En m'endormant ce soir-là, était-ce un rêve, après ce moment de tendresse que je venais de vivre ? je sentis comme une présence derrière la porte de la chambre, quelqu'un s'approchait, à pas feutrés. Je cessais de bouger. Il faisait nuit dans la chambre. la porte s'ouvrit doucement. Sous la lumière naissante, une idée imprécise. J'étais dans une douce pénombre, la porte s'est ouverte ... discrètement ... un silence ...Je fermai les yeux, je sentis un parfum féminin, qui m'ennivra. Elle était là, tout près. J'avais l'impression qu'elle me regardait Je devinais son corps plus que je ne la voyais Mes yeux se firent prunelles Je sentis frémir sa peau Je la découvris enfin dans la pénombre, approchant sous une chemise de nuit légère et translucide. Le tissu flottait doucement sur la pointe de ses seins, Juste quelques dentelles qui caressaient sa poitrine sa respiration était rauque et son débit saccadé. Marthe était là, devant moi, terriblement troublante, me regardant fixement avec un air de tendresse. Je découvrais discrètement toute la sensualité de ses formes.
- Julien, tu es tout chaud ! et j'ai froid !
- Tu as été très tendre avec moi ! Tu me réchauffes bien ! J'ai envie d'être avec toi
Elle s'approcha dans l'ombre, très proche de moi Je n'endendis plus rien ... silence. J'entendis enfin un bruit feutré de tissu ... qui tombait sur le sol. Un bruit d'élastique ... un nouveau silence. Elle jouait de ma résistance. Ses seins apparaissent dans la pénombre. sa chemise glisse à terre, puis son soutien gorge. j'embrasse la chair tendre, elle se déshabille lentement. Je sentis le contact d'une main ... Je tressaillais. J'entendis alors une douce voix me murmurer à l'oreille
- Tu es bien avec moi ? Tu as envie de moi ?
- Marthe ! vous êtes si douce ! C'est si bon !
- j'ai besoin de toi, besoin de tes caresses, besoin de ta tendresse
- Je veux sentir la chaleur de ton corps contre moi
Je commençai à passer mes mains sur ce corps offert, tenant entre mes doigts les pointes de ses seins en saillie et elle appréciait en gémissant doucement, elle prit ma verge déjà dure et commença un doux massage de ses mains. C'était le paradis. Elle était là, blottie contre moi, m'embrassait tendrement dans le cou en me disant des mots doux. Je me soulevai sur un coude pour la regarder. Elle était allongée contre moi, les jambes écartées, sa robe de nuit relevée. Elle me regarda, puis ses lèvres prirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir prématurément. Elle s'écarta de moi
- Julien, Dis moi tout bas tes plus folles pensées ...
- Tu vas me laisser te faire plaisir
Mon drap s'est subitement écarté, poussé par des doigts graciles, je sentis des gestes lents, mon pyjama glissa furtivement vers le bas. Une douce chaleur humide et moite envahit mon bas ventre, sur le haut de mes jambes, tout juste une douce caresse indéfinissable qui effleurait ma peau. Un parfum capiteux flottait dans l’espace. Mon sexe me brûlait comme si j’allais me liberer tout seul. Je portais ma main plus bas. Mes doigts se glisserent dans une texture fine et soyeuse. C’était la longue chevelure de Marthe. Mes mains caressaient sa nuque, qui fléchissait en de longs mouvements réguliers , effleurant à peine les sillons de la peau si douce et tiède. Et maintenant, je caressais son épaule qui ondulait, La gaine humide, onctueuse qui enveloppait mon sexe, c’était elle, c'était sa bouche humide, sensuelle, charnelle ! Elle me prodiguait une sublime fellation. Les mouvements de sa tête furent d’une extrême lenteur, Sa langue douce lècha ensuite mon gland avec plus d’insistance. En mouvements circulaires, ses lèvres s’enroulerent autour de ma verge. Elle me suça plus profondément en accélérant la cadence. Je n'en pouvais plus
- Marthe ! Je ne vais pas pouvoir me retenir
Elle continua en me caressant le bras en signe d'encouragement à me laisser aller
- Marthe !
Je ne résistai plus. Mon sperme se répandit dans sa bouche. Elle me lécha alors avec le même soin qu’une chatte qui fait sa toilette, pour nettoyer mon gland de la dernière goutte.
Puis, Sans un mot, elle me poussa sur le lit ouvert et me couvrit de son corps. Je sentis alors ses jambes nues qui s'enroulerent autour de mes cuisses. Une peau douce qui caressait la mienne, elle s'allongea sur moi et je sentis mon sexe aspiré dans un écrin chaud.
- Oh Marthe ! Vous êtes si douce !
- Tu sens ? Ca glisse tout seul !
- Oh oui ! Je vous sens bien ! vous êtes si douce ! C'est si bon !
- Tu sens mes petites contractions intimes ?
- J'aime bien !
- Julien, tu me fais du bien, tu sais !
- Marthe ! Je crois que je vais venir ! Vous voulez que je me retire ?
- Non reste bien au fond ! J'ai besoin de te sentir ! Moi aussi ... J'ai fortement envie de toi !
- Marthe ! ... Je viens !
Je n'y tins plus. Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance.
- Oui Julien ! ... Oui ! ... Que c'est bon !
- Tu m'as fais du bien, tu sais ! Tu es un délicieux amant !
- Reste en moi ! Restons l'un dans l'autre, nos sexes emboités, délicieusement,
- Tu es mon bel amant ! Merci mon chéri Tu m'as donné du plaisir. Maintenant, il faut dormir !
Elle se redressa brusquement. J'eu à peine le temps de distinguer sa silhouette qui disparaissait dans l’embrasure de la porte.
- Marthe ! ... J'ai envie !
- Tu as envie de moi ?... mais je suis trop vieille pour toi !
- Marthe ... j'ai si envie !
- Viens ! .... Viens sur moi ! ... Et rentre doucement..
- Pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
- Oui ! Comme ça ! ... c'est bien !