Je regardai Tante Jeanne qui, nue et sans la moindre gêne, me laissa contempler sa belle poitrine encore ferme, seins hauts, bien dardés, un ventre plat et blanc terminé par une merveilleuse toison brune fournie ! Elle essaya de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre elle, sa main dans mes cheveux, son haleine toute proche, la chaleur de son corps nu si près qu’elle finissait par me troubler… Elle réfléchissait, silencieuse, l’une de ses mains caressant délicieusement ma cuisse… elle m’embrassa sur les lèvres et me retint serré contre elle. Elle me passa ses bras autour du cou et m’embrassa fougueusement au coin de la bouche en murmurant : « Depuis le temps que j’en avais envie ! »
Je sombrai.
Nous gagnâmes le salon « Allez, trinquons à notre ménage, mon Chéri et vivons heureux et cachés, bien cachés ! ». Je heurtai ma flûte de champagne à la leur et pris une gorgée fraîche et pétillante qui me fit du bien… Elle m’embrassa sur la bouche… Je pris sa taille et après tout, décidai de me laisser aller aux plaisirs troubles, mais révélateurs d’une libido qui ne demandait qu’à être libérée… Je me mis à lutiner ma Tante Jeanne qui se laissa faire, visiblement contente d’avoir allumé des feux. Notre immoralité se scellait. Le péché, l’envie, le désir, la recherche de l’inavouable, voilà à présent ce qui nous guidait.
Nous gagnâmes la chambre et je demandai à Tante Jeanne de ne point quitter ses bas et porte-jarretelles, car cela m’excitait et je voulais entendre les bruissements légers de la soie en nos accords charnels. Elle ne sut point me refuser un tel plaisir ; elle revint du cabinet de toilette fraîche, parfumée, épanouie, souriante et plus séduisante que jamais ; Elle me voyait ainsi comblé.
elle m’excitait, quel partage, quel échange allions-nous avoir en cette chambre close et feutrée où, en sourdine, jouait Mozart !… J’avais déjà pu contempler à maintes reprises les jolies jambes de Tante Jeanne parfois en jupes courtes — mais là, j’étais réellement gâté et je m’abandonnai à ma lubricité de mâle à l’affût, contemplatif, lascif, ne la quittant plus des yeux. Excité à l'extrême, J’allais décharger… je m’approchai d'elle, disposant ma verge, coincée dans le fossé ombreux de ses jolies fesses, mes couilles bien au chaud sur leurs rondeurs abricotières… Comme elles étaient chaudes et douces ses fesses ! Je succombai. Je me mis à bander sur elle, quiconque nous eût vus, n’eût décidément plus eu aucune illusion ou doute sur la nature de nos relations ! Je fis aller et venir ma queue, L’arc bandé de ma chair frottait délicatement ses soies, ce qui avait pour effet d’activer ma raideur, ma queue dressée comme un phare sur l’océan de chair blanche des magnifiques fesses… Les bas crissaient en douceur, faisant une petite musique érotique.
Quelle délicieuse bandaison je faisais là, n’attendant que mon bon plaisir… m'enfoncer en elle d’elle … Une délicieuse chaleur couvrit mon prépuce, gagna le long de ma verge, se répandit sur mes couilles que l'on pelotait toujours ; je poussai et entrai majestueusement dans le beau ventre ouvert de Tante Jeanne, celle-ci émit une petite plainte étouffée, je forniquai bellement, avec douceur, prenant mon temps, goûtant pleinement à ce plaisir imprévu qui m’échoyait… sans doute stimulée, elle ouvrit un peu plus les cuisses, se donnant totalement.
Je déchargeai abondamment dans la divine fosse, planté dans son humidité … Je fis aller et venir encore un peu ma verge et quittai la si accueillante chatte…
Tante Jeanne avait quelques cinquante-cinq ans, bien conservée, toujours impeccablement habillée, soignée de la tête aux pieds… elle faisait bien cinq ans de moins, distinguée, allure noble, port haut, imposant.

Jeanne reprit une position normale dans le lit et me dit d’un air malicieux : « Alors, mon chéri, comment avez-vous trouvé ma petite minoune ? je répondis par un baiser sur ses lèvres chaudes, la serrant contre moi et dis : « Délicieuse, absolument délicieuse, ma Chère Tante». Elle me serra contre elle, je rebandais, elle se saisit de ma queue encore humide de foutre et la fella lentement, se gorgeant de mon foutre, la branla, la fit danser entre ses doigts, ardente, sensuelle à souhait en faisant tinter joyeusement la gourmette à son poignet dans la branle soutenue qu’elle imprimait à ma queue !
et elle rit, d’un rire de gorge qui fit tressauter ses gros seins… J’avais encore envie de la baiser alors qu'elle s’employait à me branler, à visiter intimement mes arrières, palpant mes couilles, les gardant en leur paume (ô combien chaude !), m’embrassant sur la bouche, et tout ceci se terminait par des bruits mouillés, gloutons qui n’eurent de cesse de me faire à nouveau bander entre ses mains…
Je suçai les seins de Tante Jeanne, tétant goulument à ces petits frangins dressés, aréoles dilatées, je les gobais de toute ma bouche affamée… Jeanne jouissait, elle devait être très sensible et jouir par les seins,
J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Elle se mit sur moi, à califourchon et ne tarda pas à se mettre en chatte une queue qui, bientôt la prit à fond en des trots saccadés… Elle me masturbait, ne me quittant pas des yeux et disant des : « Oh, mon Chéri, ouuiiii, c’est bon, vas-yyyyy, tu me rends folle… . ». De fait, je déchargeai assez rapidement dans le ventre de Tante Jeanne qui criait, haletait, caressant d’une main ses seins tout agités … Je finis ma semence à petits flots, enfilant à fond mon amante, mes mains sur ses fesses pour mieux la retenir collée contre moi… Jeanne jouissait comme une hystérique, griffant les draps d’une main, continuant à titiller son clitoris, à le pincer, à s’enfoncer deux ou trois doigts, telle une furie, les yeux au ciel, le regard perdu, mourant…
Qu’il était bon de contempler cette femme mûre, belle à souhait, là, au creux de notre lit se donnant du plaisir sans retenue, sous mes yeux, dépourvue de pudeur… Comme il était bon d’être à présent réunis, soudés, Cette pensée m’excita et je me mis à rebander dans le sexe de Tante Jeanne qui recommença à se démener sur ma queue ; je forniquai à nouveau en sa profonde chatte, tandis qu'elle s’excitait sur moi, dansait, se frottait contre moi, me tenait par les hanches, son visage dans mon cou, pendant que je la baisais, elle murmura en haletant : « plus vite, mon chéri, mets-la à fond, ouiiiii, ouiiiii, je suis folle de ta baise, mon Amour… ». Je déchargeai en Jeanne qui releva les jambes… Nous étions soudés, fous de sexe. Je sentis la cyprine de Jeanne couler doucement, mes bourses imprégnées de ce beau jus intime que cette divine femme, pressée là sur mes fesses, me faisait partager…
Tante Jeanne se dégagea et se pencha sur mon sexe pour en lecher la sève qu’elle avait déposée, elle me fit ainsi une toilette des plus approfondie, sa langue insistant, pointue, dansante, chercheuse… comme elle léchait bien, la belle mature !! Tante Jeanne délaissa ma verge et, haletante, ébouriffée, rouge, encore toute excitée, vint s’étendre à côté de moi, seins dressés aux belles aréoles rose-brun.
Mon phallus reprenait peu à peu de sa vigueur se tendant vers le fossé si doux et chaud… Tante Jeanne me dit à sa fille : « Tu bandec encore mon chéri, je te sens tout contre mes cuisses» ajouta-t-elle en tournant légèrement la tête vers moi par-dessus son épaule dénudée « Tu es à point, mon Chéri, puis-je te recevoir ? » avec un accent très XVIème des plus séduisant et convaincant…
De fait, je bandais de plus en plus, les rondes fesses m’excitant au plus haut point… et je commençai à jouir en Jeanne… un petit flot bouillant projeté profondément dans le ventre … je ressortis de suite… poussai de nouveau … déchargeai… un autre beau flot brûlant, puis je revins à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu de ma Tante, descendait doucement vers les poils fournis de sa chatte, longeait les lèvres gonflées par le plaisir, se perdait ensuite dans mes poils et à la racine de ma queue, toujours fichée en elle … le foutre ne s’arrêtait plus… lave gluante débordant du volcan anusien de Jeanne… sa vulve expulsa une petite giclée blanche, molle, un peu translucide, gélatineuse qui gagna sa chatte pour s’écouler sur le drap en petites gouttes étirées et flasques…
Tante Jeanne, encore excitée — était-ce l’odeur de nos sexes, de nos suints intimes et celle de leur cyprine ? — je ne sais, mais elle semblait soudain folle de luxure… elle se mit à licher comme une démente, ma semence qui s’échappait ; elle lécha, écartant bien les fesses, les claquant par intervalle, poussant sa langue pointue, comme une petite bouche pincée…
Nous prîmes un petit encas, bûmes un peu de champagne et nous nous couchâmes, tous deux enlacés pour tenter de trouver un sommeil réparateur… Il était deux heures du matin. Apaisés, épuisés, les yeux cernés, nous nous endormîmes, abandonnés et sereins. Le lendemain, nous devions partir en voiture pour le Vercors où nous attendait notre vieil Ami le Berger, nous ayant proposé de nous recevoir pour une semaine sur ses hauteurs, près de ses pâturages, en sa cabane confortable et isolée