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dimanche 24 novembre 2024 - 20h37rech / rep
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(taille reelle)
blottis dans le lit ()
Quand Julien est venu ce soir là me dire bonsoir dans ma chambre, j'ai bien vu dans son regard que quelque chose dans son attitude avait changé, qu'il me regardait avec une intensité que je ne lui connaissais pas. Lorsqu'il est venu se pencher vers moi je réalisais que je lui diffusais sans m'en rendre compte des effluves de mon parfum. Mes seins étaient à proximité immédiate de ses bras, de son visage, me provoquant immédiatement une salve de frissons. Il était vraiment très proche de moi, trop proche. Il sentait bien que j'étais chaude sous ma legere chemise de nuit. Cette proximité me donnait à moi aussi des envies de le sentir un peu plus contre ma peau.
Pris d'un acces de tendresse, j'ai alors soulevé mes draps. Qu'avais-je fait ? Julien était maintenant allongé contre moi dans l'intimité de mon lit. Il me confiait son plaisir d'être à mes cotes, et ses sentiments naissants. Et je le laissai faire, sachant tres bien ou celà risquait de nous conduire.
Julien est un beau jeune homme, bien bâti, comme toutes les femmes peuvent en rêver. Devais-je si vite lui succomber ? Je n'avais pas prévu d'abdiquer si vite. Et pourtant, je le laissais quand même m'embrasser, me caresser. Je sentis alors ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression, et je sentais son souffle chaud dans mon cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, il prit très doucement mes seins et se mit à les caresser lentement, les palper délicatement. Tout en continuant à me caresser, je sentais plus bas, la douceur de ses jambes. Petit à petit, il les glissait subrepticement entre les miennes. Ma peau etait chaude, un peu moite. Il me carressait avec tendresse, j'aimais sa douceur. Remontant ses mains sous ma fine chemise de nuit, il caressait maintenant mes flancs, mon ventre. Mes reins se creusaient, je fermais les yeux, ma bouche légèrement entre-ouverte, puis je l'ai senti passer son autre main plus bas. Je tentais timidement de l'en dissuader, serrant mes jambes sur sa main mais il se faisait de plus en plus pressant sur des endroits plus intimes. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais.
En fait, je désirais Jerome de plus en plus fort. je le désirais violemment. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce jeune mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais moi aussi. J'étais déjà à lui.

Je pris alors sa main, et la guidais vers des endroits plus intimes. Il reprit ses carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis. J'ecartai encore mes jambes, lui facilitant ses douces intrusions, Il enfonça un doigt, lentement, naturellement, glissant, tournoyant dans mes chairs et mon bassin, comme le reflet de ses carresses, s'agita. mes cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant, s'offrant sans detour à ses carresses, oubliant le lieu, la promiscuité, excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en moi
Des spasmes m'ont alors surpris, je jouissais dans ses bras. J'exprimai ma jouissance dans un râle long, m'agrippant à lui, serrant mes cuisses sur sa main, Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… J'étais en train d'abdiquer. Mais pourquoi se débattre ? Je m'abandonnais totalement à lui. Il me mordait doucement le cou. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Je sentais pointer entre mes jambes son sexe ce qui ne faisait que m'exciter davantage. J'agitais mon bassin, je glissais une main et testais son désir, je le pris en main, dur comme le bois, le caressais et le massais doucement. Je le jugeais terriblement prometteur. Il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir. J'en voulais plus ! Je ne voulais pas que ça s’arrête. D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard pour lui avouer mon impatience:
- Julien, je suis prête ! Viens !
Je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Puissamment, il glissait dans mes entrailles. Je l’aspirais de mes muscles, le pressais, Il ressortait, poussait encore plus profondément. Je pouvais l’entendre gémir et cela ne faisait que m’exciter davantage. Il s'enfonça encore plus loin dans mon puit chaud et humide. Je l'aidais dans ses va et viens. La chambre baignait dans une douce penombre, nos corps se frottaient au ralenti, il me caressait, m'embrassait, je me laissais emporter. Je fermais les yeux, je m'offrais à ses caresses intimes, son souffle sur mon cou, nos corps se frottaient l'un dans l'autre. il n'y avait plus dans la pièce que nos deux corps, et de brefs murmures. J'étais en train d'accepter tout de lui. Il m'affolait litteralement. Nos corps se déchainaient d'une intense passion, nos bouches se cherchaient, nos mains s'exploraient, nous avions besoin l'un de l'autre, de nous boire, de nous frotter, de nous assouvir l'un dans l'autre. Je me suis séparé de lui un moment, tentant de reprendre mes esprits. Je réalisais alors mon attirance violente pour ce beau corps d'homme vigoureux qui m'attirait beaucoup plus que je ne le pensais. Jerome glissait merveilleusement dans ma chair et finit par declencher dans mon corps une serie de spasmes de jouissance. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra, puis s'activa dans mon ventre de plus en plus vite.
Je sentis à un moment qu’il était sur le point de non retour. Il accelera, son sexe se mit à raidir, se contracter. Je le sentis trembler, puis s'enfoncer d'un coup, il s’arrêta, se crispa, poussa alors un cri rauque et long. Son premier jet vint frapper le fond de mon vagin, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes semblaient ne plus vouloir le soutenir. Il déchargeait en moi en salves successives. À chaque secousse je sentais ses jets de foutre tapisser mes muqueuses. Il me remplissait le vagin, c’était chaud. Il ressortait, entrait de nouveau, s’arrêtait, envoya une dernière giclée, se vida, puis s’enfourna jusqu’au fond, ne bougeant plus. Il restait là, affaissé contre moi, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je sentis sa verge rétrécir, libérant le foutre qui coulait entre mes cuisses. Ma culotte était trempée, collante, il en coulait toujours, Une fois les spasmes apaisés, je le laissais glisser complètement hors de moi, dans un délicieux bruit de succion, liberant un flot de semence chaude. Il s'affaissa sur moi, épuisé. J’étais aussi épuisée que lui.
Nous restames un moment à nous regarder en souriant puis, reprenant de la vigueur, Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, à la limite de l'indecence, puis nous avons accéléré la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser.