouillait jusqu'à la gorge. Sa poitrine battait avec force. Nous dérivions ensemble, encastrés, emmêlés...Le buste dressé, la tête renversée, elle ondulait du bassin, glissant sur mon sexe, telle une ébéniste lustrant une pièce précieuse, Cela dura ... une éternité, jusqu'à ce qu'enfin, le plaisir l'emporte, d'une rare violence contenue, longue jouissance partagée chacun blotti au creux du corps de l'autre... liquides partagés Elle s'allongea sur mon torse. Je caressai ses cheveux ... Sourires échangés. Sa tête bascula sur le côté, elle se blottit contre mon épaule...
- Je vous en prie ! Restez avec moi cette nuit !