Je voulais être belle pour lui, pour cette premiere nuit d'amour entre nous deux, lui apparaître toute en séduction, mes cheveux en un chignon savamment arrangé. Une belle chemise de nuit, elle aussi de soie blanche ajourée de dentelles, prête à être dévorée par mon homme vigoureux et affamé. J'ai libéré ma chevelure, je l'ai étalé sur ma nuque et mes épaules, les joues de Louis se sont empourprées. J'ai glissé ma main à la base de sa nuque, il s’est laissé faire. J'ai alors, dans mon cou, ressenti sa bouche humide et chaude se poser et descendre, d'abord sur mon épaule, puis, plus bas ...
Avec une douceur presque féminine, il a écarté les bretelles de ma chemise de nuit, glissant de temps à autre une main chaude sur mon ventre. En totale confiance, je redécouvrais ces plaisirs sourds qui font qu’une femme se donne lentement. Je dénouai alors ma robe de soie, que je retirai lentement, comme pour me faire désirer un peu plus. Il ne perdit pas connaissance, mais il n'en était pas loin. Je posai une main sur sa verge gonflée pour l'évaluer avec émotion.
- J'ai envie que tu me fasses l'amour ! Nous allons nous faire du bien tous les deux !
Je l'ai regardé intensément dans les yeux ... puis j'ai soulevé le drap, et il s'est glissé sur moi, au contact direct de la chaleur de mon corps. Il semblait heureux, épanoui, comblé. Je lui ai souri tendrement. Je lui ai caressé, le torse, le ventre, puis j'ai pris doucement sa verge, déjà bien bandée, en pratiquant sur elle un tendre et doux massage qui eut pour effet de la raffermir de plus en plus.
- Tu aimes ? Tu sais ... je suis toute humide !
Je continuais à masser doucement son sexe qui continuait à grossir et s'allonger dans ma main. Puis, je me suis tourné vers lui,
- Lucas ! ... Je suis prête ! ... Et je crois que toi aussi ! J'ai envie maintenant de te sentir en moi !
Allongée sur le dos, nue, les jambes légèrement écartées, je lui ai souri, Puis, le fixant, je l'ai guidé vers moi. Alors sans attendre plus longtemps, j'ai senti sa verge s'enfoncer progressivement et naturellement dans les onctuosités de mon ventre chaud. C'était si bon.
- Entre doucement ... pas trop vite, que nous puissions jouir ensemble...
Il s'est enfoncé dans mes entrailles, sensation d'une douceur infinie, que je n'avais pas vécue depuis bien longtemps. Mon corps tout entier s'est donné peu à peu à lui. Il semblait bien. Il me pénétrait tendrement, avec délicatesse. Son souffle était lent. Il resta un moment en moi sans bouger. Je passai ma main dans ses cheveux, carressai son visage,
- Lucas, tu me fais du bien, tu sais ! Et toi, tu es bien ?
- Je t'offre mon corps, et tu m'offres le tien ! Je suis une femme comblée
J'avançai mon bassin et relevai mes jambes en les écartant le plus possible, pour mieux m'offrir à lui et lui faciliter une pénétration plus profonde. Il entama alors naturellement un tendre mouvement de va-et-vient, coulissant dans mes entrailles, bougeant lentement pour mieux savourer le frottement de mes chairs moites et brûlantes sur sa verge. Nos corps émettaient ensemble un delicieux bruit de clapotis.
- Je suis heureuse mon chéri, et même, si tu savais, bien plus que ça !
Bien calé en moi, il me caressait la poitrine, titillant les pointes dures. Il s'occupait de mes seins avec dextérité, connaissant mes points sensibles comme si nous étions de vieux amants.... Il était très tendre, un ange de douceur. comme si j'étais un objet précieux à m'en faire devenir folle. Je sentais mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. Je retournais la tête vers lui à la recherche de contact, l'envie qu'il me pénètre encore plus loin, qu'il m'enlace de ses langoureuses caresses sans cesse répétées.
- Lucas, ce soir, je veux que tu te perdes en moi, lui ai-je murmuré,
- Je veux toute ta joie, aime moi et donne moi tout de toi !
Au bord de mes yeux deux perles s’épanchaient. Le souffle court, son sexe bandé à l’extrême, il me baisait avec passion, envahissant ma fente des amours tant rêvés, s'unissant à moi, désormais sa tendre maîtresse.
J'avais compris les sentiments qu'il éprouvait dans sa manière de me dévorer, un mélange de pudeur et de voracité. J'étais prête totalement en abandon au jeu suave de ses lèvres, sur ma poitrine généreuse, sur mes tétons langoureusement frissonnants, jusqu’à ne plus pouvoir résister à mes pulsions, mes désirs réprimés. Il me câlinait comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Et j'en redemandais sans cesse, mon corps tout entier était là pour lui dire que j'aimais ça, que j'en avais envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction. Il savait me ménager. Nous restions immobiles de longues minutes. Son membre palpitait dans mon ventre, puis il reprenait ses longs mouvement, glissant délicieusement dans mes chairs.
Alors que nous goutions tous les deux les delices de nos douces caresses, je fus secouée d'un premier spasme annonciateur de jouissances prochaines. Il s'enfonçait un peu plus, s'extrayait, puis revenait. Je l'inondai de ma douce chaleur liquide. Je sentai qu'il ne tarderait plus, lui non plus à sentir monter la jouissance. Je fermai les yeux pour mieux goûter le moment. Une fois, puis deux, les mouvements se furent plus amples, chaque retrait s'accompagnait d'un bruit de succion délicieusement révélateur. Il s'est mis alors à onduler puissamment du bassin, d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Mes râles l'encouragaient.
- Marie ! ... Je crois que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps !
- Vas-y mon chéri, ne te retiens plus ! Tu vas me donner le meilleur de toi ! Toute ta sève chaude !
- Marie, faut-il que je me retire ?
- Non mon chéri, je veux toute ta sève au fond de moi ! Remplis moi de ta joie !
Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Il n'arrivait pas à réaliser ce qui lui arrivait. Son souffle était puissant et bruyant, et moi, je lui offrais mon corps sans pudeur, sans retenue. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds. Son sexe s'enfonçait dans ma chair, souple, moelleuse, soyeuse. il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je n'étais pas chaude, j'étais brûlante. il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, Les sensations qui me remontaient de l'intérieur de mon vagin nous faisaient perdre toute retenue. Ses mains couraient frénétiquement sur mon corps pour le caresser, pour me pétrir les seins ou les fesses. Je m'agrippai a ses épaules, passai ma jambe autour de sa hanche pour qu'il me pénètre encore plus loin, encore plus fort. Je contractai mes muscles intimes. Je voulais absolument qu'il jouisse avec moi.
- Oh ... Lucas ! ... Maintenant ! ... Je suis prête !
Il saisit mes épaules, augmenta l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excitait de plus en plus. Je me cabrais, Il bandait alors ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua au fond de mon vagin. Je n'en pouvais plus, mes deux jambes autour de sa taille, m'empalant davantage sur lui, il m'empoignait les deux fesses à pleine main pour me pénétrer jusqu'à la garde. J'étais prise, possédée, envahie, et je jouissais, térassée par une série d'orgasmes en continu. C'était comme une vague qui m'emportait,
- Lucas ! ... Viens ! ... Vite !
- Oh Marie ! ...
Et son premier jet vint frapper le fond de mon ventre, suivi de 4 ou 5 autres aussi puissants. Je sentais qu’il défaillait. Ses jambes tremblaient. De longues giclées jaillirent au fond de moi, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait ma vulve dans laquelle il naviguait avec passion. Dans la foulée je me raidis aussitôt en émettant un long râle déchirant. Tout mon corps se mit à trembler convulsivement.
- Oh Lucas ! ... C'est si bon ! ... Continue ! ... Encore !
- Bien au fond ! Je veux toute ta joie au fond de moi !
J'étais inondée d'une douce chaleur. J'en gémissais de bonheur. Je sentais le jet puissant de mon amant qui inondait le point le plus profond de mon vagin. Enfin je pouvais m'abandonner à la plenitude de ma jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Je lui donnai du plaisir, il me le rendait au centuple.
Son sperme chaud commencait à couler entre mes cuisses, il m'inondait et se répandait sur nos draps. J'en tremblais encore de plaisir, épuisée par notre corps à corps torride. Un peu de sueur collait mes cheveux.
- Lucas ! Tu es si tendre, si genereux ! ... Tu m'as comblée.
- Ne t'inquiètes pas de mes larmes, Je pleure de joie. Tu es maintenant mon jeune et bel amant !
- Restons ainsi encore quelques instants, Ne bougeons pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde.
- Je conserve dans ma chair un chaud souvenir de vtoi.
A bout de souffle, il enfouit sa tête dans mon cou, m'assenant ses derniers coups de belier puis il s'effondra avec des grondements d'ours blessés. Je caressais amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule.