C'était un homme seduisant, bâti comme toutes les femmes en rêvent. Nous nous etions retrouvés à l'extérieur autour d'une table sous la douce chaleur d'un soir d'été, nous parlions de tout et de rien mais je découvrais une lumière pétillante dans ses yeux et, je dois l'avouer, j'étais sous le charme.
Il m'a invité à danser et j'ai accepté bien volontiers. Je n'étais pas insensible au contact de son corps. le contact de sa jambe sur le nylon de ma robe m'excitait doucement le bas du ventre. Je le voyais regarder mon decolleté, mes seins pointaient à travers le tissu. Je me sentis rougir. Ses bras m'entouraient de manière soutenue. Je sentais très nettement son pantalon pointer entre mes cuisses, sous le tissu de ma robe légère, un relief troublant sur lequel, inconsciemment, je commençais à me frotter.
Nous nous regardions sans parler, les yeux dans les yeux. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa manière de me serrer sans excès contre lui. Ses mains étaient douces, longues et fines, Je les regardais avec envie, je les désirais avec force. J’imaginais les caresses plus intimes qu’elles pourraient me faire, le plaisir qu’elles pourraient me donner. Ses mains restaient sages, trop sages. Je rêvais de toucher, sucer chacune de ses phalanges, de les soumettre à mon plaisir, de les guider sur mon corps, de les diriger pour qu'elles s'immiscent discrètement dans mon écrin.
Je sentis en même temps sa main effleurer très doucement mon sein, je le laissais faire. J'imaginais déjà une aventure avec lui et cette idée, loin de m'affoler commençait à envahir ma tête. Ma peau etait chaude, un peu moite, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. J'étais émoustillée Je me suis laissée entrainer dans une spirale que je ne dominais plus vraiment. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre moi. Je sentais tres nettement le relief de son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage,
Il s'est un moment détaché de moi pour me fixer etrangement. Et, sans me laisser le temps de réagir, ses lèvres se sont posées sur les miennes, elles étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Je ne dominais plus vraiment la situation. Je ne sais pas pourquoi je l'ai l'embrassé à ce moment là avec plus d'ardeur. Toujours est-il que sa langue s'est de nouveau insinuée entre mes levres, et qu'il commençait à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à resister, je le laissais agir, pensant que nous allions rapidement reprendre nos esprits. Mais Il a commencé à écarter un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son torse, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Je n'arrivai plus à faire quoi que ce soit. Il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins. Il commença à les caresser, les palper, les presser l'un contre l'autre.
Rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Tout en continuant à le regarder droit dans les yeux, je pris sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. je la laissais poursuivre sa douce exploration par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. Sa main a soulevé le bord de ma robe, puis ma combinaison de soie et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le tissu de mes dessous intimes. C'est de ce contact direct dont j'avais secrètement besoin. Il avait touché un point sensible. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus le doux tissu. C'était vraiment bon. Puis il a passé un doigt sous l'élastique, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts me penetrait. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. Ma tete en arriere, je lui offrais une gorge tendue, nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun, mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait irremediablement en moi. Son autre main me caressait le ventre, et les seins.
Prise de légers spasmes, je m'agrippai à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation. J'étais en train d'abdiquer. j'exprimai ma jouissance dans un râle long. Il me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus.
Il était en train de faire fondre mes rares velléités de résistance. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, sa manière de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais. En fait, je désirais cet homme. je le désirais ardemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Il était viril, plutôt gâté par la nature, il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui.
J'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à crocheter et faire descendre sur mes jambes ma fine culotte de soie. J'ai essayé de le stopper, lui disant que nous étions en train de nous laisser emporter. Il m'a répondu qu'il s'arrêterait dés que je lui demanderai. Mais, je dois être honnête, je ne lui ai pas demandé, car inconsciemment j'avais envie qu'il continue. Je soulevais instinctivement mes hanches pour le laisser finir le travail. A peine tombée sur le sol la petite lingerie est partie directement dans sa poche. Je tentais encore vaguement de me raisonner mais sans vraiment résister, je glissais une main dans son pantalon et testais son désir, je le pris en main, le caressais et le massais doucement. Il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque ses intentions. Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard pour lui avouer mon impatience, lui signifier que j'étais prête !
Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai venir. Il continuait à masser mes lèvres intimes de plus en plus mouillées. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, C'est à ce moment là que j'ai senti son sexe au contact de mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Il commençait à me pénétrer doucement. Je ne résistais pas. Et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais sous son emprise. J'ai resserré mes jambes, ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Je le sentais grossir de plus en plus en moi. Mon corps m'abandonnait, je me donnais peu à peu à lui, mes hanches se déplacaient contre lui au fur et à mesure de sa progression. Je gémissais doucement pendant qu'il me conduisait au plaisir,
il était puissant et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder sous son contrôle. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Il entrait en moi et ressortait, descendant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il m'investisse jusqu'au fond de mon vagin, me remplissant complètement.
Je l'agrippai par les épaules pour ne pas crier pendant qu'il me mordillait le cou, il s'activait dans mon ventre de plus en plus vite. Je sentais qu’il était sur le point de non retour. Puis je l'ai senti s'enfoncer plus profondement. D'un coup, il s'est enfoncé au fond de mes entrailles, s’est arrêté, s'est crispé, j'ai senti son sexe se raidir, se contracter. Il poussa un cri rauque et long ... et son premier jet vint gicler au fond de moi, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Il jouissait dans mon ventre ! Il n'en a pas fallu plus pour que j'explose avec ce qui devait être le premier orgasme de cette soirée là, pensant même que j'allais defaillir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Je sentais qu’il défaillait lui aussi. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse, il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait. Sa verge dure coulissait puissement dans ma fente humide. J'étais remplie de lui. Mon corps avait finalement ce qu'il avait imaginé quelques temps plus tôt. C'était si agreable de l'avoir si ferme, si dur, à l'intérieur de moi, j'ai senti alors mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. Il m'envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus.
Il restait là contre moi, sa queue toujours bloquée en moi. Je la sentis se rétrécir, libérant nos sécrétions amoureuses. Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.
Quand je suis revenue à la réalité, je sentais toujours son sexe encore partiellement en moi, imbibé de son sperme. Il m'a regardée au fond des yeux, m'a embrassé tendrement, tout en continuant à me limer doucement, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui. Il était toujours en moi.
Au bout d'un moment, mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. son sexe recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Je commencais à sucer les mamelons sur son torse, lorsqu'il s'est mis a haleter, sa verge s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, puis tirer un dernier chargement incroyable de son sperme, déclenchant un orgasme incroyable de violence. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. Même mes mamelons me brûlaient. Son sexe continuait à glisser doucement en moi. joie des plaisirs amoureux, sans cesse recommençés J'ai trouvé ce soir là un merveilleux amant.
Il se détendit, se ramollit dans mon ventre, et entre mes jambes. Sa tête chercha la tiédeur de mon épaule. Il m'embrassa le cou. Je lui caressai les cheveux. Tendresse. Il se redressa lentement, se retira doucement, m’aspirant de l’intérieur, glissant hors de mon vagin, je tentai de le retenir Il n’en finissait plus de sortir, il s’arrêta, une seconde, deux... et de nouveau
Lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant sa longue verge gluante de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses et un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller. Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente. Quand je suis arrivée à la maison, je suis rapidement entrée dans la salle de bains J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
J'ai repensé toute la nuit à la tendre caresse de Pierre sur mes seins, son regard éperdu au moment de l'orgasme, sa verge gonflée de sève qui enflait dans mon ventre, lovée autour de ma vulve, mon vagin qui la serrait convulsivement et la massait doucement. les râles de plaisir dont j'entends encore chaque nuit les échos