Ils sont nus tous les deux. Il a toujours rêvé de coucher avec elle, et ce désir se réalise enfin, après un court moment d'aprehension. Il s’oublie dans la tiédeur de la chair feminine et dans son odeur de sueur et d’excitation sexuelle. Il pose une main timide à l’intérieur des cuisses, là où la peau est soyeuse et moite. Puis il approche son visage des belles poitrines opulentes et legerement pendantes. Un sein onctueux comme une boule de pâte à pain se presse contre la poitrine de Julien, et un téton bandé, rugueux, lui titille la peau. Il inspire le souffle tiède qui lui baigne le cou. Marthe remonte elle-même la main vers son bas ventre. Elle écarte largement les cuisses pour inviter cette main encore hésitante à continuer l’exploration. La main atteint la fente du sexe ouvert dont les grandes lèvres sont douces comme les cuisses, gonflées d’impatience et juteuses. Elles s’ouvrent et s’offrent. La main explore, elle s’introduit enfin entre les lèvres gluantes. La mère lui fait tâter délicatement le clitoris excité, puis elle enfonce quelques doigts de cette main dans son vagin. Elle se fourre elle-même deux de ses doigts. Elle se fait jouir avec la main de Julien qui sent jaillir du corps feminin, parcouru de contractions spasmodiques, un puissant râle de plaisir, qui l’effraie tout d’abord un peu. Il est submergé de plaisir car l’orgasme de Marthe l’a également traversé. Il est ému jusqu’aux larmes.
Et c’est avec amour qu’elle branle Julien, lentement, et le fait jouir.