Je m’appelle Julie, je suis une belle femme qui aime se faire plaisir, surtout avec des jeunes hommes, il faut que j’en profite encore tant que les hommes me trouvent encore à leur goût. Je suis en vacances chez un couple d’amis avec qui nous sommes devenus très proche. Claude, leur fils va fêter ses 17 ans demain, on dirait que je lui fais de l’effet car il ne me quitte pas des yeux. Il vient me demander s’il peut me tenir compagnie.
J’accepte, il s’assied à coté de moi la tête en arrière, nos jambes se touchent, je souris intérieurement mais le laisse faire, jusqu'à ce que je sente sa main sur ma cuisse. Il doit croire que je me suis assoupie. Sa main remonte lentement à la fourche de mes cuisses. J'ouvre alors les yeux. Quand il me voit le fixer, il prend peur, complètement affolé et s’enfuit, regagnant sa chambre. Sa mère, a suivit son manège, elle vient vers moi et me parle de son fils.
- Claude est d’une timidité maladive, il n’a aucune relation avec les filles car dès qu’elles commencent à le remarquer, il perd tous ses moyens et laisse tomber. Il est pourtant bien fichu et en rendrait plus d’une heureuse.
Soudain elle me fait une proposition que rarement une mère demande à sa meilleure amie.
-- Je sais que ce que je vais te demander va te paraître incongru, mais accepterais-tu de le déniaiser un peu pour lui donner un peu de confiance en lui ? Ce sera son cadeau d’anniversaire.
Je suis si surprise par sa demande et mets plusieurs minutes avant de lui répondre. Après tout, pourquoi pas,
- Tu peux aller le voir, il doit être dans sa chambre, passe par le jardin, par la porte de derrière.
Je m’approche de la fenêtre de la chambre de Claude et regarde à travers la fenêtre. Claude est allongé sur son lit, complètement nu.
C’est un jeune ado bien charpenté, aux muscles saillants. Il a la tête tournée vers la télé, ses yeux sont rivés sur l’écran, mes yeux sont vite attirés vers son entre-jambe. Il bande ! à la limite de l'indecence. J’ai comme un choc. Ma respiration s’accélère, mon cœur s’affole. J’ai déjà vu bien des choses mais là je contemple avec stupéfaction une jeune verge énorme, je n’ai jamais imaginé être confrontée un jour à un tel organe. Mes mains deviennent moites, mon ventre me brûle, ma gorge est sèche. Je regarde autour de moi instinctivement, comme pour m’assurer que personne ne m’observe voulant garder pour moi seule le secret de cette extraordinaire vision. J’entre dans la maison comme attirée par une force irrésistible.
J’avance sans bruit vers la porte de sa chambre. Claude n’a rien vu et continue, tranquillement à se branler en regardant un film. Je vois sa main monter et descendre lentement tout au long de cette hampe sans fin. Je marche vers lui comme un automate. Claude sursaute, il vient de me voir et, le regard épouvanté, il essaye, pudiquement, de rabattre le drap sur son ventre pour cacher à ma vue son obélisque dressé. Je vais vers lui, et pose rapidement ma main sur la sienne pour arrêter son geste.
- Non, je murmure, n’aie-pas peur. Je ne te veux pas de mal, murmurai-je
Claude me dévisage, effrayé, ne sachant plus quoi faire.
Je caresse sa main et ajoute, le regard braqué, admirative, sur ce poteau qui n’a pas désarmé :
- Que c’est beau ! Tu as une belle vigueur
Les yeux de Claude font le tour de la pièce, comme pour se rassurer qu’on soit bien seuls. Puis il comprend peu à peu ce qui est en train de lui arriver et effleure mes cheveux de ses doigts. Il cherche mon regard, il est toujours crispé mais me sourit timidement. Je ne peux plus me retenir. Avant même qu’il ait eu le temps de comprendre, je prend ce pic de granit et l’emprisonne comme je peux entre mes doigts pendant que l’index de mon autre main agace la tête ronde, gonflée et luisante comme un chapeau de champignon. Mais le soc massif, raide comme un bout de bois, tendu à éclater, ne peut ni grossir ni s’allonger davantage. Pour faire honneur à mes caresses, impuissant à augmenter son volume, il se met à battre un peu plus fort, et ses grosses veines noueuses enflent peut-être encore. Un émoi étrange m’étreint. Tout en caressant ses bourses velues, j’approche ma bouche et pose délicatement mes lèvres sur le gland à vif, ma langue le lèche à petits coups, lui arrachant des gémissements. Un peu étonné et peureux mais heureux du tour que prend la situation, Claude glisse un regard vers mes lèvres lisses aux bords ourlés qui ont happé avec difficulté son manche avec la voracité de piranhas pendant que ma main moule la racine touffue. Omniprésente et subtile, ma langue glisse sur le pourtour de la tige, s’enroulant au gland comme un serpent sur sa proie. Claude n’en peut plus. Ma bouche brûlante et humide s’est refermée autour de son gland, il se laisse aller en arrière, secoué par des frissons étranges, dans un râle sourd de gorge. Puis il se met à haleter sous l’attaque dédoublée de ma langue savante et de mes doigts experts qui le massent, l’agressent, obstinés à étouffer un pénis cambré qui ne demande qu’à respirer. Ouvrant en grand la bouche, j’enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer ma langue sur le méat entrouvert qui laisse suinter déjà un peu de pré-sperme.
Excitée par l’odeur qui se dégage de l’énorme pénis, je suce le membre avec application, me doutant qu’il ne pourra pas tenir longtemps avant de décharger tout son foutre. Il ne peut articuler le moindre son, mais conscient de son imminente jouissance, il arrache ma bouche-four de son gland en tirant fort sur mes cheveux. J’halète, les yeux révulsés, mes deux mains serrant le formidable engin de plus belle, seins tendus et la chatte en feu.
Je n’en peux plus. Comme une folle, je grimpe sur le lit, chevauche le ventre de Claude et écarte mes genoux au maximum. S’emparant de la hampe en son milieu, j’en promène trois ou quatre fois la tête lisse sur mes lèvres trempées. J’ai un instant de doute, je n’ai jamais fais l’amour avec un partenaire si jeune, et le contraste entre ce corps qui n’a pas encore quitté complètement l’enfance et ce sexe incroyable est tellement bizarre. Mais au diable les remords. A califourchon sur la pine énorme de Claude, je repousse mon maillot puis écartant le plus largement possible les replis de ma vulve, j’essaie d’introduire le membre que je crois trop imposant pour mon vagin, je m’empale en poussant un cri de démente. Perdant toute raison, je m’assieds le plus loin possible sur la formidable trique, m’empalant sur sa verge qui petit à petit s’enfourne dans mes entrailles.
Claude entre ses fesses dans le matelas et rebondit comme un diable en poussant un cri de fauve en tirant comme un forcené sur mon corps. Je reste un instant sans bouger, persuadée que la lance m’a transpercée de part en part, j’ai l’impression que mon vagin a éclaté comme du caoutchouc sec sous la poussée sauvage de cette colonne de béton armé. Je pousse un hurlement de douleur. J’ai perdu la raison, car inexorablement je laisse le jonc vigoureux dévaster mes muqueuses, je n’essaie même plus de me retirer, trop excitée par ce que je suis en train de vivre.
Son premier jet gicle comme une fusée qui viendrait se ficher dans mon cœur. Ma jouissance est telle que j’ai la sensation que des tenailles chauffées à blanc m’arrachent les entrailles. Je m’affale dans un cri inhumain, empalée jusqu’à la garde sur ce gros dard dont un bon bout reste visible et qui envoie son venin au fond de ma matrice par saccades successives. J’hurle d'un plaisir hystérique de mon corps, la jouissance me convulse, je jouis sans discontinuer jusqu’à l’évanouissement qui me laisse pantelante contre le corps de ce mâle hors-du-commun. Claude s’est tari, j’ai réussi à m’extraire de sa verge mais il est toujours raide. Alors, quitte à m’ouvrir en deux, j’entreprends, à une allure folle, d’astiquer de nouveau, par grands coups désordonnés, cette hampe impériale.
Mais il faut que je pense à continuer son éducation. Je me retire avec regret du sexe de ce faune Ma main a glissée sur son corps et s’est emparée de son engin toujours vaillant. Mes doigts se saisissent d’un pieu de bois dur et chaud qui sous ma caresse grossit encore. Je veux lui rendre ses caresses et ma bouche reprend de nouveau possession de cette matraque merveilleuse. Je mets toute ma science dans cette fellation incroyable ou je ne peux absorber que son gland énorme. Je compense ma frustration par des caresses de ma langue tout au long de sa hampe et en gobant ses œufs pleins de sa semence. Il halète et tout son corps se raidit. Son gros dard gonfle sous mes lèvres habiles qui le pompent avec avidité. Un gémissement rauque sort de sa bouche quand il lâche des jets copieux jusqu’au fond de ma gorge. Je presse ses couilles avec mes doigts pour en extraire jusqu’à la dernière goutte, le sperme continue à gicler par saccades. Puis, Sa verge perd de la superbe mais même comme ça, ce que je vois ferait pâlir de jalousie la plupart des hommes. Je le félicite de ses performances et lui fait une proposition :
- Tu sais que tu es monté comme un cheval ? Je t’ai fait découvrir ce qu’était le corps d’une femme mais la leçon n’est pas finie. Si tu es d’accord, je reviendrai ce soir te faire découvrir un autre plaisir que peuvent connaître aussi-bien les hommes que les femmes.