Une ruelle, un muret, un champ, Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vient se lover autour de ma hanche et c’est le premier baiser, le don pur. J’ai envie de son sein et elle me l’offre. je remonte ma bouche vers la sienne, ses jambes s’écartent. Elle me supplie de venir. Je rentre en elle. C’est un velours, total, une douceur qui m’enveloppe. sa jouissance nous inonde. Je vais et viens doucement et sa position se change pour être totalement prise, l’offrande totale.
puis le tremblement de sa crispation dans la jouissance se communique à l’intégralité de ma peau. Elle me masse avec son sexe, sans bouger mais avec la pression de toutes les parties de son intimité profonde, Le plaisir monte et elle jouit deux fois de plus avant que je ne l’inonde. Ses jambes se referment sur mes hanches et me maintiennent ancré au plus profond d’elle. Je n’ose pas rompre cette harmonie, doucement elle me berce en enfouissant sa figure dans mon torse.
je lui prodigue des massages au plus profond d’elle. les sensations sont fortes et me prenent du haut en bas. Elle se crispe, ses ongles dans ma peau. Je me deverse en elle. Nous revenons lentement sur terre, et je la quitte doucement, Elle a toujours les seins découverts, elle sort un tampon de son sac et se l’enfile en me regardant :
Elle me sourit et se rhabille complètement. Je suis mouillé de son plaisir, elle est pleine de moi.
Collés l'un contre l'autre, c'est une étreinte sans bruit. Caresses imprécises qui égarent nos mains. mes doigts effleurent sa blouse de travail fine et délicate, je m'abreuve du mouvement de ses cheveux. Je sens sa chair tendre sous le léger nylon. Je caresse la naissance des seins. Je surfe lentement plus bas près d'endroits plus intimes. Je goute les prémices des sucs qui transpirent, j'ouvre patiemment sa fente qui se gonfle, humide. Je la sens frémir, je goûte à ces caprices immobiles. ses seins au creux de mes mains. le contact est chaud, les pointes sont douces. Je me laisse coulisser au creux de sa tanniere Je perçois sa liqueur douce, qui coule le long de ses chairs roses. je la mouille encore plus, je sens ses seins se tendre entre mes doigts, mon sexe approche du sien. Je la caresse au plus chaud de son envie. L'explosion vient de la succion du puit qu'elle m'ouvre. Je me déverse en elle. Diluant mon plaisir dans le sien, La prendre et être pris. Échange total.