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dimanche 24 novembre 2024 - 21h02rech / rep
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Mme Granger, seule dans sa chambre, attendait un mari, au premier étage. La fête continuait à s'animer au rez-de -chaussé, Julien était lui aussi seul au premier étage, elle entendit sa voix, ouvrit la porte en grand et l'appela. Julien tourna doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue qui se tenait appuyée contre le chambranle de la porte, hypnotisé, il commença à s'avancer vers Mme Granger qui s'approcha de lui, Elle lui remonta maternellement ses habits, puis elle prit délicatement la main du jeune homme qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de Julien pour lui sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir,
- Viens ! Je t'emmène dans ma chambre !
Elle attira le jeune homme dans sa chambre et referma la porte derrière eux. Elle le plaça doucement contre le mur et se colla langoureusement à lui, caressant son visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de la peau du jeune garçon pour s'imprégner de son odeur, pour s'exciter encore davantage, elle lui caressa le torse, le ventre, puis desserra sa ceinture. Elle glissa une main dans le pantalon et pris dans sa main le membre turgescent du jeune homme et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine sur le sexe endolori lui apportait calme et réconfort. Inconsciemment, son visage rechercha le contact de la peau de Mme Granger qu'il n'avait jamais songé qu'il pourrait un jour toucher. Il cherchait à remplir ses poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Il posa ses mains sur les épaules dénudées et articula un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans la tête de Julien. Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire. Puis sa main se posa et caressa sa joue. Son pouce se mis à glisser delicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvir les lèvres et de pénétrer dans la bouche. Mais au moment où Julien succombait, elle se plaqua d'avantage contre lui et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les lèvres du jeune homme, c'est sa langue qui s'introduisit dans sa bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. leurs lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, leurs langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois. Leur souffle, leur haleine, leur salive ne faisaient plus qu'un, Elle était au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement Elle en profita pour se frotter contre la protubérance masculine Instintivement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse appaisante Ils étaient à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie,

Mme Granger dégagea ses lèvres de la bouche de Julien, planta ses yeux dans ceux du jeune homme. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle lui murmura :
- Je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie mon amour.
Sans attendre elle entraina Julien vers le lit lui demandant de s'allonger Elle se laissa couler le long du corps de Julien, le caressant de toute la dentelle de sa combinaison. La douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque.
Déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis l'embrassa délicatement. Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est le sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Les caresses de sa sublime maîtresse, l'avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement Il attrapa la tête de sa suçeuse pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
- Madame Granger ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme qui s'annonçait proche
- Madame Granger !
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Mme Granger resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant,
alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux. Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Solange à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.

Julien prit Madame Granger par les épaules pour la relever, Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses dix-huit ans et de toute la passion qu'avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Leurs lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, leurs langues ne se repoussaient plus mais s'enlassaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps. Ce baiser les calmait aprés cet orgasme violent qu'ils avaient connu. Il leur permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigourait
et ils étaient préts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre.

Ce baiser déclenchait en chacun l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, Julien fit pivoter Madame Granger pour la plaquer contre le mur. Il s'écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. Leurs bouches ne s'étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres
qui se séparent pour s'unir à nouveau. Leurs regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre.
La cuisse de Julien comprima davantage la vulve de Solange, écrasant son clitoris tendu. La main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre les deux masses charnues. ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés. Elle avait fait pénétrer dans sa chambre un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est Julien qui rompit leur baiser, mais ayant peur de regarder Solange dans les yeux, il posa fébrilement la joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :
- Madame Granger, je...je voudrais faire l'amour...
Solange s'aggripa encore plus fortement à Julien. Elle l'aimait. Décidément cet enfant était un ange de douceur.
- Oui, Julien, je veux que tu me fasses l'amour. Là tout de suite, debout contre le mur.
- J'ai envie de toi, j'ai envie de ton sexe dans mon ventre ...
- J'ai envie de toi en moi au plus profond... que tu me baises, que tu me fasses jouir...
- Viens mon amour, mon ange, viens fais moi l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour exciter Julien, mais aussi pour le rassurer et le mettre en confiance. elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec lui, être possédée par lui. Debout Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour Jean, il n'avait qu'à pas être en retard. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites. Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches

elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, emmerveillé par la beauté du corps de sa initiatrice. Solange se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l'entrée de sa chatte. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Julien n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, brusquement, Madame Granger plaqua fermement son amant contre elle. S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y !
Ce fut comme un coup de fouet pour Julien et il propulsa brutalement son bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de sa maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Solange, lui coupant le souffle.
Elle s'aggripa plus étroitement à son puissant amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola :
- Vas-y, bouge et ne t'arrête pas !
Madame Granger murmurait ses encouragements à l'oreille de son amant en lui caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. La pénétration brusque de Julien l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par un pieu de chair. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant et lui souffla à nouveau :
- Viens, Julien, baise moi.
Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule Solange se crispa :
- Non reste !
Et Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Madame Granger qui eut un nouveau soupir de plaisir. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse.
Julien voulait donner à Solange tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Solange qui maintenant ronronnait comme une chatte.

Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaent Solange. Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante.
Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Solange
pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire
et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse.
Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Solange, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon. Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Solange roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean.
Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Solange mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm. Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir.

Solange voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Solange y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger.

Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond.
Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts. Solange n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour.
Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu.

Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre.
Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Solange gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.

Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Solange, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride. Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde !

A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau. Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Solange mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Solange revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle.
Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse, faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Solange...
Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon. Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse. Solange replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui. Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité.

Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie.
Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.