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jeudi 28 novembre 2024 - 12h36rech / rep
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(taille reelle)
la premiere fois ()
Elle trébuche, s’appuie sur moi et l’effet de sa main est instantané, frissons, chair de poule. Elle me regarde. je l’attire doucement par la taille, mes yeux se posent sur elle. Je sens contre moi la pointe de ses seins dure comme des crayons. Elle vient se lover autour de ma hanche et c’est le premier baiser, le don pur.
Nous sommes là, face à face, isolés dans sa chambre, porte fermée, l'oreille aux aguets de peur de se faire surprendre par la maisonnée. Je m'aventure à glisser une main moite et tremblante vers son cou, sa poitrine se soulève. Mes doigts se font légers, timides et tremblent un peu, le soleil éclaire en biais le lit. le sommier est moelleux. Je me sens emprunté, ému, tremblant, transi, troublé
Comment cueillir sa bouche, sa langue fraîche ? Ses lèvres sont tendres, mes mains me démangent, glissent sur ses épaules, A travers le tissu soyeux, je sens la lanière du soutien-gorge. Le picotement de mes doigts s'accélère. Passer la main dans le dos, remonter vers la nuque... toucher les cheveux... les faire tomber sur les épaules, revenir sur le cou... mouvements qui doivent apparaître naturels. Ne jamais forcer ni brusquer... Prendre son temps, pour moi, pour Elle. La toute première fois... Il me faut du temps, de la patience... pour moi, pour Elle. Pour moi, qui n'est sûr de rien et en connait encore moins. Pour Elle, qui est moins sûre que moi et doit être rassurée. Pour nous deux, c'est la première fois, attendue par l'un, espérée par l'autre et redoutée par les deux... Et si cela ne fonctionnait pas, ne marchait pas... et si...
Corps alanguis, énervés, qui se touchent, sont en contact, se cherchent, se bousculent, s'électrisent. Ma main descend sur son cou... s'immisce doucement dans l'entrebâillement du chemisier. Sa peau, douce, voilée d'une très légère transpiration. Le contact de son sein à travers le tissu sage du soutien-gorge. Comment faire ? Être doux, curieux ? Être rude, blasé ? Et comment passer cette barrière ?
Son buste s'avance comme un signe d'impatience, des mains fines... Ses doigts qui défont les minuscules boutons, un à un, avec lenteur difficultés sous le coup de son émotion, les pans du chemisier qui s'ouvre, comme par enchantement. Vision et découverte d'un buste, barré d'un soutien-gorge opalescent à la limite de la transparence, des seins légèrement comprimés par le tissu et l'armature. Ses mains passent dans le dos et mes yeux ne savent plus où regarder : le visage de celle qui se déshabille pour moi, ou ses épaules nues, légèrement en avant, avec un rapide coup d'œil oblique vers cette poitrine qui va se libérer, pour moi, rien que pour moi !
Ca y est ! Les seins sont libres ! Ils sont généreux et souples. Comment faire ? Avancer une main ferme ? Un doigt ? Non. Pour l'instant, l'embrasser et reprendre là où l'on en était avant... ses lèvres recollent aux miennes ... Ma main effleure à peine et avec douceur le sein. Chaleur du contact de la peau, marbrée des liens d'attaches. Douceur satinée de cette peau fragile et que l'on découvre pour la toute première fois. Descente vers un ventre chaud et légèrement rebondi. Jeu de doigts dans le nombril. Découverte des corps. Charme du premier contact peau à peau... Exaspération des sens. Et nos bouches sont toujours soudées. Ma main s'égare sur la cuisse, couverte d'une jupe légère, nouvelle barrière interdite? ... Ma main avance pourtant, cavalière, indiscrète, trop rapide peut être, trop pressée, trop empressée... A travers le tissu soyeux, ma main est déjà en contact avec l'entrejambe.
Son souffle se fait plus rauque... se ralentit... Les doigts tentent d'épouser la forme... le tissu et les cuisses s'écartent et ... se referment sur ma main... qui devient prisonnière. Mes doigts cherchent un espace de liberté, remuent, s'agitent, les cuisses s'ouvrent, premier soupir, vague de désir, Reprendre son souffle avant la suite...Contorsion du bassin qui se découvre, jupe qui se relève sur les cuisses, culotte qu'elle abaisse sur les jambes.
le buste bascule sur le lit, la culotte glisse au sol, Vision fugace d'une toison blonde, courte, frisottée. Aperçu des fesses, qui s'agitent, se ferment et s'ouvrent à quelques centimètres de mon nez, quelques poils folâtres qui en dépassent me mettent ma tête à l'envers, le feu au ventre. Tension extrême dans mon pantalon...

Son corps est alloongé sur le lit, les jambes sont serrées l'une contre l'autre, sages. Plus aucune barrière. Et moi, assis au bord, tentant de reprendre mon souffle, mes esprits. Instants magiques de cette toute première fois où son corps apparaît nu, vulnérable et qu'elle me dédie, prête à me le livrer avec confiance. Emotion La main tremblante avance vers les flancs, vers le ventre. Contact. Douceur renouvelée. La main s'avance sur le ventre, peau de pèche velouté d'une fragilité qui me fait prendre une attitude de papillon. Contact soyeux avec les premiers poils. Découverte de leurs entremêlements. Ma main glisse et s'égare, ses cuisses s'ouvrent plus franchement. Et mes doigts explorent cet univers inconnu, rêvé. Sensation douce du pulpeux de ce lieu secret, tant espérée, tant convoitési délicatement offert. Doigts gênés qui se perdent dans les plis et les replis, s'égarent et avancent en terre inconnue. Raidissement soudain du corps féminin, forme de tétanie passagère surprenante. Regard vers mes yeux de mon amour... Interrogation ? C'est bon ? Encore ? C'est comment ? Apprendre... Ne rien savoir... et apprendre l'autre, ses réactions, ses secrets, ses plaisirs, son plaisir... Continuer ? ... Je crois que c'est elle qui le demande, qui le dit...

c'est elle qui prend en main les choses, parle, attire ma tête dans son cou et susurre à mon oreille. elle dirige ma main, mes doigts, les fait s'enfoncer plus loin, plus doucement, les fait remonter... glissant sur le haut, vers le bas... Elle me nomme les partie que je touche... Sous mes doigts, les mots prennent du relief, de l'humidité, du sens et deviennent gémissements, petits souffles, petits cris rauques de plaisir. Elle me serre contre elle. Contre mon buste, sa poitrine chaude, ses seins qui me semblent plus fermes. Mon nez se noie dans sa chevelure. Je suis presque sur elle, le long d'elle. Ses bras m'enserrent. Contre sa cuisse, mon sexe, raide, a déjà des soubresauts... Il fait mal à force d'être excité...Premiers gémissements de son plaisir trop rapidement atteint, pas tenu, et déjà retombant. Et la main devient de plus en plus autonome, audacieuse. C'est elle qui semble maintenant commander. sa langue me fouille, plus loin, j'abandonne la bouche et descend sur son cou, vers les seins... Premier contact avec un bout durcit. Petite excroissance un peu râpeuse, plissée, hérissée de tout petits plis et picots qui roule sous les lèvres, la langue, durcit sous le mordillement de mes dents. Doucement ! Le mot murmuré a jailli de sa bouche pour protéger sa jeune poitrine excitée et qui doit lui peser. Les seins sont devenus lourds et fermes. Les pointes arrogantes, se dressent. En bas ma main explore, palpe, tâte, tâtonne encore, joue et apprend. Elle glisse dans un univers de plus en plus chaud et humide. elle me rassure... Elle n'a pas mal, au contraire... Encore la main et les doigts... Et sa main dans mon dos qui le presse, descend et finit par s'interposer entre le pantalon et ma peau. Une main douce, moite aussi nerveuse que la mienne. Elle reprend son souffle et m'invite à me déshabiller. Là ? Comme ça ? Ma pudeur, ma timidité reprennent un instant le dessus... Elle rassure, se fait enjôleuse, câline, amoureuse...
Je m'exécute. Me voilà nu... Sourire, Et soudain je ne vois plus que ça entre mes jambes ! Ç'est raide, tendu, excité, tressaillant. Le bout rouge, décalotté, brille de gouttes qui se sont échappées... Son regard remonte vers mes yeux. C'est elle qui quémande un baiser et se plaque sur moi. Nos corps sont l'un contre l'autre, presque à s'emboîter. Nous avons chaud. D'un simple regard, d'une pression de sa bouche sur la mienne, d'une pression de sa main sur mes côtes, elle me signifie ... qu'elle est prête, qu'elle m'attend ...Et c'est moi qui recule, tergiverse. De nouveau mes doigts et ma main repartent en exploration. je sens que son corps se tend, son ventre se bombe à la recherche du mien, les cuisses claquent comme un appel.
Elle s'étend sur le dos, s'ouvre, remonte légèrement les jambes et s'offre à moi... Je me décide, je me positionne, je la surplombe. Mais j'hésite encore. Je me penche vers son visage que je sens soudain tendu, presque sérieux... et vais cueillir ses lèvres. Ses mains agrippent et se calent sur mes fesses. Elles sont chaudes, moites, tremblantes et troublantes... Elles m'incitent à m'abaisser. Mon sexe est en contact avec le sien. Mon gland est au contact de sa vulve mouillée
Comme par enchantement il trouve le chemin , comme aspiré dans la fente. Magie du contact ! Suprême moment ! Délices de ce premier frôlement de mon corps intime avec le sien. Petite poussée, légère résistance, grimace, retrait. Mais non, je dois continuer,
Ses mains m'obligent à franchir le pas, aller plus loin, accélérer. Je recommence, sous la poussée impérieuse de ses mains sur mes fesses et mon instinct de jeune mâle. Petit cri vite étouffé dans mon épaule puis, par un instinct ancestral, mes hanches entament une fantasia faite de va-et-vient qui nous mènent rapidement vers l'extase commune, presque immédiate. Mon débordement soudain en elle m'affole, mais c'est trop tard !
Déjà, je m'écroule sur sa poitrine, la tête vide, le souffle court, le corps en sueur. J'ai l'impression que cela n'a duré qu'une seconde, qu'une minute... Je suis heureux et malheureux. Sentiment mitigé et contradictoire... Heureux d'avoir surmonté tous ces obstacles, toutes nos timidités, d'avoir «fait l'amour» ! la tête nichée dans son cou, reprenant ma respiration, mes esprits, je n'ose lui demander comment elle se sent. Elle, dans un murmure aussi essoufflé, me dit juste « Merci », et ajoute « Je t'aime ». Nous nous serrons l'un contre l'autre, comme pour ne faire qu'un.