arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
jeudi 28 novembre 2024 - 12h45rech / rep
---jn-17-levrdebsein

---jn-17-levrdebsein
(taille reelle)
la nuit avec lui avait été douce et tendre ()
J'etais encore nue devant ma glace, la nuit avec lui avait été douce et tendre, j'avais encore dans mon corps le tendre souvenir de ses étreintes amoureuses. Il est venu derrière moi, s'est pressé contre moi ... je l'ai alors senti entre mes jambes, dur comme le bois. Il a saisi mes seins au creux de ses deux mains, les a caressés toujours avec douceur, puis il a soulevé ma chemise le long de mes hanches. Tout naturellement, j'écartais les cuisses, et je décidais alors de m'offrir à lui, toute grande. Je l’ai alors senti ... impression delicieuse ... s’introduire en moi. Une douceur infinie ! J’étais bien, un sentiment de plénitude m’a envahie, je sentais son corp puissant sur mes hanches. J’étais trempée, les jambes écartées, le ventre rempli de mon homme qui allait jouir en moi. je le sentais s'enfoncer, doucement, glissant entre mes levres trempées, Il est resté un moment sans bouger, me remplissant de son membre. je le sentis glisser à nouveau a l’intérieur de moi, sensation voluptueuse. ressortant complètement pour mieux me pénétrer par des poussées puissantes. lentement, le plaisir est monté sous ma peau, m’envahissant, me faisant frissonner, me fragilisant sur mes jambes Je sentais son sexe durcir, gonfler, frotter à l’intérieur de moi
et je me suis mise à gémir. Mes jambes tremblaient, j’étais au bord de l’explosion Je l’ai senti gonfler encore et puis ... Le plaisir est arrivé, fort, puissant, je n’ai pas pu me retenir de crier et mon corps s’est mis à trembler. Il s'est alors enfonçé bien au fond de moi, il s’est arrêté de bouger ... poussant un long râle ... et j’ai senti un envahissement chaud, je l'ai senti se lacher et se répandre dans mon ventre par de longs jets de liquide chaud. J’ai été prise de tremblements de tout mon corps et j’ai hurlé mon plaisir sans retenue. Rarement un orgasme aura été si puissant, comme un ouragan qui emporte tout sur son passage. Je ne savais plus où j’étais, j’étais prise comme dans un étau par mon homme enfoncé au plus profond de moi, Je tremblais de partout avant de me relacher totalement et m'affaisser sur lui. ses mains puissantes sur mes hanches. J’ai senti les derniers soubresauts de son sexe qui finissait de se répandre en moi. Puis il s’est collé à moi et a commencé à m’embrasser doucement dans le cou,

Nous sommes restés immobiles de longues minutes. Son membre palpitait encore dans mon ventre déclenchant en moi un nouvel spasme Il s'enfonca un peu plus, s'extraya, puis revint. Je fermais les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements devenaient plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion. Son sexe plongeait en moi et gonflait en meme temps, occupant mon espace tout entier.
- Tu es bien ? me souffla-t'il à l'oreille.
- Oh oui... C'est bon...
Il s'agrippa alors à mes épaules et repris ses longues penetrations. Je bougeais mon bassin pour accroître les sensations. Il me regarda. Nos regards se souderent l'un à l'autre. un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermais les yeux un instant. La transpiration perlait entre mes seins, nous poursuivions notre course. Je lui donnais du plaisir, il me le rendait au centuple. La pensée de son enorme sexe dans le mien me fit perdre toute retenue.
- tu es prête ?
- Oui, maintenant ! lui dis-je.
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait. Je me cabrais, Il poursuivit sa chevauchée. Je jouissais encore et il continuait. Puis il s'arrêta net et crispa son regard. Il se mit à jouir lui aussiJe sentis un flot de me remplir, inondée d'une douce chaleur, gémissant de bonheur. il m'inonda d'une douce chaleur liquide. Enfin Il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conservais dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondaient mes paupières.
Il s’est retiré doucement, il m’a prise dans ses bras et nous nous sommes embrassés passionnément.