Je lui caressai la nuque et les cheveux. Puis je lui caressais tendrement le visage. Elle se blottit contre moi. Elle redressa le buste, la poitrine en avant. Ses deux beaux seins gonflait le léger tissu blanc et soyeux.
j'ai posé ma main sur le sein le plus proche. Je me suis mis à le palper doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour toucher la peau satinée de son sein. Je déboutonnais les trois premiers boutons.J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Mon sexe bouillait. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. Manifestement excitée elle m'interpella,
- partons d'ici, et allons dans ma chambre
Nous montames rapidement les escaliers. Après cette explosion des sens, nous nous sommes serrés sur le lit l'un contre l'autre. ses cuisses étaient écartées. Son entrejambe apparut. Une culotte en satin blanc ornait son bas ventre. Elle glissa une main entre ses cuisses et du bout des doigts, sous mes yeux, elle se caressa à travers l'étoffe.
- Nicolas ! ... J'ai envie de toi !
Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le visage rayonnant. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. Je lui palpais les deux seins presque sans ménagement.
- ça va ?
- pfou, c'est fou ce que j'ai envie de toi !
Ses seins ballottaient librement sous la soie blanche juste sous mes yeux. Elle s'appuya sur mes épaules. Je la saisis par les hanches. Je déboutonnais son chemisier pour voir ses seins lourds bouger en cadence. Le desir progressivement montait dans ma tige en feu. Je n'en pouvais plus. Lentement, elle prit mon visage, l'amena à ses levres et déposa un puissant baiser. nos langues s'entremêlèrent dans un délicieux ballet. Elle me regardait intensément l’air grave. Ses yeux clairs plongeaient dans les miens. Sa bouche était entrouverte. J’ai approché mon visage et nos lèvres se sont une nouvelle fois unies. Ma langue se mit à fouiller sa bouche. Je fis durer le baiser très longuement. Ma main massait son ventre à travers la soie. Parfois, mes doigts effleuraient juste la base des seins. Ils se faisaient plus aventureux et je me permis de lui palper doucement tout un globe. son sein durcissait sous ma paume. ma palpation se fit plus entreprenante. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J’ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle était conquise. Nous nous sommes embrassés de nouveau. Cette fois ma main se posa sur son genou. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. J’ai tiré un peu plus la jupe vers son ventre et j’ai découvert une culotte ravissante : Elle écarta encore les cuisses et je pus distinguer ses lèvres déjà humides de son jus intime. J’ai alors passé deux doigts sur sa fente ruisselante. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. Elle était si excitée qu’à chaque attouchement, son corps réagissait. Je me suis déplacé entre ses cuisses. je reprenais les douces caresses pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment du plus profond de son être. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- pfouh oui, je suis sur un nuage
mon sexe compressé contre son ventre. elle luisait de son jus et ses lèvres intimes étaient toutes ouvertes. Je pris ma queue et je caressais sa fente avec mon gland. Elle soupirait les yeux fermés Sans précipitation je la pénétrai. Ses chairs laissèrent entrer mon sexe sans contrainte. Je me plantais litteralement en elle. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle grimaçait. Je commencais à coulisser en cadence. Je caressais ses flancs. Mes mains s'avancèrent jusqu'à ses seins pour les palper sur ses vêtements. Je me suis arrêté de la baiser pour déboutonner la veste et palper ses seins sur la soie. Elle fermait les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippais à ses hanches. Je ressentais son plaisir monter. Le mien aussi. Son vagin se contracta et des spasmes formidables soulevèrent son corps. Je continuais mon va et vient. J'ai rugi très fort et j'ai giclé en elle.