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dimanche 24 novembre 2024 - 21h54rech / rep
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(taille reelle)
lui faire plaisir ()
J'etais au lit avec Marthe. Nous etions nus tous les deux, frottant nos corps l'un contre l'autre. J'avais toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir s'était enfin réalisé, après quelques courts moments d'apprehension. Je m’oubliai dans la tiédeur de la chair feminine et dans son odeur de sueur et d’excitation sexuelle. Je posai une main timide à l’intérieur de ses cuisses, là où la peau est soyeuse et moite. Puis j'approchai mon visage de ses belles poitrines opulentes et legerement pendantes. Un sein onctueux comme une boule de pâte à pain se pressait contre ma poitrine, et un téton bandé, rugueux, me titillait la peau. J'inspirai le souffle tiède qui me baignait le cou. Marthe remonta elle-même ma main vers son bas ventre. Elle écarta largement les cuisses pour inviter cette main encore hésitante à continuer son exploration. Ma main atteignit ses grandes lèvres, douces comme les cuisses, gonflées d’impatience et juteuses. Elles s’ouvraient et s’offraient. Ma main explorait, s’introduisait enfin entre les lèvres gluantes. Elle me fit tâter délicatement son clitoris excité, puis elle enfonca quelques doigts de cette main dans son vagin. Elle se fourrait elle-même deux de ses doigts. Elle se fit jouir avec ma main qui sent jaillir du corps feminin, parcouru de contractions spasmodiques, un puissant râle de plaisir, qui m'effraya tout d’abord un peu. J'étais submergé de plaisir car l’orgasme de Marthe m'avait également traversé. Et c’est avec amour qu’elle me branla lentement, et me fit jouir.

Marthe prit ma main et m'entraîna vers le lit. Elle serra son corps contre le mien, me fixa de nouveau dans les yeux,
- Maintenant, Julien, je veux te faire plaisir ! Laisse moi faire !
Marthe se laissa alors couler le long de mon corps, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses. Son souffle chaud se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea à poursuivre, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Mes spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle aspira, sur toute sa longueur. Elle suçait ma verge dure comme l'acier, la lissait avec une vigueur qui m'excitait au plus haut point. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de mon mat dressé dans sa bouche. Les tréssautements, les contractions de ma verge sous sa langue et entre ses doigts m'excitaient au plus haut point. Mon sexe était luisant de sa salive. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement, affolé de ce qu'elle était en train de provoquer
- Marthe ... je ... je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête de mes mains, dirigea son regard vers le mien.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait elle aussi se faire jouir. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Marthe ! Oh Marthe ... Je viens !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Marthe resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance. Elle pompait avec ardeur ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur. Les joues creusées pour tout aspirer, Marthe m'adressa un regard langoureux à moi, son jeune amant pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Je recherchai mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardai Marthe à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Elle faisait onduler lentement son bas-ventre contre le mien, Son excitation faillit plusieurs fois me faire jouir de nouveau. Elle recommença avec ses lèvres un va-et-vient ample, en grognant de plaisir. C'était de nouveau le paradis. Je sentis mon corps se tendre une nouvelle fois, ma respiration s'arrêter et, tout d'un coup, je n'y tins plus ! la délivrance. Le feu partit de mes bourses, se propagea le long de la hampe gonflée et éclata en trois giclées puissantes. Elle attendit la fin de mes soubresauts, et vint s'allonger près de moi et m'embrassa violemment.
Elle était là, contre moi, allongée, les jambes écartées, la combinaison retroussée. Ses lèvres reprirent possession des miennes et sa langue agile s'insinua dans ma bouche pour un baiser violent ponctué de soupirs de part et d'autre. Je me penchai vers sa poitrine et pris un téton entre mes lèvres. Puis, de la langue, j'entrepris un mouvement tournant, tout en aspirant. Elle se triturait l'autre sein et appuyait sur ma nuque pour que je ne lâche surtout pas. Je passai ainsi de l'un à l'autre pendant de longues minutes, sans qu'elle se lasse.
- Tu es adorable ! Mais maintenant, j'ai envie d'autre chose !
Elle me prit dans ses bras, m'embrassa. Je passai ma main sur son ventre et je m'aventurai jusqu'à sa touffe. Je sentis sous mes doigts un endroit chaud et moite. Je caressai ses poils en appuyant de plus en plus et l'humidité s'intensifia. Elle me murmura dans l'oreille :
- Viens, je veux maintenant te sentir dans mon ventre !
Elle écarta les cuisses et Je me couchai sur elle. Elle prit mon sexe, le pointa à l'entrée de sa vulve, Elle noua ses chevilles dans mes reins et propulsa mon sexe en elle Nous sommes restés un moment à savourer cet instant. Et je commençai des va-et-vient dans son antre brûlant, visqueux. Elle s'accrochait à mon cou, m'embrassait furieusement, sa langue était de feu. elle triturait un sein et m'agrippait par les hanches pour me maintenir en elle. Ses cuisses étaient brûlantes et detrempées. Je sentais la mouille qui s'écoulait contre mes bourses chaque fois que ma verge s'enfonçait. Je voulais atteindre le cœur de la fournaise. Je la sentis qui s'ouvrait et qui m'aspirait dans son puits sans fond.
- Viens, Vide-toi, n'aie pas peur, mon cheri ! je veux ton sperme, tout ton sperme !
Je me sentis devenir incandescent, j'accélérai la cadence et la force de mes poussées. Je me bloquais et je me vidais en elle dans une serie de spasmes genereux
Quand j'ouvris les yeux, je vis le visage défait de Malou qui me regardait. Nos yeux étaient embués, nos corps étaient collés par la transpiration, nous sommes restés longtemps accouplés, immobiles. La sensation du retrait de mon sexe me chagrina, je ne voulais pas la quitter. Elle me prit dans ses bras et me berça doucement.