Nos deux corps dénudés étaient désormais serrés l'un contre l'autre dans l'intimité de sa chambre conjugale. Julien avait relevé ma robe de nuit. Il bandait de manière indécente contre moi me faisant sentir la réalité de ses envies. J'étais sous l'emprise de son souffle chaud, complètement affolée par la situation dans laquelle nous venons de nous mettre.
- Julien ! Que fais-tu ? Que sommes nous en train de faire ?
Il posa ses levres sur les miennes, et je ne fis rien pour l'en empêcher. Sa main se glissa au bas de mon dos, il remonta encore le bord de ma nuisette, me serra contre lui. Je ne pouvais plus rien arrêter. Nos corps se rapprocherent et se déchainerent d'une intense passion. Nos corps se heurterent, nos bouches se chercherent, nos mains s'explorerent, il me murmura à l'oreille
- j'ai envie de toi !
- Julien ! tu me pousse à bout ! Il ne faut pas !
- J'ai si envie de toi !
- Ou alors ... si tu viens .... viens doucement ... Que nous en profitions !
Terriblement excitée à l'idée de partager avec ce bel adolescent les délices de la pénétration, je m'emparai de son sexe gonflé, j'en dirigeai le bout entre les grandes lèvres de ma vulve ruisselante et aspirai aussitot d'un coup en moi la verge bandée éprouvant une jubilation inédite en sentant ce sexe dur glisser dans mes chairs moites. Je sentis le gland gonflé repousser les chairs intimes de ma vulve.
- Julien ! Que faisons nous ! C'est si bon ! Mais ce n'est pas bien !
Planant sur un merveilleux nuage érotique, Julien, contre le corps sensuel de sa chaude compagne, fasciné par mes gros seins, tremblant doucement devant ses yeux se laissa alors emporter par sa fougue d'adolescent. Agitant vivement ses hanches, il fit coulisser son membre gonflé dans les moiteurs de mon sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir mes chairs brûlantes et humides envelopper sa verge dure et tendue. Sous les violents coups de boutoir qu'il me dispensait, et sous les chocs répétés du gland volumineux, je ne ne tardai pas à sentir la jouissance prendre à nouveau possession de mes entrailles irradiées. Serrant mes jambes sur les cuisses agitées de mon jeune amant, je l'emprisonnai entre mes lèvres trempées :
- Plus vite ! grognai-je… bien au fond !…
De ma vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappait, éclaboussant le bas-ventre et les bourses de l'adolescent, Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de son amante, Julien, s'activa de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monta, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Lea s'était mis à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. Kevin ne tarda pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Dés l'accélération imposée par l'adolescent, Lea avait compris que ce dernier atteignait le point de non retour, aussi l'enserra-t'elle encore plus fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé.
Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, et, dans un véritable feu d'artifice ... il déchargea sa semence ... à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Lea. Celle-ci se laissa emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs de l'adolescent. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la souleva, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés sous son jeune amant lui aussi totalement vidé et anéanti.
Haletants les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Puis la première à reprendre ses esprits, Lea fit basculer le corps devenu trop lourd de l'adolescent à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrasait. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit conjugal :
- Eh bien ! Qu'est-ce que tu m'as mis, s'exclama-t-elle en se penchant sur le jeune garçon pour l'embrasser tendrement… J'en ai de partout… C'était bon ? Interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé ?
- Oh Oui !
- Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir. Mais maintenant il faut t'en aller